D’autres noms pourraient être utiles au coach. Ils ne font pas partie du fameux cercle du président, certes, mais leurs compétences et surtout leur personnalité nous poussent à dire qu’ils pourront, si la FAF décide de rompre avec la politique actuelle, donner un plus et aider le coach Vahid Halilhodzic dans sa mission. Parmi les techniciens locaux, capables de faire, si la chance leur est donnée bien sûr, un bon adjoint au coach Vahid, on citera Hakim Medane, un homme intègre, compétent et surtout fort de personnalité qui a déjà fait ses preuves avec les U17 en leur faisant atteindre la finale de la Coupe d’Afrique des nations et se qualifier au Mondial. Ibrir, lui aussi, est un vrai formateur. Ecarté pour des raisons qui restent inconnues, Ibrir engagé par Hedadj a disparu de la circulation. Lui aussi au lieu d’être au service des jeunes sélections ne fait pas partie du cercle…
Ce ne sont pas des béni-oui-oui…
Plusieurs autres techniciens locaux peuvent faire partie du staff national. Djamel Menad, entraîneur du Mouloudia d’Alger, ou même Kheireddine Madoui qui a réussi à collaborer avec Geiger et Velud sans aucun problème, Hakim Sebaâ, entraîneur des gardiens de but de la JSMB au CV très impressionnant… Ou encore Guendouz, Charef ou Bouarrata connus pour leur franc-parler, leur forte personnalité et surtout leur aura sont tous des techniciens ignorés par la FAF. On pourra citer plusieurs autres noms susceptibles de faire l’affaire, comme Bouali, Biskri, Oudjani, Mustapha Sebaâ, Dziri et autres, mais comme on l’a dit un peu plus haut, ces jeunes techniciens ne font pas partie du cercle, ils sont donc éliminés d’office. On ne connaît pas les critères sur lesquels l’instance dirigeante de notre football se base pour choisir ses hommes, mais ce qu’on sait par contre, c’est que la compétence n’est pas prise en considération.
- A. B.