Dans une chronique dans les colonnes de nos confrères d’Echourouk, le journaliste algérien de la chaîne de télévision qatarie beINsports, à savoir Hafid Derradji, est revenu sur les relations compliquées entre Raouraoua et Christian Gourcuff le coach des Verts.

 

Ce dernier qu’on annonce partant très prochainement à cause des critiques qu’il ne cesse d’essuyer depuis la dernière CAN en Guinée équatoriale qui était le début de la fin pour le Français, à peine 6 mois après avoir pris les rênes de la sélection algérienne.

Derradji nous apprend à travers sa chronique que Gourcuff est très proche d’un départ, allant jusqu’à banaliser un départ en une telle période, pour lui l’EN arrivera à repartir sans lui très facilement, vu que les éliminatoires pour la qualification à la Coupe du monde Russie 2018 sont encore loin et le successeur du Breton aura le temps nécessaire de redresser la barre, il confirme aussi le malaise entre Raouraoua et Gourcuff auquel on a tout le temps fait allusion, ainsi qu’aux envies d’ailleurs que ce dernier avait, cela s’est confirmé d’ailleurs avant-hier à Biskra quand les deux hommes s’étaient réunis autour d’une ‘’chakhchoukha’’ locale que le Français a eu du mal à apprécier en présence de son supérieur assis avec lui autour de la même table, les présents sur place ont évoqué un homme étourdi, perdu, arrivant à peine à placer un mot, et voulant coûte que coûte en finir, pour rentrer au CTN, le seul endroit où il lui reste visiblement un peu d’intimité dans notre pays.

Le célèbre commentateur de beINsports enchaînera en révélant que la FAF était à deux doigts de conclure un accord avec Raphaël Benitez, l’ancien coach du Real récemment désigné entraîneur de Newcastle, ce dernier a accepté l’idée de driver l’EN avant de changer de cap, ce qui est une preuve, selon lui, que l’EN est devenue désormais une sélection respectable et respectée même par les plus grands noms du football mondial.

Voilà un épisode qui risque de faire du séjour du Français un autre cauchemar qu’il devra surmonter en attendant de trouver la porte de sortie qu’il a tant recherchée.

S. M. A.