Ainsi, et si l’on croit les médias français, l’équipe de France a déjà mis la main sur son camp de base. Il s’agirait de l'hôtel JP situé à Ribeirão Preto à 300 km au nord de Sao Paulo. Malgré ses 20 000 m² d'installations avec piscines, spa, sauna, salles de conférences, terrain de football ou court de tennis, le prix des chambres oscille entre 75 et 160 euros la nuitée.
«L'erreur» de Knysna en Afrique du Sud ne sera donc pas commise une seconde fois. Lors de la Coupe du monde 2010, les Bleus avaient, en effet, séjourné au Pezula Resort, un complexe cinq étoiles où le prix minimum de la nuit était fixé à 590 euros...
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Accompagné notamment de Noël Le Graët, le président de la FFF, le sélectionneur Didier Deschamps a validé le choix de cet établissement confortable après l'avoir visité le vendredi 7 juin dernier, soit un an avant le Mondial !
La distance avec les différents stades où joueront les Bleus et la météo habituellement constatée à cette période de l'année ont convaincu le staff des Bleus. Ça devrait donc être les mêmes critères que suivront les émissaires de la FAF.
A noter que les Français ont aussi pensé à leurs médias en leur réservant un théâtre au centre-ville.
En plus de la France, les équipes ayant pris part à la dernière coupe des Confédérations devraient aussi avoir une idée sur leur prochain QG. Ceci dit, et vu le nombre de matches et des déplacements en Coupe du monde, ils attendront peut-être le tirage au sort du 6 décembre pour trancher.
Vahid, la FAF, les Ivoiriens et la carte bleue !
En Afrique du Sud, plus précisément à Rustenberg, l’EN avait été doublée. Elle avait réservé le Royal Bafokeng Centre pour qu’il soit son QG, mais sans payer, cela a facilité la tâche aux Ivoiriens qui sont venus nous griller la politesse. Ils ont carrément pris le centre, obligeant l’EN à aller au Kwa Maritane, un hôtel plein de touristes, chose qui avait irrité Vahid qui a critiqué le manager de l’EN à l’époque. Une situation que la FAF fera en sorte d’éviter cette fois-ci, car c’est le genre de détails qui peuvent perturber un groupe avant une compétition d’une telle importance.
S. M. A.