De retour au Gabon
Rentré en urgence sur Paris lundi dernier en raison d’un malaise cardiaque, ce qu’il l’avait d’ailleurs empêché d’assister au dernier match des Verts face au Sénégal au stade de Franceville, le président de la Fédération algérienne de football Mohamed Raouraoua va mieux. D’ailleurs son médecin traitant l’a autorisé à prendre de nouveau l’avion.
De ce fait, et juste après le feu vert de son docteur, le boss de la FAF s’est envolé hier pour le Gabon, et ce, pour des obligations professionnelles. Raouraoua devra donc regagner la ville de Franceville, car il a été désigné chef de ce site par la Confédération africaine de football à l’occasion de cette CAN 2017.
Mohamed Raouraoua assistera donc à deux matchs, le premier ce samedi à partir de 20h, et qui mettra aux prises le Sénégal avec le Cameroun pour le compte des quarts de finale de cette compétition. Le deuxième match à Franceville sera la deuxième demi-finale le 2 février prochain, avant qu’il ne rentre sur Libreville pour assister à la finale de cette CAN 2017 le 5 février prochain.
La date de l’assemblée sera fixée lors du BF du 15 février prochain
D’ailleurs le président de la FAF a programmé le prochain bureau fédéral pour le 15 février. Un bureau fédéral où sera soumis pour étude et analyse le dossier de la participation des Verts lors de cette CAN au Gabon.
Aussi, et lors de ce même BF, il sera question de définir la date de la prochaine assemblée générale élective de la FAF.
Le président de la Fédération algérienne de football ainsi un terme à toutes les rumeurs et les spéculations quant à une éventuelle démission au cours des prochains jours : «Je reste et demeure respectueux des lois de mon pays, des statuts et des règlements de la Fédération algérienne de football.
Le dossier de la dernière CAN 2017 sera examiné par le Bureau fédéral de la FAF dans sa prochaine réunion et sera soumis à la prochaine assemblée générale de la Fédération.
Dans l’intervalle et en tant que président élu respectueux de ses responsabilités et devoirs, je continuerai à assumer mes responsabilités jusqu’à la prochaine assemblée générale élective», a affirmé Raouraoua sur le site de la Fédération algérienne de football.
Récemment nommé à la commission des finances de la FIFA
Aussi, récemment et en attendant les élections électives du bureau exécutif de la CAF, des élections pour lesquelles Mohamed Raouraoua se portera candidat, fin mars début avril prochain, on croit savoir que le boss de la FAF a été nommé en tant que membre de la commission des finances de la FIFA. Il retrouve de ce fait la plus grande instance du football mondial.
C’est pour dire que la date du retour du président de la FAF en Algérie est prévue pour le 10 février prochain. Toutefois, il est important de signaler que Raouraoua a déjà chargé ses proches collaborateurs au niveau de la FAF de commencer déjà à préparer les bilans en prévision du BF et de l’AG. Mais sa décision finale quant à sa candidature ou non pour un autre mandat à la tête de la FAF, il ne l’a toujours pas prise préférant prendre un peu de recul avant de trancher à ce sujet.
Asma H. A.
Il trace sa feuille de route
C’est désormais décidé, le président de la Fédération algérienne de football ne veut plus jamais endosser à lui seul l’échec de notre équipe nationale dans les jours, voire les mois ou les années à venir, et cela toutes compétitions confondues.
En effet, cette élimination lors de la CAN 2017 et les critiques dont il a fait objet à la suite de ses choix de coachs après le départ de Vahid Halilhodzic et les matchs amicaux disputés dernièrement par les Verts lui ont donné à réfléchir au cours de ces tout derniers jours.
Du coup, lors du prochain Bureau Fédéral prévu le 15 février prochain, le premier responsable du football algérien va proposer la mise en place d’une commission ou d’un collège comptant les entraîneurs les plus expérimentés et qualifiés de notre pays. Un coach pour chaque époque, et cela afin de diversifier les avis, les points de vue et les analyses dans le but de prendre la meilleure décision possible quant au volet technique concernant les différentes équipes nationales, et pas seulement l’équipe A.
Il proposera l’installation d’une commission lors du prochain BF
Il faut dire que si Mohamed Raouraoua reste irréprochable dans sa gestion administrative et financière de la FAF, pour ce qui est de la gestion technique, ce n’est nullement le cas. L’absence d’une direction technique nationale digne de ce nom, et le fait que Raouraoua prenne à lui seul toutes les décisions quand il s’agit de recruter des entraîneurs, choisir les sparring-partners pour les matchs amicaux et les lieux de préparation, tout cela a fait qu’il endosse à lui seul en tant que responsable ce énième échec lors de cette CAN 2017 au Gabon.
Une élimination qui intervient juste après le très mauvais départ de Mahrez et ses coéquipiers en éliminatoires de la Coupe du monde en Russie, puisque les chances quant à faire partie des 32 sélections qualifiées pour le tournoi finale l’été 2018 demeurent infimes, et cela après le match nul face au Cameroun à Blida et la défaite contre le Nigeria.
Cette commission aura donc, dans un premier temps, à définir le profil et les critères du futur entraîneur national. Un appel d’offres pour candidature au niveau national et international sera ensuite lancé.
Ensuite, cette même structure sera chargée de traiter les différents CV et donner un nom au boss de la FAF qui bien évidemment approuvera ou pas, en donnant les raisons d’un refus si cela devrait être le cas.
Recruter un coach avant les deux dates FIFA du mois de mars prochain
Ces mêmes entraîneurs seront aussi consultés quant au choix d’un éventuel adversaire en match amical, même s’il y aura un entraîneur en place.
Ainsi, l’objectif du président de la FAF est donc de mettre en place cette structure le plus vite possible afin de recruter un coach, car ce dernier devra impérativement être installé à la tête des Verts avant les deux dates FIFA du mois de mars prochain.
Des rencontres amicales qui devront permettre au futur sélectionneur national de faire des réglages avant la rencontre contre le Togo au mois de juin prochain comptant pour les éliminatoires de la CAN 2019, mais surtout la double confrontation face à la Zambie fin août et début septembre prochain.
Telle sera donc la nouvelle feuille de route de Mohamed Raouraoua concernant l’aspect technique relatif à notre équipe nationale.
Le boss de la FAF, et dans le cas où il briguerait un autre mandat, ce qui est plus que probable, sait pertinemment que dans le cas où il poursuivrait sa politique quant à son ingérence dans le volet technique de l’EN, il risque de sortir par la toute petite porte, lui qui aura quand même réussi deux qualifications de suite pour la Coupe du monde, celles de 2010 et 2014 avec une première qualification historique pour les huitième de finale de cette compétition.
A. H. A.
Il trace sa feuille de route
C’est désormais décidé, le président de la Fédération algérienne de football ne veut plus jamais endosser à lui seul l’échec de notre équipe nationale dans les jours, voire les mois ou les années à venir, et cela toutes compétitions confondues.
En effet, cette élimination lors de la CAN 2017 et les critiques dont il a fait objet à la suite de ses choix de coachs après le départ de Vahid Halilhodzic et les matchs amicaux disputés dernièrement par les Verts lui ont donné à réfléchir au cours de ces tout derniers jours.
Du coup, lors du prochain Bureau Fédéral prévu le 15 février prochain, le premier responsable du football algérien va proposer la mise en place d’une commission ou d’un collège comptant les entraîneurs les plus expérimentés et qualifiés de notre pays. Un coach pour chaque époque, et cela afin de diversifier les avis, les points de vue et les analyses dans le but de prendre la meilleure décision possible quant au volet technique concernant les différentes équipes nationales, et pas seulement l’équipe A.
Il proposera l’installation d’une commission lors du prochain BF
Il faut dire que si Mohamed Raouraoua reste irréprochable dans sa gestion administrative et financière de la FAF, pour ce qui est de la gestion technique, ce n’est nullement le cas. L’absence d’une direction technique nationale digne de ce nom, et le fait que Raouraoua prenne à lui seul toutes les décisions quand il s’agit de recruter des entraîneurs, choisir les sparring-partners pour les matchs amicaux et les lieux de préparation, tout cela a fait qu’il endosse à lui seul en tant que responsable ce énième échec lors de cette CAN 2017 au Gabon.
Une élimination qui intervient juste après le très mauvais départ de Mahrez et ses coéquipiers en éliminatoires de la Coupe du monde en Russie, puisque les chances quant à faire partie des 32 sélections qualifiées pour le tournoi finale l’été 2018 demeurent infimes, et cela après le match nul face au Cameroun à Blida et la défaite contre le Nigeria.
Cette commission aura donc, dans un premier temps, à définir le profil et les critères du futur entraîneur national. Un appel d’offres pour candidature au niveau national et international sera ensuite lancé.
Ensuite, cette même structure sera chargée de traiter les différents CV et donner un nom au boss de la FAF qui bien évidemment approuvera ou pas, en donnant les raisons d’un refus si cela devrait être le cas.
Recruter un coach avant les deux dates FIFA du mois de mars prochain
Ces mêmes entraîneurs seront aussi consultés quant au choix d’un éventuel adversaire en match amical, même s’il y aura un entraîneur en place.
Ainsi, l’objectif du président de la FAF est donc de mettre en place cette structure le plus vite possible afin de recruter un coach, car ce dernier devra impérativement être installé à la tête des Verts avant les deux dates FIFA du mois de mars prochain.
Des rencontres amicales qui devront permettre au futur sélectionneur national de faire des réglages avant la rencontre contre le Togo au mois de juin prochain comptant pour les éliminatoires de la CAN 2019, mais surtout la double confrontation face à la Zambie fin août et début septembre prochain.
Telle sera donc la nouvelle feuille de route de Mohamed Raouraoua concernant l’aspect technique relatif à notre équipe nationale.
Le boss de la FAF, et dans le cas où il briguerait un autre mandat, ce qui est plus que probable, sait pertinemment que dans le cas où il poursuivrait sa politique quant à son ingérence dans le volet technique de l’EN, il risque de sortir par la toute petite porte, lui qui aura quand même réussi deux qualifications de suite pour la Coupe du monde, celles de 2010 et 2014 avec une première qualification historique pour les huitième de finale de cette compétition.
A. H. A.