Depuis l’arrivée d’Abdelkader Amrani qui a, rappelons-le, succédé à Aziz Abbas, depuis six matchs, le CABBA n’a enregistré aucune victoire que ce soit at home ou à l’extérieur des bases.

En effet, la dernière victoire était contre le WAT au 18^e round où Amrani se contentait du simple rôle de superviseur. Mais depuis cette rencontre, le Ahly a enchaîné les échecs : JSS, USMA, MCO, ASOC, USMBA et JSMB avec un total de 4 points en six matchs.

 

Amrani pointe du doigt l’arbitrage

Pour justifier l’échec de ses poulains face à la modeste équipe de la JSMB, Amrani pointe du doigt l’arbitrage : « L’arbitrage nous a privés  d’un penalty valable à Bel Abbès, l’arbitre a sifflé pour l’adversaire un penalty nettement moins valable que celui-là», déclare-t-il. «Maintenant, le résultat des matchs se négocient dans les coulisses non pas sur le terrain et le CABBA en est l’une des victimes de ces combines», enchaîne-t-il.

 

Il n’a pas démissionné

Bien qu’ayant officiellement présenté sa démission juste après la fin du match au président du CA, Moussa Merzougui, Amrani demeure bel et bien le coach du Ahly. Pour cause, Merzougui avait rejeté ladite intention de démission de l’entraîneur. «Accepter en ce moment difficile la démission de l’entraîneur pourrait briser complètement l’équipe», dira le président du CA qui disait pourtant sans doute sous l’effet des nerfs, juste après la fin du débat, qu’une équipe qui ne pouvait pas battre une modeste JSMB, faisant allusion bien sûr à son équipe, ne pourra jamais réussir à battre de gros calibres comme le MCA, le CRB ou l’ESS, faisant allusion aux trois derniers matchs à domicile des Jaune et Noir.

 

Trois blessés et trois changements obligatoires

Les blessures de Mosrati au niveau de la cuisse, «il traînait cette blessure depuis une semaine», rapportait le médecin de l’équipe, lequel informe qu’il n’avait même pas été mis au courant de ce cas, Benchergui, au niveau de l’épaule (le joueur a été transporté à l’hôpital en début de seconde mi-temps), pris à peine un quart d’heure après celle de Mansour à la cheville gauche, dans le même match, ont faussé les calculs du driver qui était contraint d’effectuer trois changements imposés qui ne relèvent nullement d’une stratégie tactique.

L. B.

 

Mesfar : l’attaquant des ratages exceptionnels

Bien servi à deux reprises par Mosrati, qui l’avait démarqué en position de face-à-face, avec le keeper, Mesfar avait raté deux vraies opportunités de scorer. Le même attaquant sera également servi par Ammour dans la surface des six mètres, mais il échouera une fois encore dans une position pourtant idéale pour marquer.

 

Belkheir a raté la balle du match

On jouait la 94^e minute lorsque Belkheir, seul devant Cédric, dans un cafouillage qui empêchait pourtant le keeper de voir la balle, n’avait pas réussi à offrir la victoire à son équipe faute d’e bon ajustement du cuir, qui finira dans les bois du portier.