Belaïli n’est pas certain de signer à Galatasaray

Son aventure à Al-Ahly Djeddah devrait prendre fin prochainement après avoir formulé la demande de résilier son contrat. Youssef Belaïli n’est pas certain de rejoindre Galatasaray, comme nous l’a révélé un agent de joueurs qui a ses sources dans le club stambouliote : «La semaine dernière, je me suis renseigné auprès d’un dirigeant du Galatasaray ; il m’a avoué que pour l’heure, le club est occupé par autres choses que de recruter.’’

En clair, Belaïli, que la presse nationale et même turque le voient rejoindre au prochain mercato les Sang et Or, ne figure pas pour le moment sur les tablettes des recruteurs de Galatasaray, car d’après notre interlocuteur, ‘’le club veut d’abord se débarrasser des gros salaires dont Sofiane Feghouli ou Lemina avant de penser à recruter’’. Cependant pour ce dernier, ‘’ils (les dirigeants turcs) vont se renseigner sur Belaïli’’. A rappeler que l’attaquant oranais, qui prétend avoir l’accord de la direction d’Al-Ahly pour résilier son contrat, est tenu par le temps. Certes, le marché des transferts en Europe n’ouvrira qu’une fois les compétitions de la saison 2019/2020 seront bouclées, alors qu’en Arabie saoudite, on prévoit le 14 juillet prochain la reprise des vols internationaux, le père de Belaïli aurait déjà pris ses dispositions auprès d’une agence de voyage à Oran pour une réservation dans le premier avion qui s’envolera à destination de Djeddah afin de régler les derniers détails de la résiliation de son contrat avec la direction d’Al-Ahly, a-t-on appris.

 

Le salaire pose problème

Une fois qu’il aura résilié son contrat, Youssef Belaïli ambitionne de ne signer qu’en Europe ; or, pour l’heure, seule la destination Turquie est possible, et encore ! Pour exaucer son vœu, il faudrait qu’il fasse des sacrifices financiers car si Galatasaray veut se passer des services des ‘’gros’’ salaires, ce n’est pas pour après recruter des joueurs qui coûteraient cher à la trésorerie du club, sinon le club turc garderait Sofiane Feghouli dont le rendement est apprécié par les supporters et même l’entraîneur Fatih Terim. Emargeant à hauteur de 300.000 euros net par mois à Al-Ahly Djeddah, il est certain que Belaïli, si jamais le club turc voudrait l’engager, n’aura pas droit au même salaire. Il devrait, assure notre interlocuteur, faire des sacrifices financiers. D’après un de ses proches, il est déterminé à se libérer de son contrat avec Al-Alhly. ‘’Malgré tous les privilèges accordés par le club saoudien, lâche ce proche, il n’est pas heureux ; pour Youssef, retrouver un environnement où il se sentirait à l’aise n’a pas de prix.’’ Autrement dit, Belaïli serait d’accord pour revoir ses prétentions financières à la baisse, pour peu, rappelons-le, qu’il soit sollicité par un club du vieux continent.

  1. S.

Double peine pour Bensebaïni

L’arrière gauche de l’EN, contrairement au match aller face au Bayern Munich où il s’était mis en évidence en claquant un doublé, aura connu une soirée sombre ce samedi, après la défaite de son équipe le Borussia Mönchengladbach (2-1), qui sera préjudiciable à son équipe en perspective de la course à une place qualificative à la prochaine édition de la Ligue des champions. Rami Bensebaïni, qui n’a pas fourni une bonne prestation, a en plus écopé d’un carton jaune (le 5e) qui le priverait de la participation au match de ce mardi à Wolfsburg. A signaler que l’ancien défenseur de Rennes a joué dans les dernières minutes de la partie dans l’axe central, sans pour autant apporter un plus au secteur défensif.

  1. S.

 

Wolverhampton se met de la partie pour Atal

En dépit du refus de son président Jean-Pierre Rivière de lui accorder un bon sortie cet été, Youssef Atal serait encore la cible de quelques clubs qui n’ont pas perdu espoir malgré la récente sortie médiatique de son président. Alors que les sites spécialisés évoquent l’intérêt de Naples et Watford, un autre club anglais serait sur les traces du très technique défenseur niçois ; il s’agit de Wolverhampton. On a appris ce dimanche, toutefois, que c’est peine perdue puisque en plus de Jean-Pierre Rivière, son entraîneur à l’OGCN Patrick Vieira ne veut pas entendre parler de son départ en arguant que Youssef Atal est l’un de ses joueurs de base en plus de son jeune âge, dont il ne veut absolument pas se séparer.

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