Comme tout le monde le sait, c’est sous la houlette de Nabil Neghiz que notre équipe nationale disputera son match face aux Seychelles le 2 juin prochain. Comme tout le monde le sait, c’est sous la houlette de Nabil Neghiz que notre équipe nationale disputera son match face aux Seychelles le 2 juin prochain.

 Il aurait déjà tout conclu avec lui

-       Il attend sa résiliation de contrat avec sa fédération

Il faut dire qu’immédiatement après le départ de Christian Gourcuff, le président de la Fédération algérienne, Mohamed Raouraoua, a fait savoir qu’il prendrait tout son temps pour choisir le futur sélectionneur de l’EN, d’autant plus que les Verts auront à disputer un match seulement en cette fin de saison, une rencontre comptant pour les éliminatoires de la CAN et un point seulement suffirait pour faire le bonheur de Medjani et ses coéquipiers quant à leur présence au Gabon au mois de janvier prochain. C’est pour dire qu’à aucun moment, le boss de la FAF n’a semblé inquiet ou même paniqué quant à la situation actuelle, à savoir que l’EN n’a toujours pas d’entraîneur. Il faut dire aussi que beaucoup de noms ont été cités au cours de ces dernières semaines. Des entraîneurs qui ont été choisis dans une short-list et à qui des pré-contrats ont été envoyés.

Raouraoua n’a jamais été aussi serin

Pour la FAF, pas question donc de procéder dans l’urgence et cela afin de ne pas se tromper sur le futur sélectionneur, comme ce fut le cas pour Christian Gourcuff, car il faut avouer que ce fut une véritable erreur de casting concernant l’ancien entraîneur des Merlus. Mais ne pas agir dans l’urgence, n’est pas du tout dire pour Mohamed Raouraoua qu’il ne faut pas prendre les devants et contacter les entraîneurs qui répondent au profil recherché. En fait, et d’après une source proche de la FAF, si Mohamed Raouraoua se montre aussi serin quant à la désignation du futur coach des Verts, c’est tout simplement parce que son choix a déjà été fait. D’ailleurs, on croit savoir qu’un accord a même été trouvé entre les deux parties quant à l’idée de driver l’EN cet été, avec comme principal objectif la prochaine CAN au Gabon, mais surtout une qualification pour le Mondial en Russie. Une troisième qualification de suite pour une Coupe du monde, ce qui consisterait un véritable exploit, car jamais auparavant une équipe nationale algérienne n’a réussi cela.

Pourquoi une telle discrétion ?

Ainsi, et si un accord a été trouvé, on pourrait donc s’interroger, pourquoi est-ce que le boss de la FAF tairait le nom du futur sélectionneur, car il faut dire que même ses proches collaborateurs ne sauraient pas de qui il s’agit. Et bien, toujours d’après la même source, si Mohamed Raouraoua préfère rester aussi discret, c’est tout simplement parce que cet entraîneur est toujours sous contrat avec sa fédération. Il attend donc que ce dernier puisse résilier ledit contrat afin d’annoncer officiellement son nom. Place donc aux spéculations car des entraîneurs liés avec des fédérations y  en a à la pelle, reste à savoir s’il s’agit d’un coach concerné par le prochain Euro en France ou non. Affaire à suivre…

Asma H. A.   

Un modèle de contrat a bel et bien été envoyé à Prandelli

Sachant qu’il est libre de tout engagement, l’ancien entraîneur de la Squadra Azzura consistait le deuxième, voire la troisième option de la Fédération algérienne de football. De ce fait, et au vu de l’intérêt de ce dernier, un modèle de contrat lui a été officiellement envoyé par mail, mais Prandelli a envoyé un SMS à Mohamed Raouraoua lui faisant savoir qu’il n’était pas intéressé et que pour des raisons familiales, il préférait rester en Italie : «Je ne comprends pas pourquoi cet amalgame. Un modèle de contrat lui a bel et bien été envoyé, mais ce dernier qui a montré un intérêt au départ a finalement dit non. On pense qu’il s’est plutôt servi de la FAF pour mettre la pression sur le club avec qui il négocie en Italie. En fait c’était ça son objectif», nous dira une source proche de la FAF.