Selon une source autorisée, l’attaquant Fawzi Rahal sera convié dans les tout prochains jours à renégocier son salaire.

 Touchant un salaire de 170 millions de centimes par mois, les dirigeants estiment que l’ex-pensionnaire du MOB ne mérite pas de percevoir une telle mensualité. Il a été recruté par l’ex-manager général Karim Doudane, mais comme celui-ci n’a pas apporté le plus attendu de lui, les dirigeants ont décidé de revoir à la baisse son salaire. Cela fait plusieurs semaines que la direction parle de la baisse du salaire de son attaquant, mais il semble que cette fois, elle est déterminée à passer à l’acte. Rahal a été maintenu dans l’effectif des Canaris, les dirigeants ne comptent pas continuer à lui offrir un salaire de 170 millions de centimes à la phase retour. Il était parmi les joueurs les mieux payés lors de la première manche du championnat. Il n’a pas beaucoup joué lors de la phase aller et les dirigeants accusent l’ancien manager d’avoir surestimé le joueur. Ils lui avaient donné carte blanche dans le recrutement, mais ils regrettent maintenant de ne pas avoir intervenu dans certains dossiers, notamment ceux de Rahal, Boumechra, Benmelouka, etc.
Discussion
Sachant que Rahal est protégé par le contrat qu’il a signé, les dirigeants veulent trouver une solution à l’amiable avec lui. Ils ne peuvent pas se permettre de baisser son salaire sans avoir une discussion au préalable avec lui. L’ancien manager des Jaune et Vert avait offert un salaire mirobolant à Rahal, mais les dirigeants n’avaient émis aucune réserve à ce moment-là, alors qu’en principe c’était à eux de fixer les salaires des joueurs et des autres employés du club. Echappant de justesse à la purge, Rahal sera appelé à accepter de baisser son salaire, s’il ne veut pas attirer les foudres de ses responsables. Ils devront le convoquer cette semaine pour négocier son nouveau salaire. Il est sous contrat jusqu’à juin 2017, mais s’il n’arrive pas à s’imposer sur l’échiquier des Canaris, il sera vraisemblablement libéré à la fin de l’exercice actuel.
N. Boumali

Pour le convaincre à renouveler
La direction compte offrir un salaire de plus de 120 millions de centimes à Raïah
Ne voulant pas attendre la fin du championnat pour proposer à leur milieu, Malik Raïah, une prolongation de contrat, les dirigeants comptent s’entretenir avec lui dans les prochains jours. Ils lui ont déjà fait une offre, mais celle-ci n’a pas séduit l’enfant de Draâ Ben Khedda. Ils lui ont proposé un salaire de 75 millions de centimes par mois pour le convaincre à prolonger, mais le milieu des Canaris a décliné poliment l’offre. Il a invité ses dirigeants à négocier directement avec son manager qui n’est autre que Kamel Marek, un ancien enfant du club. Sa seule condition pour renouveler son contrat est d’être estimé à sa juste valeur. Il est l’un des meilleurs éléments à son poste dans le championnat algérien et il n’exige pas l’impossible pour poursuivre son aventure avec la JSK, le club de son cœur. De peur de le perdre surtout que certains clubs de l’élite sont déjà sur ses traces, les dirigeants ont décidé de faire un effort sur le plan financier pour trouver un accord avec lui. D’après un responsable qui s’exprime sur le sujet sous le couvert de l’anonymat, la direction accordera un salaire de plus de 120 millions de centimes par mois à Raïah pour le convaincre à prolonger. Après avoir essayé d’écarter son manager des négociations en conseillant au joueur de ramener son propre père pour négocier son nouveau contrat, les dirigeants se sont rendu compte qu’ils devront l’estimer à sa juste valeur pour qu’il n’opte pas pour une autre équipe. Il est utile de rappeler que le manager Marek a fait savoir aux dirigeants kabyles que pour que Raïah prolonge son contrat, ils devront lui offrir un salaire de plus de 130 millions de centimes. Son salaire actuel est de moins de 40 millions de centimes, alors que certains joueurs qui chauffent le banc touchent mieux que lui. Il est l’un des rares joueurs à avoir donné satisfaction en cette phase aller, mais il n’a jamais exigé une augmentation de salaire. Il attend de négocier son nouveau contrat pour imposer ses conditions. Il sera libre de tout engagement au mois de juin prochain  et si les dirigeants ne l’estiment pas à sa juste valeur, il pourrait partir même si sa priorité va toujours pour la JSK.
N. Boumali