Ils ont négocié jeudi dernier avec Aksas, mais comme ce dernier a placé la barre très haut, ils se sont tournés vers Maïza. Ils l’ont contacté dans la soirée de samedi. Ils lui ont fait part de leur intérêt en lui assurant que la JSK a besoin de lui lors de la seconde manche du championnat. Ils négocieront avec lui dès que le joueur récupérera sa lettre de libération. Inutilisé à l’USMA, Maïza a demandé à ses dirigeants de le laisser partir.
M.A
«Oui, la JSK m’a contacté»
Joint dans la soirée d’hier, Adel Maïza confirme ses contacts avec la JSK. Il ajoute qu’il devra récupérer sa lettre de libération aujourd’hui ou demain. «Oui, un dirigeant de la JSK m’a appelé au téléphone avant-hier. Il m’a parlé de la convocation de Rial et Belkalem en équipe nationale. Je lui ai dit que je dois d’abord récupérer ma lettre de libération avant de négocier avec lui. Je tiens à préciser que l’USMA ne m’a pas libéré, mais c’est moi qui ai insisté pour que je parte. Mes responsables m’ont promis de me remettre ma lettre de libération aujourd’hui. Concernant les chances de me voir à la JSK, tout dépendra des négociations que j’aurai avec les responsables de ce club. Il y a aussi d’autres équipes qui me convoitent», a expliqué Maïza.
Hannachi opte pour l’attaquant bolivien
Selon une source autorisée, l’attaquant bolivien que convoite le président Hannachi depuis quelques jours sera à Tizi Ouzou la semaine prochaine. Son arrivée était prévue pour ce mercredi, mais comme la JSK a un match important à préparer face au MCA pour le compte des 1/16 de finale de la coupe d’Algérie, les dirigeants lui ont donné rendez-vous pour la semaine prochaine. Le président Hannachi s’est rabattu sur l’attaquant bolivien suite à l’échec des négociations avec l’attaquant de l’Union de Douala, Charles Edoa Nga en l’occurrence. Son président a exigé plus de 120 000 euros en contrepartie de sa lettre de libération. Et pour ne pas se retrouver sans renfort en ce mercato hivernal, le président Hannachi a opté pour l’attaquant bolivien dont les responsables ne disent que du bien sur lui. Même si les dirigeants affirment qu’il sera soumis à des tests, une source digne de foi nous a confié que l’entraîneur Nacer Sandjak le verra à l’entraînement pendant trois à quatre jours avant d’être invité à signer son contrat.
M. A.