Comme on l’a vu dans les différentes photos et vidéo, le stade Godswill Akpabio d’Uyo est tout simplement magnifique. Inauguré en 2014, ce bijoux architectural a toutes les caractéristiques des grands stades européens y compris au niveau des vestiaires, douches et salle de massage.

Les jardiniers sont à pied d’ouvre

La pelouse devrait être plus que praticable

 

Par contre, la pelouse a été quelque peu délaissée au cours de ces derniers mois. D’ailleurs lors de notre visite hier en début d’après-midi, on pouvait voir pas moins de trois jardiniers en train d’arroser mais aussi traiter la pelouse. Il est vrai que de près, cette pelouse n’est pas aussi catastrophique comme peuvent le prétendre certains. Certes, il existe des parties où l’herbe a poussé moins bien, mais les nôtres ont vu bien pires dans les différentes terres africaines : «On fait de notre mieux, et je suis presque certain que la pelouse sera prête samedi et qu’elle tiendra le coup», nous précisa l’un d’entre eux.

Une pelouse sur laquelle devront s’entraîner les Nigérians aujourd’hui en fin d’après-midi.

 

La presse nigériane optimiste

 

En lisant les différents journaux hier, un seul et même constat : un grand optimisme de la part de tous les journalistes sportifs nigérians. En effet que ce soit sur Daily Sun, Sports ou même le journal Vanguard, tous affirment que les Super Eagles vont surpasser et dominer les Verts ce samedi.

 

 

Il fait chaud mais pas trop d’humidité

 

Le moins qu’on puisse dire c’est qu’il a fait chaud hier à Uyo, près de 33°, sauf que le taux de l’humidité n’était pas très élevé, environ 35 à 40%. D’ailleurs on croit savoir que Georges Leekens s’interroge plus sur le taux d’humidité que sur la chaleur. Néanmoins ce qui est important à savoir, c’est qu’à l’heure du match hier, la température avait considérablement baissé, d’autant plus que le stade est entièrement couvert. Du coup l’ombre a fait que le soleil ne tapait pas comme à l’extérieur. C’est pour dire que même s’il fera chaud, à 17h le Celsius baissera considérablement, et encore plus en seconde période.