Débutant la rencontre de la 3e journée du groupe A en même temps que l’Algérie face au Niger, la rencontre entre Djibouti et le Burkina Faso, s’est soldée par une victoire des burkinabè sur le score de 4 à 0 au stade de Marakech. Les Djiboutiens qui recevaient dans cette rencontre comptent toujours 0 points après 3 matches et sont désormais certains de ne pas être concernés par la place qualificative. Les réalisations du Burkina qui est toujours co-leader, sont l’œuvre de Tapsoba 45’+2 et 48’, Kabore 51’ et Konate 60’.

Performant en club et n’arrivant toujours pas à s’imposer en équipe nationale, Saïd Benrahma, reste un joueur de talent et le prouve avec West Ham depuis le début de saison. Cependant, ses performances en sélection ne sont pas à la hauteur des attentes du coach. Lui-même n’est pas satisfait de son rendement avec les Verts pendant que Belaïli à l’inverse ne carbure pas avec le Qatar SC mais reste toujours précieux pour l’attaque de l’EN. Impliqué dans la grande majorité des buts, il place la barre haute, ce qui oblige Benrahma à faire de gros efforts pour s’imposer.

 «Comme je l’ai déjà dit, Benrahma, n’est pas satisfait de son rendement en EN, avec les occasions qu’il a eu de jouer, il n’est pas satisfait de ses performances et nous aussi. Il y a des choses qui sont évidentes. Si on le compare à Belaïli, par ce que c’est dans cette position qu’il joue, on voit les performances ne serai-ce que par les statistiques, c’est-à-dire buts et passes décisives. Les joueurs offensifs c’est comme ça qu’on peut les juger en grande partie. Cela fait que Benrahma, n’est pas content et n’est pas satisfait, il travaille pour changer les choses. Maintenant pour le voir jouer comme deuxième attaquant ou comme neuf et demi. Je ne dirais pas meneur de jeu mais derrière l’attaquant. C’est une option qu’il a dans son club, mais il ne joue pas tout le temps comme ça. Si on lui pose la question je suis sûr qu’il préfère jouer sur la gauche. Avec Brentford c’est dans cette position qu’il était performant. Dans le match il change de position avec un autre joueur. Nous, on a confiance en lui parce qu’on sait qu’il à des qualités et doit se lâcher, montrer toutes ses qualités et rentrer dans les statistiques. Il le sait, il est d’ailleurs dans un championnat 100% statistiques. Il sait qu’il doit être performant et faire en sorte d’être un élément indispensable.  Comme quand on parle de Belaïli, c’est les statistiques qui parlent.  Après il faut savoir qu’il y a toujours eu ça. Il y a des jouerus qui performent en club, d’autres en équipe nationale ou les deux et vice versa. Moi cette magie là je ne l’explique pas.»

«Belaïli avec l’EN ou en club, c’est le jour et la nuit»

«Belaïli, je le vois en club, comme je le fais avec tous les joueurs, c’est le jour et la nuit avec ce qu’il vous donne en équipe nationale. D’ailleurs des fois les présidents de clubs m’appellent et me demandent pourquoi il est comme ça chez nous et pourquoi il est comme ça chez toi ? Je leur réponds que je ne sais pas. Chacun à sa manière de voir les choses, chacun à sa manière de gérer les joueurs de les mettre dans les meilleurs dispositions, ou l’environnement, mais moi ce qui m’intéresse c’est l’équipe nationale voilà.»   

Convoqué après un moment d’absence, le défenseur central de Bordeaux, Abdel Medioub, arrive en renfort pour palier l’éventuelle absence de Benlamri. Bien que le bordelais de 24 ans ne joue que rarement, Belmadi qui n’avait pas beaucoup d’option l’a choisi pour être certainement le remplaçant de Touba si c’est ce dernier qui est aligné face au Niger. Belmadi préfère avoir toujours une carte de plus et c’est ce qu’il explique en conférence de presse «Il y des absences en défense avec la situation de Djamel qui reste incertain. Le réservoir des joueurs n’est pas infini. On n’a pas un milliard de joueurs et les situations comme ça nous le démontre. Abdeldjalil est un joueur que sérieux, il a déjà joué cette année avec Bordeaux. Je l’apprécie beaucoup, il a vraiment de qualités et pourrait jouer dans pas mal d’autres équipes. Dans une équipe d’un autre calibre que Bordeaux, aujourd’hui quand on voit la situation dans laquelle ils sont, je pense qu’il peut rendre service. Je crois qu’ils ne peuvent pas faire pires que ce qu’ils font maintenant. Je crois qu’ils sont dans les dernières places au classement. Mais Medioub, est un joueur qui aura son mot à dire dans l’avenir.»

«Je suis très content du retour de Fares. Il a été absent pendant un long moment ce qui était dû à plusieurs choses. Il a eu les ligaments croisés, des absences, peut être aussi du mal à trouver ses marques. Bref, il y a un mélange dans l’approche de l’investissement que je demande et que j’espère des joueurs en EN. Peut-être une incompréhension, maintenant il est très heureux de nous rejoindre, il est encore jeune, il à 25ans, il a vraiment envie. Je me souviens d’un match en Gambie, qui avait d’ailleurs débuté avec 2 heures de retard, c’était mon premier match d’ailleurs que je n’oublierai jamais. Dans des conditions difficiles et un terrain impraticable il était le plus déterminé et qui avait donné beaucoup d’espoirs pour l’avenir. Après il y a eu des problèmes, notamment sa grosse blessure. A présent il arrive à point nommé avec la situation de Bensebaïni. De toute manière nous aurons toujours besoin de joueurs de qualité dans un championnat ou tout ce qui est aspect défensif ils excellent et ou on peut qu’apprendre avec les italiens. Inchallah il peut être d’un apport non négligeable.»

Convoqué en même temps par l’EDF et l’équipe d’Algérie, le jeune international U18, Yannis Lagha, a opté pour les Verts sans hésiter. Un fait qui a beaucoup plu à Belmadi qui n’a pas hésité à lui tirer son chapeau «Franchement je lui tire mon chapeau à Lagha. J’ai souvent cité cet exemple des joueurs qui choisissent l’Algérie. On n’a jamais eu un joueur en jeunes catégories qui prend la décision de ne pas jouer pour l’équipe de France et de choisir l’Algérie. Un joueur qui était en EDF et qui se dit que je ne vais plus joueur pour la France je veux joueur pour l’Algérie, on n’a jamais eu ça. Un joueur qui renonce de jouer pour la France, j’en connait pas et si quelqu’un en connait j’aimerais savoir de s’agit-il.» A ce moment les journalistes évoquent Boudebouz avant que Belmadi revienne sur le cas de Lagha en disant qu’il aura tout son soutien «Pour moi c’est des cas uniques. On lui tire le chapeau et on lui souhaite toute la réussite en club et en sélection au jeune Lagha. En tout cas il a tout notre soutien et on lui souhaite tout le bonheur du monde pour son avenir.»

 

Lors de la conférence de presse, Belmadi a été interrogé sur le manque de temps de jeu de Mahrez et Mandi avec leurs clubs respectifs. Un paramètre qui ne semble pas inquiéter Belmadi, du moment que les joueurs joue quand même. Avec quelques matches dans les jambes, ça suffit pour être en forme pour l’EN, ce qu’avait d’ailleurs prouvé Mahrez lors de la CAN après avoir vécu la même situation à l’époque.

Il est probable que Mahrez et Mandi, n’apprécient pas qu’ils ne jouent pas trop en club depuis le début de saison. Un joueur veut toujours être sur le terrain. Mais si on remonte à l’avant CAN 2019, Mahrez était dans la même situation. Son club jouait trois matches par semaine en prenant compte de la Ligue des Champions. Nous en tant qu’algériens on veut le voir jouer tous les matches. Maintenant Pep Guardiola n’est pas algérien et il gère son effectif, donc il n’a pas la même position que la nôtre. Lui il le voit comme ça et si vous analysez bien, un Mané, on ne peut pas dire qu’il a fait une meilleure CAN d’un point de vu individuel pour un joueur de ce talent. Encore plus pour Salah qui est sorti prématurément de la CAN. Eux ils jouaient trois matches par semaine. Mahrez jouait un match par semaine, ce qui est l’équivalent de 80 ou 85% du reste des joueurs de l’EN, ça suffit. La plupart de nos joueurs ne disputent pas la Ligue des Champions ou la Ligue Europa, donc ils ont un match par semaine, ce qui est un rythme plus ou moins normal. Certes lui il veut jouer tous les matches mais pour moi ça suffit. Concernant Mandi, il éprouve un peu plus de difficultés. Il joue siffisament, il était d’ailleurs présent contre le Bétis de Séville. C’est vrai qu’il ne joue pas tous les matches, comme pour la Ligue des Champions. Il joue assez, en plus Aissa est d’un professionnalisme exemplaire donc je ne suis pas inquiet pour ces deux joueurs.»

Pour définir la sélection algérienne, le sélectionneur du Niger, compare les Verts avec les sommets de l’Himalaya. C’est pour définir la différence de niveau entre les deux sélections mais ne compte certainement pas se laisser faire dans cette rencontre des éliminatoires de la Coupe du Monde dans lesquels le Niger n’a rien à perdre.

"En ce qui concerne les éliminatoires c’est une grande surprise aujourd’hui, pour moi pour mon équipe, pour le monde du football de nous retrouver après deux jours à un point du premier, avec deux rencontres qui ont été très difficiles mais des effets de jeu ont prévalus. Je pense surtout au match du Burkina Faso. J’aurais préféré jouer ce match à Niamey, ça aurait été plus juste pour un petit pays comme le nôtre. Je pense que si nous avions reçu le Burkina chez nous, les données auraient été différentes aujourd’hui pour tout le monde. je pense que celui qui a le plus tiré profit de cette journée-là, c’est bien le Burkina Faso. Par la suite nous avons affronté avec beaucoup de déception le Djibouti. Je dis avec déception car face au Burkina on avait beaucoup de regrets. Dans le football il n’y a rien de pire que de sortir d’un match avec des regrets. On a su redresser la barre ce qui n’était pas évidant face à Djibouti, ce sursaut nous a permis de rétablir beaucoup de choses et revenir avec d’autres intentions. Ce n’était pas évident car on était condamnés à gagner face à Djibouti. On l’a fait je suis fier des joueurs et je suis content aujourd’hui de jouer cette double confrontation face à l’Algérie. D’habitude on se faisait éliminer dès la deuxième journée, cette fois ci ce sera un match qui aura beaucoup d’importance. On sait que l’Algérie c’est l’Himalaya, on sait qui on va affronter mais le plus important dans le football c’est de rester lucides.» Déclare le sélectionneur national du Niger. Connaissant le football algérien, il souligne que la sélection est composée majoritairement de joueurs venant d’Europe «J’ai 32ans de carrière, j’ai presque fait tous les continents et il faut être prêt à faire ce métier. Qui aujourd’hui n’analyse pas les équipes, n’a pas les moyens techniques pour savoir face à qui on va jouer. On sait que l’Algérie possède une sélection composée majoritairement d’expatriés, il y a certes quatre ou cinq locaux. Donc je ne pense pas que le fait que je connaisse le football algérien va m’avantager. Ça va être un match très difficile.» Croyant en les chances du Niger malgré la différence, Cavalli que même si les chances sont minces sa sélection peut bousculer le champion d’Afrique «Sur le plan technique je sais que c’est difficile de faire le poids, sur le plan du jeu je pense que nous pouvons bousculer l’Algérie. Mes joueurs vont tout faire pour montrer le meilleur visage possible sur le terrain. Je pense qu’on peut défendre nos couleurs comme il faut, après il faut être raisonnable, on n’a pas les mêmes éléments et pas les mêmes compétitions pour les joueurs, nous n’avons qu’un joueurs qui a disputé la Ligue des Champions, donc il y a un certain écart. Je pense que si nous faisons un bon résultat, ce sera le fruit a notre investissement, le cœur et notre solidarité, mais si on ne le fait pas on doit montrer un bon visage et ne pas sombrer face à l’Algérie"

«Nous avons tiré les enseignements du nul face au Burkina Faso»

«Nous avons bien analysé la rencontre contre le Burkina Faso pour en sortir avec des enseignements. Il y a le paramètre du temps qui est toujours court pour chaque chose que nous devons faire. Que ce soit pour chaque séance d’entraînement, chaque meeting, les séances vidéo et Dieu seul sait qu’on en a beaucoup. Tout ce qu’on fait doit toujours tendre vers le match qui arrive. Les enseignements qu’on tire du match du Burkina c’est justement pour le match face au Niger. Après il vaudrait mieux éviter d’entrer dans le détail puisqu’en face il y a un entraîneur qui parle français donc qui risque de comprendre et ça ne serait pas judicieux de lui montrer des choses. Je pense qu’il a dû nous analyser aussi et avoir pas mal de renseignements.»

«Le nul face au Burkina Faso nous servira pour ne plus reproduire les mêmes erreurs»

«Lorsqu’on analyse le match, on sait désormais quels sont les choses qu’on ne veut plus et ne doit plus faire. Tout ne peut pas être parfait c’est sûr, la deuxième mi-temps face au Burkina nous reste en travers de la gorge. On avait fait une bonne première période. on avait par contre 20 ou 25 minutes ou on avait un vrai passage à vide. On a analysé ça et on ne compte pas retomber dans la même erreur. Les joueurs sont très réceptifs. On a montré les situations, ça fait mal quand on les voit, mais c’est un mal pour un bien.»

«Je laisse Bedrane parler de la pelouse de Tchaker»

Interrogé sur la qualité de la pelouse de Tchaker qui avait sucité une polémique dernièrement, Belmadi a laissé le soin au joueur de répondre qui n’a pas trouvé autre chose à dire que la pelouse ne permettait pas de développer du beau jeu «Lors du  premier stage tout le monde avait vu la qualité du terrain. La vérité je ne m’attendais pas à ce qu’on retrouve une nouvelle fois la pelouse en mauvaise état. Vous savez bien que nos joueurs évoluent sur des terrains de qualité. Personnellement, quand j’étais jeune, je n’avais jamais vu l’état de la pelouse comme cette fois, mais on n’a pas le choix on doit s’adapter.» Puis Belmadi rétorque «Ce n’était pas préparé.»

«Nous rapprocher du record mondial d’invincibilité ne veut pas dire que c’est notre objectif principale qui est en vrai la qualification au mondial»

«Le vrai défi pour nous c’est la qualification pour la Coupe du Monde, ce qui n’est pas chose aisée. Moi je le dis et je le redis, quand certains nous voient en quart de finale de la Coupe du Monde, je ne sais pas s’ils font ça de manière ambitieuse et de l’espoir, ou pour mettre une mauvaise pression. Moi mon objectif est qu’on se qualifie ce n’est pas les records. Après battre le record d’Afrique, ce qui a été fait, ensuite battre le record du monde, certes en soi c’est énorme, c’est vrai qu’on n’est pas loin. Si on y arrive, ça voudra dire qu’on se rapproche de l’objectif qui est d’aller à la CDM et en même temps de ce record que je rappel n’est pas notre principal objectif, qui reste toutefois lié à cette qualification.»

«Brahimi a surement encore des choses à donner à l’EN»

«Yacine Brahimi figure toujours dans la liste élargie et reste toujours sélectionnable. C’est un joueur important qu’on n’oublie pas et qu’on suit. Je suis certain qu’il a encore beaucoup à donner à l’EN.»

 

A la veille de la rencontre de la 3e journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022, l’Algérie qui recevra vendredi au stade Mustapha Tchaker de Blida la sélection du Niger, compte 4 victoires sur cinq matches face au voisin nigérien. En cinq rencontres, les Verts se sont incliné une seule fois. Comptant 14 buts inscrits contre un seul d’encaissé face au Niger, l’équipe d’Algérie part cette fois également avec les faveurs des pronostics. La première rencontre remonte à l’année 1981 tandis que la dernière fois que les deux sélections se sont affrontées, c’était en 2012 en amical. C’est le seul match amical disputé entre l’Algérie et le Niger.

1981 : victoire 4 à 0 avec un doublé de Belloumi

La première confrontation entre les deux équipes nationales de l’Algérie et du Niger, remonte à l’année 1981. Les Verts avaient reçus le Niger à Constantine dans un match comptant pour les éliminatoires de la Coupe du Monde. L’EN s’est imposée sur le score de 4 à 0 avec un doublé de Belloumi, un but de Madjer et un autre signé Korichi. C’était lors de la belle époque des Assad, Fergani, Dahleb et bien d’autres grands noms.  

1981 : L’unique défaite au Niger sur le score de 1 à 0

La seule fois dans laquelle l’EN s’est inclinée face au Niger, c’était lors du match retour des éliminatoires de la Coupe du Monde. Les Verts ont perdus à Niamey sur le score de 1 à 0 avec une réalisation de Seydou. Ce sera l’unique victoire du Niger face à l’Algérie.

2003 : L’EN s’impose à Niamey sur le score de 1 à 0

Pendant plus de 20ans, les deux sélections ne se sont plus recroisés ni en amical ni en officiel. L’Algérie et le Niger se sont retrouvés en 2003, une nouvelle fois en éliminatoires de la Coupe du Monde. Ce jour-là, l’EN est allée s’imposer au Niger avec un but signé Boutabout sous la houlette de Rabah Saâdane. Il s’agissait de a première victoire face au Niger chez ce dernier.

2003 : Ecrasante victoire des Verts sur le score de  6 à 0

Toujours en éliminatoires de Coupe du Monde, l’Algérie qui avait reçue au match retour le Niger au stade du 5 juillet, s’est imposée sur un score fleuve. Avec une équipe composée d’un mélange de professionnels évoluant en Europe et de joueurs locaux, c’était une équipe qui avait donné beaucoup d’espoirs aux supporters algériens. Dans cette rencontres, les Verts s’étaient imposés grâce à un doublé de Cherrad, un autre de Boutabout, Mamouni et Akrour.

2012 : Victoire 3 à 0 en amical

La dernière confrontation entre les deux sélections remonte à 2012. Presque 10 ans sont passés depuis cette dernière rencontre qui s’était terminée par une victoire de l’EN. Une période durant laquelle la sélection algérienne carburait assez bien. Cette victoire par 3 à 0, a été enregistrée au stade Mustapha Tchaker qui abritera demain la rencontre face au Niger. Ce match amical s’était terminé une nouvelle fois sans que les Verts n’encaissent de but. Les réalisations de l’Algérie ont été l’œuvre de Djebbour le spécialiste à l’époque des buts en amical, ainsi Soudani, alors que le score avait été ouvert après un c.s.c du défenseur Kofi Donkwa.

L’Algérie qui compte 4 victoires contre une défaite face au Niger va tenter d’enregistrer un cinquième succès face au même adversaire ce vendredi. L’EN, à une belle occasion d’améliorer ses chiffres face au voisin du sud et d’avoir de meilleurs statistique, tout en enchaînant avec un 30e match sans défaite qui rapprochera les Verts du top des sélections avec la plus longue série d’invincibilité.

Top buteurs face au Niger

Boutabout : 3 buts

Cherrad : 2 buts 

Belloumi : 2 buts

Madjer : 1 but

Korichi : 1 but 

Mamouni : 1 but

Akrour : 1 but

Djebbour : 1 but

Soudani : 1 but 

Le sélectionneur national du Niger, Jean Michel Cavalli, animera une conférence de presse ce jeudi à l’hôtel Mercure d’Alger à partir de 16H00, pour parler de la rencontre de la 3e journée des éliminatoires de la Coupe du Monde face à l'Algérie. Cavalli, sera accompagné par un des joueurs de la sélection nigérienne indique la FAF. Ayant eu droit à une séance d’entraînement sur la pelouse du stade de Rouiba mercredi, l’adversaire des Verts dans ces éliminatoires aura droit à une séance d’entraînement sur la pelouse qui abritera la rencontre. Prévue à 18h00, la séance sera ouverte pendant un quart d’heure aux médias pour prendre quelques images