L’entraîneur Bernard Casoni avait conditionné son retour au payement de ses salaires, il a précisé aussi qu’il n’avait pas, jusqu’à mercredi passé, parlé au président. Finalement, Almas l’a appelé et a eu une discussion avec lui, qui a abouti à un rendez-vous en fin du mois en cours, à Alger, pour régler le problème de manière définitive.

Après avoir discuté avec les membres de son conseil d’administration, le président Almas a décidé de régler le dossier Casoni, avant que ce dernier ne décide de saisir la FIFA pour faire valoir ses droits. L’option de le récupérer a été étudiée et validée à l’unanimité chez les membres du conseil d’administration, jugeant que le coach a été lésé par l’ancienne direction.

Il sera payé

Au départ, le coach a été contacté par l’un des membres du CA, qui lui a fait comprendre que le Doyen veut le récupérer. Le coach a été très clair concernant cette affaire, en assurant à son interlocuteur qu’il faudra d’abord lui payer ses salaires. Il pourra par la suite envisager une discussion sérieuse pour son retour. Surtout que le coach nous a assuré qu’il n’a pas dit non pour reprendre les rênes de la barre technique, mais il veut des garanties. Le président Almas a appelé par la suite le coach afin de discuter avec lui pour lui faire comprendre qu’ il va tout faire pour lui prouver la bonne volonté de la nouvelle direction. En ce moment même, la direction du MCA s’active afin d’envoyer avant la fin du mois ses salaires à Casoni pour qu’il vienne à Alger discuter de son avenir avec les Mouloudéens. Ce qui est sûr, c’est que le président Almas a montré au coach qu’il veut vraiment le récupérer… après le match contre l’ASAM. Casoni pourrait donc reprendre sa place d’entraîneur en chef avec son staff, à moins que le MCA ne décide encore une fois de nous surprendre. Pour l’instant, tout semble sur la bonne voie et on ne serait pas surpris de voir Casoni faire son come-back au Doyen.

1. Z.

Lamara : «Je souffre d’une élongation et d’un calcul de la vessie»

Nabil Lamara devait passer sur le billard. Seulement, le joueur a demandé d’autres avis de médecins et spécialistes en neurologie pour enfin comprendre de quoi il souffre exactement. «Comme je l’ai déjà dit, j’avais une blessure avant le match de coupe, mais j’ai tenu à jouer avec des injections. Par la suite, les douleurs se sont intensifiées et j’ai passé une IRM. Celle-ci a détecté un souci au niveau du muscle grand abdominal sur le côté gauche. En vérité, il s’agissait d’un calcul dans la vessie. On m’a alors par la suite fait comprendre que l’opération était inévitable, mais j’ai voulu temporiser et avoir d’autres avis. Lorsque j’ai passé un scanner, des neurologues m’ont fait comprendre que le hic c’est que le calcul se trouve sur le côté gauche, alors que moi je ressens des douleurs à droite. Par la suite, on m’a demandé de passer une échographie et finalement, on a trouvé une élongation qui, donc, ne nécessite pas une intervention chirurgicale.» Mais, le calcul dans tout ça ? Lamara explique : «Je dois le surveiller, surtout que maintenant je sais qu’il est là, mais pour le moment, je ne passe pas sur le billard. J’ai d’ailleurs tenté avec le staff médical jeudi pour voir la réaction et c’est vrai j’ai ressenti des douleurs. Donc, je dois me soigner de mon élongation et surveiller ce problème que j’ai à gauche.» Donc, il n’y aura pas d’intervention chirurgicale pour le moment, mais une élongation, qui va priver le joueur du match de dimanche sans le moindre doute et fort probablement contre l’ASAM. Lamara prend donc son mal en patience et poursuit les soins pour retrouver ses forces et revenir le plus vite à la compétition.

1. Z.

2 heures de travail intense hier

Les équipiers de Djabou, qui sont rentrés dans les préparatifs de la rencontre comptant pour les 1/16 de finale de la coupe d’Algérie contre le WAB, ils se sont retrouvés dans la matinée d’hier à Aïn Benian pour animer une séance d’entraînement qui a duré deux heures. Lors de ce regroupement, Mekhazni a revu tous les points avec ses joueurs, avant de choisir l’équipe type qui va avoir la lourde tâche de gagner demain le billet qualificatif pour les 8^es de finale.