Madjid Bougherra, présent en Algérie pour passer son diplôme d’entraîneur, croit en les chances des Verts d’arracher une victoire face à l’Ethiopie aujourd’hui. Alors qu’il a participé au retour de l’équipe nationale au sommet du football africain, le défenseur axial algérien et ancien capitaine des Verts nous a donné son avis sur la rencontre d’aujourd’hui : «En ce qui concerne le match de ce vendredi, je suis très confiant par rapport à la qualité de l’équipe et des joueurs que nous avons. J’ai eu de très bons échos sur certains joueurs, leur état d’esprit est très bon. Il faut gagner ce match-là afin de négocier sereinement la suite de la compétition.»
«Je suis encore loin de devenir entraîneur»
Comme tout le monde sait, l’ex- capitaine des Verts est présent en compagnie d’autres joueurs à l’Institut de Aïn Benian pour passer son diplôme d’entraîneur. C’est pour dire que Madjid Bougherra prépare déjà sa reconversion : «Je suis encore loin, il reste encore le CAF B, le CAF A, et de ce fait ça demande encore un certain temps pour avoir les diplômes requis et devenir entraîneur. En tout cas, on apprend beaucoup de choses lors de nos formations, je ne pensais pas que le métier d’entraîneur était aussi complexe», avant d’ajouter : «Je suis encore un joueur, je joue actuellement à Dubai, on verra l’année prochaine où je serai. Comme vous le savez, je prépare mes diplômes, mais je ne sais pas encore ou j’entrainerai ni quand je commencerai».
«Très confiant pour le match d’aujourd’hui»
Madjid Bougherra, qui a vécu de très belles années avec l’équipe nationale, rêve d’y revenir un jour, mais cette fois-ci pour faire partie du staff technique national. Un souhait qui, pour le Magic, n’est néanmoins pas à l’ordre du jour : «D’abord ce n’est pas à l’ordre du jour et en plus ça ne sera pas à moi d’en décider. Dans un premier temps, il faudra avoir les bonnes compétences. Mais bon ça serait un rêve et un honneur à l’avenir d’intégrer l’équipe nationale, car j’y ai vécu de très bons souvenirs et pourquoi pas en créer de nouveaux mais cette fois-ci de l’autre côté de la barrière.»
M. K.