La FAF a donc prolongé le suspense et refusé de trancher l’identité du 2^e représentant de l’Algérie en  coupe de la CAF.

L’instance fédérale est en train de temporiser et en même temps de jouer avec le feu, car dans ce dossier bien précis, tout va à l’encontre de sa démarche, et même les clubs qu’elle essaye d’imposer à la place de la JSK ne sont pas convaincus par cette participation, et n’en veulent pas. En plus de tous ces indicateurs qui mènent tous vers une seule issue qui contrariera la fédération, il y a ce règlement de la coupe de la confédération, les textes de ce dernier sont très clairs, et donnent clairement l’avantage dans les cas de défections au championnat au détriment de la coupe. En effet, l’article 8 du chapitre 4 de ces règlements de la coupe de la CAF stipule noir sur blanc que : « Pour les pays ayant le droit d'engager deux clubs, au cas où le vainqueur de la Coupe et le finaliste ne peuvent pas s'engager dans la coupe de la Confédération, la Commission des Compétitions Inter-Clubs se réserve le droit d'accepter un autre club. Dans ce cas, le classement de la ligue nationale aura la priorité sur la coupe nationale.» Cet article épouse à plus de 90% le cas de la JSK et nous permet de comprendre surtout que la commission des compétitions inter-clubs est la seule partie habilitée à trancher l’identité du club participant, et que cette dernière donne la priorité aux LIGUES NATIONALES, autrement dit, avec l’absence du vainqueur et de son dauphin en coupe, c’est vers le 4^e du championnat que la fédération doit recourir, mais la FAF a choisi d’ignorer ce règlement et s’efforce à se convaincre et convaincre les gens par des solutions tirées par les cheveux, sachant qu’il n’existe qu’une seule issue, elle finira par l’annoncer.

S.M.A