En vérité, Sendjak a bel et bien donné son accord de principe pour diriger les Vert et Noir et devait venir à Constantine dimanche pour signer son contrat et entamer sa tâche avec comme adjoint, Moussouni. Mais, après qu’il a appris, selon une source autorisée, par les médias que le CSC vit une crise latente et que le bailleur de fonds de son SSPA, le groupe TAL, n’était pas chaud pour le recruter, car il a exigé un fort salaire, Sendjak a renoncé à coacher son équipe de football. Et ce ne sont pas les dirigeants du CSC à qui Sendjak a bel et bien donné, mercredi matin, son accord final qui vont nous démentir.
Sendjak : «Je ne serai pas le du CSC»
«Je vous confirme que jai rencontré le président du CSC à Alger et quil ma proposé de prendre en main son club. Mais, bien que le CSC ne se refuse pas, après mûre réflexion, jai décidé de ne pas diriger ce grand club», a déclaré, hier soir, à la Chaîne III de la Radio algérienne lentraîneur Sendjak.