Il leur a promis qu’avec l’effectif dont dispose l’équipe, il jouera aisément les premiers rôles. Il lui a suffi de visionner la cassette de la rencontre jouée à Bologhine face à l’USMA pour se rendre compte que la JSK mérite d’être au haut du tableau et non pas au milieu. Son premier constat a plu aux dirigeants, lesquels pensent qu’il a pu déceler les lacunes de l’équipe en deux jours, alors que l’ancien entraîneur n’avait pas réussi à trouver les solutions malgré sa connaissance du groupe. «Avec quelques réglages, cette équipe fera très mal à l’avenir», a confié le coach tunisien à ses dirigeants. Il ne leur a pas promis le titre vu que la JSK accuse pas moins de 11 points par rapport au leader, mais il est convaincu que dans le pire des cas, elle terminera la saison sur le podium. Estimant que Hidoussi répond à tous les critères de l’entraîneur dont il rêve, le président Hannachi lui a fait signer un contrat de deux ans. C’est la première fois qu’il fait signer un entraîneur pour plus d’une saison. Même si certaines personnes ont tenté de lui faire changer d’avis, le président Hannachi est convaincu de son choix.
«L’équipe manque d’organisation tactique»
Le coach tunisien ne connaît certes pas la valeur réelle de l’effectif kabyle, mais cela ne l’a pas empêché de se faire déjà une idée sur l’équipe. Il a eu une longue discussion avec l’entraîneur intérimaire Mounaïm Kherroubi mercredi dernier et celui-ci l’a briffé sur ce qui ne va pas dans l’équipe. D’après une source digne de foi, Hidoussi a indiqué à ses dirigeants que leur équipe manque d’organisation tactique et que certains joueurs ne sont pas utilisés à bon escient. Sans vouloir critiquer son prédécesseur qui a fait de son mieux pour redresser la barre, le désormais ancien coach de la JS Kairouan est persuadé que les joueurs ne sont pas les seuls responsables dans le mauvais parcours enregistré par l’équipe en ce début du championnat. Il aurait aimé superviser l’équipe aujourd’hui face au MCO avant d’avoir une idée précise sur chacun de ses titulaires avant d’entamer officiellement sa mission avec la JSK, mais il est obligé de coacher pour la dernière fois la JS Kairouan ce week-end, il est rentré hier chez lui en Tunisie. A son retour, il aura sans nul doute des entretiens avec l’entraîneur intérimaire Kherroubi et les joueurs pour tenter de comprendre ce qui ne va pas dans l’équipe. Il s’est déjà fait une idée sur le groupe, mais il a besoin d’écouter Kherroubi et les joueurs pour apporter les solutions adéquates. Son atout majeur est que malgré ce qui se dit sur lui est que c’est quelqu’un qui ne badine pas avec la discipline et qu’il est rigoureux dans son travail. Son prédécesseur avait instauré une discipline de fer, mais certains cadres avaient réussi à le contraindre à la démission. Contrairement à lui, Hidoussi veut gagner la confiance de tous ses joueurs. Il ne veut entrer en conflit avec aucun d’entre eux, mais cela ne veut pas dire qu’il ne sévira pas lorsque la situation l’exige. Il mettra tout le monde sur un pied d’égalité et il n’y aura pas de privilégiés avec lui. Pour ne pas revivre le scénario de Mouassa, il sait que son seul allié ce sont les résultats et qu’il ne doit pas créer deux collèges de joueurs dans son groupe.
N. Boumali
Aïboud out
L’attaquant Samir Aïboud sera le plus grand absent dans ce match face au MCO. Blessé à la cuisse, il a été contraint de déclarer forfait pour le rendez-vous de cet après-midi pour ne pas aggraver son cas.
Titulaire à part entière depuis l’entame de la saison, Aïboud a été l’un des meilleurs joueurs de la JSK en ce début du championnat. Sa polyvalence lui a permis de devenir une pièce maîtresse sur l’échiquier des Jaune et Vert. Sa défection risque d’influer sur l’équipe, mais l’entraîneur intérimaire Mounaïm Kherroubi a préféré le ménager pour ne pas courir le risque d’aggraver son cas.
N. B.
Djerrar : «Mouassa voulait briser ma carrière»
«Il ne me faisait pas jouer pour des raisons extra-sportives»
«Il me détestait et ne me parlait même pas»
«La priorité est de battre le MCO»
«On aidera Hidoussi dans sa mission»
Après s’être longtemps muré dans son silence, Adel Djerrar revient pour la première fois sur son calvaire. N’ayant fait qu’une brève apparition sous l’ère Kamel Mouassa, l’ex-pensionnaire du RC Relizane estime que ce dernier ne l’a pas fait jouer pour des raisons extra-sportives. Il attend maintenant d’avoir sa chance, mais il tient à préciser que l’important pour le moment est que l’équipe gagne cet après-midi face au MCO.
Comment se présente pour vous le match de cet après-midi face au MCO ?
C’est un match très difficile, mais on doit impérativement le gagner. On a bien préparé ce rendez-vous et on ne croit qu’à la victoire. Tout le groupe sait que le faux pas est interdit et qu’on doit faire le maximum pour récolter les trois points de cette rencontre.
L’absence du public n’arrangera pas vos affaires, surtout que vous n’avez pas réussi à gagner le moindre match à domicile depuis l’entame de la saison…
C’est vrai que l’absence du public compliquera un peu notre tâche, mais la victoire ne doit pas nous échapper. On est dos au mur et il faut coûte que coûte glaner les trois points dans ce match pour tenter de remonter la pente. On a certes concédé quatre semi-échecs à domicile en autant de rencontres, mais il est temps qu’on réapprenne à gagner sur notre terrain. Cela dit, on ne rechignera pas à l’effort pour enregistrer notre première victoire à domicile.
Après le départ de Mouassa, vous aurez voulu certainement avoir une chance, n’est-ce pas ?
Oui, j’espère avoir ma chance, mais en toute sincérité, le plus important est que l’équipe gagne face au MCO. Notre priorité est de renouer avec les bons résultats afin d’améliorer notre classement.
Vous avez vécu des moments difficiles sous l’ère Kamel Mouassa, comment avez-vous tenu le coup ?
J’ai vécu un véritable calvaire avec Mouassa. J’ai tenu le coup, car je suis un joueur professionnel. Il ne me faisait pas jouer pour des raisons extra-sportives, mais je n’avais jamais contesté ses décisions. Il me détestait et je ne sais toujours pas pourquoi. Je ne me concentrais que sur mon travail même si, au fond de moi, j’étais victime de la hogra. Je suis un employé du club et je devais accepter les décisions de l’entraîneur même si elles sont injustes.
Vous n’étiez pas convoqué à trois reprises dans la liste des 18, cela vous a fait certainement très mal, n’est-ce pas ?
Oui, le plus grave est que l’entraîneur ne m’ait jamais parlé. S’il était venu vers moi pour m’expliquer les raisons qui l’avaient poussé à ne pas me faire confiance, j’aurais pris la chose du bon côté. Mais il ne l’avait jamais fait. L’équipe ne marchait pas bien, mais il ne m’avait jamais donné ma chance. Je ne suis pas un joueur à problèmes et j’avais toujours respecté ses décisions. C’est à cause de lui que je manque de compétition. On ne jouait même pas les matches amicaux avec lui.
Mais vous aviez refusé de faire le déplacement à Béchar pour jouer avec l’équipe réserve…
Non, je n’avais jamais refusé de jouer avec les espoirs. A la fin de l’entraînement, on m’avait dit que je n’étais pas retenu dans la liste des 18, mais personne ne m’avait dit que je devais jouer avec les espoirs. Ce n’est que le lendemain que le manager général Brahim Zafour m’avait dit que l’entraîneur voulait que je joue avec les espoirs, mais c’était déjà trop tard. Face à l’USMH, les dirigeants m’avaient informé à temps et j’ai joué avec les espoirs sans aucun problème.
L’entraîneur Kamel Mouassa a affirmé à notre journal que Djerrar me déteste…
Non, il a dit que s’il y a « un joueur qui doit me détester, c’est bien Djerrar que je ne fais pas jouer ». Je ne l’avais jamais critiqué et malgré tout ce qu’il m’avait fait, je ne le critiquerai pas. Je crois en la justice divine et je ne me concentre que sur mon travail.
Mais vous tenez toujours rancune à votre ancien entraîneur…
Vous savez, quelqu’un qui veut briser votre carrière, vous aurez toujours du mal à lui pardonner. J’avais reçu plusieurs offres notamment du CSC et du MOB, mais j’avais choisi la JSK par amour. Je crois que dans tous les clubs, lorsque les résultats ne suivent pas, l’entraîneur donne la chance à d’autres joueurs, mais Mouassa ne l’avait pas fait. Malgré ça, je lui souhaite bonne chance.
Que pensez-vous de la venue de l’entraîneur tunisien Sofiene Hiddoussi ?
On fera tout pour l’aider dans sa tâche. La JSK n’est pas à la place qui lui sied et on doit faire le maximum pour améliorer notre classement. On a un bon groupe, et je suis convaincu que si l’on parvient à enchaîner deux bons résultats, on provoquera le déclic. Le plus important maintenant est de gagner face au MCO.
N. Boumali
Il compte provoquer le déclic
Kharroubi veut offrir les 3 points
C’est le rendez-vous de tous les espoirs pour l’entraîneur intérimaire Kharroubi. Celui-ci veut absolument conduire le club vers sa première victoire à domicile avant de remettre les destinées de l’équipe au nouvel entraîneur tunisien Sofiène Hidoussi. Dans ses déclarations, il ne cesse de mettre en relief l’importance, voire le caractère impératif de mettre trois précieuses unités dans l’escarcelle de l’équipe demain à Tizi-Ouzou. Pendant les entraînements, il a mis les joueurs devant leurs responsabilités. C’est ce que nous avons appris de sources concordantes indiquant, par ailleurs, que l’ancien joueur de la JSK a tenté de faire un travail psychologique spécial en vue de remobiliser ses capés. En somme, l’actuel responsable de la barre technique des Jaune et Vert est tellement conscient de l’enjeu du rendez-vous contre les Hamraoua qu’il n’acceptera pas une autre alternative que la victoire. Défi !
A. N.
Après avoir échoué dans 4 rencontres
Le match d’hommes des Canaris contre les Hamraoua
Par AMINE NAOUFEL
La JS Kabylie n’inspire nullement confiance depuis l’entame de la nouvelle saison footballistique.
Ses résultats sont (très) en deçà des ambitions de ses supporters qui la suivent d’un peu partout à travers le territoire national. Après huit journées, les Canaris occupent, en effet, une peu enviable 10e place au classement général du championnat professionnel de Ligue 1 Mobilis. Les clignotants sont au rouge, d’où la nécessité de réagir pour mettre fin à cette « hémorragie » en matière de points. Ce samedi, les coéquipiers du défenseur et capitaine Ali Rial sont condamnés à la victoire, sous peine de compliquer davantage leur situation. L’adversaire est une grosse pointure, le MC Oran en l’occurrence. Ce dernier réalise un parcours à la hauteur de son prestige sous la bonne conduite du jeune entraîneur Omar Belatoui. Les Oranais pointent à la deuxième place au classement général avec deux petits points derrière le leader usmiste. C’est dire combien les Rouge et Blanc d’El Hamri se rendront à la capitale des Genêts armés d’une grande volonté d’enchaîner avec un nouveau résultat probant. Ils voyagent bien cette saison grappillant de précieuses unités. La JSK est avertie ; elle sait bien que son adversaire du jour n’est pas facile à manier. La moindre erreur risque de leur coûter cher. Plusieurs équipes ont été piégées par le MCO, à l’instar du CA Batna, du RC Relizane et autres CR Belouizdad. Les supporters kabyles appréhendent un nouveau faux pas de leur équipe favorite au stade du 1er-Novembre de Tizi-Ouzou, d’autant plus qu’Asselah et consorts n’y ont pas remporté la moindre victoire depuis l’entame du présent exercice. Contre respectivement le MC Alger, l’USM El-Harrach, le CA Batna et le MO Béjaia, la JSK s’est toujours contentée de nuls «gaspillant » 8 points, et pas des moindres. Demain, il sera question pour les Vert et Rouge d’un match d’hommes où ils sont tenus de réaliser leur premier succès intra-muros.
Loin de la pression du public
Nombreux sont ceux qui pensent que la programmation des retrouvailles kabylo-oranaises à huis clos, en raison de la suspension infligée à la JS Kabylie, pourrait être favorable à cette dernière. N’ayant pu résister à la pression de leur public lors des précédents matches à Tizi-Ouzou, les joueurs kabyles vont jouer devant des gradins vides, loin de toute forme de pression. Sauront-ils en tirer réellement profit ? Une arme à double tranchant.
JSK-MCO (17h)
Le match de la saison pour les Kabyles
Cet après-midi, pour la 9e journée du championnat de Ligue 1 Mobilis, la formation du Djurdjura recevra le MCO au stade du 1er-Novembre de Tizi-Ouzou ; les Canaris du Djurdjura sont condamnés à battre les Oranais. Après quatre matchs nuls à domicile et deux défaites à l’extérieur, la formation de la ville des Genêts a débuté en catastrophe le championnat. Après le match nul devant le MOB à Tizi-Ouzou, les coéquipiers du capitaine Rial ont limogé leur entraîneur Kamel Mouassa. Néanmoins, ils n’ont pas réussi à revenir de leur déplacement de Bologhine avec un résultat positif. En plus des mauvaises prestations de l’équipe, les arbitres ont aussi leur part de responsabilité dans les mauvais résultats enregistrés par l’équipe kabyle depuis le début de cet exercice sportif. Bref, avec 8 points seulement dans leur escarcelle après 8 journées de championnat, les Kabyles seront condamnés à battre le MCO ; aucun autre résultat à part la victoire n’arrangera les affaires des Jaune et Vert. Une victoire cet après-midi des Rouge et Blanc d’El Bahia plongera la JSK dans une crise sans issue. Les dirigeants, les joueurs, les membres du staff et les proches du club ne jurent que par la victoire ; toutefois, la mission des camarades de Djerrar sera très difficile sur le rectangle vert surtout que le match se déroulera sans la présence du public. En résumé, la formation du Djurdjura jouera cet après-midi son match de la saison. C’est une question de vie ou de mort pour les Kabyles.
- A. H.
Kherroubi : «On est condamnés à battre le MCO»
Le jeune technicien de la JSK, qui assurait l’intérim depuis le départ de Kamel Mouassa, est très conscient de la mission qui attend son équipe cet après-midi devant le MCO. Kherroubi estime : « Je pense que les choses sont très claires pour nous ; peu importe la manière dans ce genre de rencontres, le plus important à mes yeux est la victoire. Comme tout le monde le sait, les 3 points de ce match sont plus qu’importants pour nous, on est condamnés à battre le MCO. On respecte beaucoup cette grande équipe de l’Ouest du pays, mais on doit la battre.»
«J’ai une grande confiance en mes joueurs»
Apparemment, le courant passe à merveille entre les joueurs et le jeune entraîneur de l’équipe : « Moi, je mets toujours mes joueurs dans de très bonnes conditions ; je ne peux pas les soumettre à une terrible pression en exigeant d’eux coûte que coûte la victoire. J’ai parlé avec eux, ils sont décidés à réagir cet après-midi et à gagner cette rencontre. Moi, j’ai une grande confiance en eux et ils seront dans leur jour.»
« Oui, il y aura des changements dans le onze de départ»
A la séance d’entraînement d’hier, la derniere avant le match de cet après-midi, on a relevé plusieurs changements dans le onze de départ testé par le staff technique des Canaris du Djurdjura. Kherroubi confirme : « Oui, il y aura beaucoup de changements dans le onze de départ. Quelques joueurs sont passés à côté samedi passé devant l’USMA ; je ne cite pas de noms comme je ne dévoilerai pas mes cartes à la veille de la rencontre, mais on mettra en place une stratégie qui va nous permettre de dominer l’adversaire et de gagner par la rencontre. Sur un autre plan, on alignera le meilleur onze ; les joueurs les mieux préparés débuteront la partie.»
- A. H.
Il a été retenu dans la liste des 18
Raiah prêt pour le match de cet après-midi
Malik Raiah, qui souffrait d’une grippe mercredi passé et même avant-hier jeudi, s’est entraîné hier en fin de journée avec le groupe. A l’issue de la séance d’entraînement d’hier, la derniere avant le match de cet après-midi, Kherroubi a retenu le jeune milieu du terrain de l’équipe dans la liste des 18. Après la défection de Samir Aïboud, les membres du staff technique de la JSK ont croisé les doigts quant à la présence de Raiah. Ce dernier a bien récupéré ses forces hier, il reste à savoir si Kherroubi alignera dès le coup d’envoi l’enfant de Mirabeau ou pas.
- A. H.
Aiboud : «Je ne voulais pas rater cette rencontre»
Le jeune attaquant des Canaris du Djurdjura ratera le match de son équipe cet après-midi devant le MCO pour cause de blessure. «Je souffre d’une élongation au niveau de la cuisse, je ne suis pas concerné par le match de mon équipe face au MCO», nous dira Samir Aïboud hier soir à l’issue de la séance d’entraînement de son équipe. L’enfant de Tizi-Ouzou était très triste à la fin de l’entraînement d’hier : «Vous ne pouvez pas imaginer ma déception, je ne voulais pas laisser mon équipe, surtout dans ces moments difficiles. Hélas, cette blessure est tombée au mauvais moment ; j’espère que mes coéquipiers seront dans leur jour comme je souhaite de tout cœur la victoire de mon équipe cet après-midi.»
- A. H.
Ultime séance d’entraînement hier à l’heure du match
Les camarades d’Ali Rial ont effectué hier en fin de journée une dernière séance d’entraînement avant le match de cet après-midi. Le jeune entraîneur des Canaris du Djurdjura a programmé quelques exercices de vivacité lors de cette séance.
Hannachi n’a pas assisté à la séance d’hier
Le premier responsable de la formation de la ville des Genêts ne s’est pas déplacé hier en fin d’après-midi au stade pour assister à la séance d’entraînement de l’équipe. Toutefois, Hannachi a fait un petit tour à l’hôtel en fin de journée pour dîner avec les joueurs.
Mise au vert à l’hôtel les Deux Palmiers de DBK
Comme d’habitude, les joueurs concernés par le match de cet après-midi ont passé la nuit de vendredi à samedi à l’hôtel les Deux Palmiers de DBK. Les éléments retenus pour cette rencontre ont rallié directement cet hôtel à l’issue de la séance d’hier.
3 changements dans la liste des 18
Le jeune coach des Canaris a arrêté la liste des 18 joueurs qui seront sur la feuille de match aujourd’hui. Kherroubi a procédé à trois changements dans la liste des joueurs convoqués. Ladite liste a été communiquée aux joueurs à l’issue de l’entraînement.
Benabou, Islam-Salah et Boulaouidate à la place de Medjkane, Touhami et Aïboud
Le jeune Aïboud qui ne sera pas concerné par le match de cet après-midi pour cause de blessure ; il a été remplacé par Boulaouidate qui n’a pas figuré dans la liste des 18 la semaine passée. De son côté, le jeune Touhami a été retiré de la liste pour être remplacé par Islam-Salah. Enfin, la surprise de Kherroubi est le jeune Benabou qui a été convoqué pour la première fois depuis qu’il a rejoint les rangs de la JSK. C’est Medjkane qui a payé les frais.
Le MCO devait s’entraîner au complexe City Foot
Les joueurs du MCO devaient effectuer une légère séance d’entraînement hier à Tizi-Ouzou. Les Oranais devaient s’entraîner sur la pelouse du complexe sportif de City Foot.