Ayant été annoncé comme un candidat potentiel pour diriger la Fédération algérienne de football Abdelhakim Serrar nous assure qu’il n’y pense même pas.

L’ex-président de l’Entente de Sétif s’est enfin exprimé sur ses intentions quant à son avenir et s’il compte présider la Fédération algérienne de football. Contacté par nos soins, il nous dira : «Diriger la Fédération ne m’intéresse en aucun cas. Je n’y ai jamais pensé et je n’y pense pas en ce moment. Je sais qu’on parle de moi un peu partout et que l’on dit que je suis un candidat potentiel qui va se présenter pour présider la FAF, mais ce n’est pas vrai. Personnellement, je n’ai pas l’intention de le faire car ça ne m’intéresse pas le moins du monde.» Abdelhakim Serrar a ainsi dévoilé ses intentions et a été bien clair quant à son non intention de se présenter pour la prochaine élection de la FAF qui aura lieu le mois prochain. Ce dernier ne veut ainsi pas être président de la Fédération et préfère laisser sa place à quelqu’un d’autre. Comme tout le monde le sait, tout laisse à croire que l’actuel président, Mohamed Raouraoua, ne se présentera pas pour un nouveau mandat à la tête de la Fédération, ainsi les portes sont ouvertes à d’autres candidats qui pourront se présenter prochainement. Pour le moment le mystère reste entier quant au successeur de Mohamed Raouraoua ou s’il changera d’avis à la dernière minute et qu’il se représente à nouveau, même si c’est peu probable.  En tout cas, maintenant qu’Abdelhakim Serrar a assuré qu’il n’allait pas se présenter et qu’il n’était pas intéressé, il cède ainsi la place à d’autres candidats potentiels qui tenteront leurs chances lors des prochaines élections.

M. K.

Son retour à la FAF est envisagé

Abdouche : «Oui, mais pas en tant que président»

Des rumeurs circulent, annonçant, Réda Abdouche à la tête de la FAF, cependant ce dernier a démenti l’information en précisant que le poste de président ne l’intéressait pas.

Ayant fait partie de la Fédération algérienne de football par le passé au poste de secrétaire général, Réda Abdouche est un bon candidat pour les prochaines élections du président de la FAF. D’ailleurs des rumeurs ont vite circulé, l’annonçant à la tête de l’instance algérienne, cependant il a tenu à démentir tout cela : « Je suis un sportif pratiquant dans le football qui est mon sport préféré. Il ne faut pas oublier que j'ai commencé très jeune à la Fédération, en 1983, j'avais tout juste 32 ans. A un certain moment, j'étais l'un des plus jeunes secrétaires généraux de la Fédération. J'ai été par la suite instructeur au niveau de la CAF pour former des secrétaires généraux. Je suis tenté de dire que c'est un milieu naturel pour moi. Puis, en 1993, il y a eu ce qu'il y a eu, j'ai quitté la Fédération.»

«Si un candidat a besoin de moi dans son équipe, je suis là»

D’un autre côté, Réda Abdouche ne ferme pas la porte à un retour sur la scène sportif, lui qui peut apporter toutes ses années d’expérience dans le domaine : « Aujourd'hui, je voudrais bien faire partie d'une équipe qui viendrait pour construire et booster un petit peu le football et le muscler en lui donnant un petit peu de développement. Si on a besoin de moi, je suis là. À l'USMA, je pense avoir payé ma dette. Avec Allik, j'étais le secrétaire général du club pendant une année, à plein temps sans être payé, parce que j'ai voulu qu’il en soit ainsi. Je voudrais maintenant donner quelque chose pour football d'une manière générale. S'il y a une équipe avec Mohamed Raouraoua ou quelqu'un d'autre qui aurait besoin de mes services, pas de problème, je suis disponible. Pas pour être président, mais intégrer son équipe.»

M. K.