Sans club depuis l’entame de la saison après un très bref passage au club saoudien d’Al- Ittifaq Dammam, Khelili n’a pas hésité à donner son accord de principe au président Hannachi. Ce dernier voulait au départ engager le défenseur du Mouloudia Club d’Alger, Bouhenna, mais comme il est encore sous contrat et qu’il est sollicité par d’autres clubs entre autres l’USMA et le NAHD, le président de la JSK a exploré la piste des émigrés avant de se rabattre sur son ancien défenseur Khelili. Inquiet par la faiblesse de son axe central, le président Hannachi ne sait plus à quel saint se vouer. Khelili avait porté le maillot des Canaris pendant deux saisons, plus précisément de 2011 à 2013, mais son passage n’a pas été une réussite. L’entraîneur de l’époque ne comptait pas sur lui, ce qui avait contraint les dirigeants à le libérer malgré le fait qu’ils avaient déboursé une somme colossale pour racheter son contrat auprès de la direction du NAHD.
Aujourd’hui à Tizi
Pour lui permettre de retrouver sa forme d’ici le début de la phase retour, le président Hannachi a demandé à Khelili d’entamer les entraînements avec l’équipe aujourd’hui. Il n’a pas joué depuis plusieurs mois, mais les responsables des Jaune et Vert nous ont confié hier que Khelili n’est pas resté inactif depuis son retour de l’Arabie Saoudite puisqu’il s’est entraîné avec le CRB jusqu’à la fin du mois de novembre dernier. Ils pensent qu’il connaît bien la maison JSK et que cela lui permettra aisément de retrouver ses repères. Quoi qu’il en soit, il sera la première recrue des Jaune et Vert au prochain mercato hivernal. Le renforcement de l’axe central est plus qu’une obligation, car si la direction ne recrute pas un défenseur capable de stabiliser sa défense au prochain mercato hivernal, la JSK risque la relégation à la fin de l’exercice actuel. Le président Hannachi a jeté son dévolu sur Khelili, mais il pourrait recruter un autre défenseur central, surtout après ce qui s’est passé entre Hidoussi et Berchiche la veille de la rencontre face à l’USMBA et la méforme constante du capitaine Ali Rial. La direction a déjà pris la décision de libérer Sebie Touhami et Islam-Salah et rien ne dit que la liste des libérés s’arrêtera à ces deux joueurs.
N. Boumali
Khelili : «Il ne reste que la signature du contrat»
Contacté par nos soins dans la soirée d’hier pour vérifier l’information qui nous a été communiquée par la direction kabyle concernant son retour au club, Khelili confirme son come-back à la JSK. «C’est vrai que je me suis entendu sur tout avec les responsables de la JSK. Il ne reste que la signature du contrat», dira l’ancien pensionnaire du CRB et du NAHD. Malgré la situation très délicate dans laquelle se trouve l’équipe notamment après sa troisième défaite consécutive, Khelili a accepté de revenir à la JSK. C’est une occasion en or pour lui pour prouver qu’il n’a rien perdu de son talent et que l’échec de son aventure avec le club saoudien n’est qu’un ancien mauvais souvenir.
«J’entamerai les entraînements avec l’équipe aujourd’hui»
S’étant entendu sur tout avec le président Hannachi, Khelili n’attendra pas la signature de son contrat pour entamer les entraînements avec sa nouvelle ancienne équipe. C’est lui-même qui nous a confié dans la soirée d’hier qu’il sera aujourd’hui à Tizi Ouzou pour s’entraîner avec le groupe en attendant d’officialiser son retour. «Je serai aujourd’hui à Tizi Ouzou afin d’entamer les entraînements avec l’équipe», a ajouté Khelili qui sait qu’avec la faiblesse de la défense des Jaune et Vert, il aura sa chance et cela contrairement à son premier passage où les entraîneurs qui étaient en place ne misaient pas sur lui.
N. Boumali
Ne rentrant plus dans les plans de Hidoussi
Mebarki veut partir
Le milieu Bilel Mebarki ne compte pas honorer son contrat qui court jusqu’à la fin de l’exercice actuel. Relégué sur le banc, il vit très mal son statut de remplaçant notamment lors du dernier match face à l’USMBA. L’entraîneur Sofiane Hidoussi lui a préféré des jeunes inexpérimentés et cela lui a fait très mal. Il a été incorporé au début de la deuxième mi-temps, mais l’ex-pensionnaire du MOB sait que sa situation ne va que s’aggraver à la phase retour, surtout si la direction parvient à engager un bon meneur de jeu. Recruté au mois de janvier dernier, Mebarki avait bien débuté son aventure avec les Canaris, mais les choses sont allés de mal en pis après le remplacement de Bijotat par Mouassa. Sa libération était évoquée à l’intersaison, mais il a été repêché après l’échec des négociations avec Tabti. Alternant le bon et le moins bon en cette première manche du championnat, Mebarki n’a fait que chauffer le banc ces derniers matches. Estimant qu’il a sa place dans l’équipe, il veut changer d’air au mois de janvier prochain.
NAHD
D’après une source digne de foi, le milieu Mebarki pourrait atterrir au NAHD dans le cas où il quitterait la JSK à la fin de la phase aller. Les dirigeants des Sang et Or l’auraient approché, ce qui expliquerait son souhait de partir avant la fin de son contrat. Bien que son rendement ne soit pas à la hauteur des espérances placées en lui, il reste un joueur de qualité capable de rebondir, s’il est bien pris en charge. Il avait montré de belles choses lors de ses premiers matches sous le maillot des Jaune et Vert, mais son rendement a baissé inexplicablement par la suite.
N. Boumali
Berchiche sera traduit devant le conseil de discipline
Le téléphone, la goutte qui a fait déborder le vase
Comme nous l’avons rapporté dans notre dernière édition, le défenseur Koceila Berchiche a été écarté de la liste des 18 à la suite de son violent accrochage verbal avec l’entraîneur Sofiane Hidoussi dans la soirée de vendredi dernier. D’après une source proche de la direction, les relations entre le coach tunisien et Berchiche ont commencé à se détériorer après la défaite inattendue concédée à domicile devant l’O Médéa. L’enfant d’Ath Douala n’aurait pas apprécié certaines des remarques qui lui ont été faites en compagnie de Rial sur la faiblesse de l’axe central par l’entraîneur Hidoussi et ce qui devait arriver arriva lors du dernier déplacement de l’équipe à Sidi Bel-Abbès. Déjà, lors de la dernière séance de vendredi dernier, Berchiche aurait fait une remarque à l’un de ses partenaires sur un ton coléreux et son entraîneur l’aurait vite rappelé à l’ordre. L’ex-défenseur du MCA et du MCEE aurait mal encaissé le coup avant que les choses ne se corsent au retour de l’équipe à l’hôtel Eden. En effet, en voyant que Berchiche était au téléphone, Hidoussi a envoyé un membre de la délégation pour lui dire qu’il doit interrompre sa conversation téléphonique et d’éteindre son téléphone. Cela s’est passé en présence de plusieurs joueurs, ce qui a mis Berchiche dans tous ses états. Le ton est vite monté entre les deux hommes et il a fallu l’intervention des présents pour les calmer. Les deux hommes ont échangé de graves accusations et pour prouver que c’est lui qui décide dans l’équipe, l’entraîneur tunisien a décidé d’écarter son défenseur central de la liste des 18.
Menace de départ
En l’informant qu’il ne sera pas retenu dans la liste des 18 la veille de la rencontre, Berchiche a mal réagi. Il aurait tenu des propos très durs envers son entraîneur, lequel lui aurait répondu du tac au tac. Bien que certaines personnes aient tenté d’intercéder auprès de Hidoussi en lui demandant de pardonner à Berchiche et de le faire jouer face à l’USMBA, celui-ci s’est montré intransigeant. «Pas question de le faire jouer. S’il joue, je prendrai mes bagages et je rentrerai chez moi», aurait-il menacé. Il a eu le dernier mot puisque Berchiche n’a pas été retenu dans la liste des 18 et cela malgré l’absence de plusieurs titulaires. Pour le taquiner, l’entraîneur Hidoussi n’avait pas trouvé mieux que de dire à la fin de la rencontre que les jeunes ont eu un meilleur rendement que les titulaires habituels. Berchiche devrait être traduit devant le conseil de discipline pour s’expliquer sur son comportement la veille de la rencontre face à l’USMBA. Il risque, en plus d’une amende financière, une sanction sportive.
Mohamed A.
On parle aussi d’Yahia-Chérif
Bien qu’il soit encore sous contrat avec le CRB, le nom de l’attaquant Sid-Ali Yahia-Chérif a circulé dans l’entourage du club. D’après une source digne de foi, des proches du club veulent récupérer leur ancien attaquant. Après avoir trouvé un accord avec Khelili, ils songent à faire revenir Yahia-Chérif qui est sous contrat avec le CRB jusqu’à la fin de la saison.
N. B.
Les anciens dirigeants honorés
L’association Kabylie Sports et Culture que préside notre collègue Abdallah Haddad a organisé hier une grandiose cérémonie à la Maison de la culture afin d’honorer les membres fondateurs et les anciens dirigeants ainsi que les anciennes figures de l’équipe du FLN. Cette cérémonie a été rehaussée par la présence du wali de Tizi Ouzou, le chef de sûreté de la wilaya, le président de l’APW et les membres de l’exécutif ainsi que plusieurs élus. Parmi les anciens de l’équipe du FLN qui ont été honorés, il y a eu Maouche et Zouba. En ce qui concerne les anciens dirigeants, l’AKSC a honoré Ali Benslama, Hadj Kamès, Hadj Iratni, Hadj Goumeziane, Benmedjbar Akli, Medjbour Mohand-Arezki, Ouahab Aït-Menguelet et madame veuve Bouha Ali. Notre confrère Mohamed Haouchine a été également honoré en présence des représentants de toutes les générations qui ont porté le maillot de la JSK, entre autres Mustapha Rafaï, Omar Hamenad, Hakim Medane, Rachid Adghigh, Hamid Sadmi, Mourad Rahmouni, Brahim Zafour. La clôture de la cérémonie s’est faite avec un feu d’artifices.
Ils comptent passer du boycott à la présence massive au stade
Les Kabyles au secours de leur JSK
Les supporters de la JSK, à l’image des habitants de la région, sont connus pour leur éveil et leur sens de la responsabilité. Le caractère très spécial de ce club fait qu’ils y tiennent très fort. A l’instar de la langue amazighe, la JSK est une partie intégrante de l’identité kabyle. C’est une ligne rouge qu’ils comptent bien défendre corps et âme, quel que soit l’adversaire.
Très proches de leur club adulé, les supporters de la JSK ont décidé en premier lieu de dénoncer, marcher et crier leur colère contre la gestion catastrophique qui caractérise le club depuis plusieurs années déjà. Menés par d’anciens joueurs opposant à la gestion du président Hannachi, ils ont constaté que cette méthode ne marchera jamais, alors, ils ont décidé de changer de stratégie de lutte en passant de l’action à l’inaction. Comme le font les supporters du Real Madrid lorsqu’ils sont mécontents, les Kabyles ont décidé, pour les raisons que tout le monde connaît de boycotter leur équipe comme signe de contestation contre Hannachi et son administration.
L’échec du boycott
Sans vraiment se donner le mot, les Kabyles, les montagnards surtout, considérés comme étant l’âme du club, ont décidé de ne plus se rendre au stade. «Cette équipe ne me représente pas. Ce n’est as la JSK que j’ai aimée et pour laquelle je me suis battu. Je refuse de perdre mon argent, mon temps et ma santé pour cette équipe- là » nous dira Da Tahar, fervent supporter de la JSK. Da Omar, enseignant et fou de la JSK, ira dans le même sens : «Je lis la presse, je me renseigne, je regarde les matchs à la télévision et je ne vous cache pas que je vibre toujours pour ce club, mais à la fin du match, je suis malade, triste et hors de moi. Je pleure la JSK des années 1970/1980/1990… Je ne vais plus au stade, ces chèvres ne me méritent pas.» Tous les vrais amoureux de ce club nous diront la même chose. La JSK n’est plus ce qu’elle était et si ça continue ainsi, elle perdra le peu de dignité et de particularité qui lui reste. Ainsi, l’abandon de ses fils de la JSK à leur club n’a fait que compliquer encore plus la situation. Sans le vouloir, ces braves ont laissé place à des voyous ou à des jeunes inconscients qui ne viennent au stade que pour se défouler et décompresser de la plus mauvaise des manières. Censés être des suiveurs, ces jeunes sont devenus leaders, un rôle qu’ils maîtrisent très mal, faute d’exemples à suivre. L’autre point négatif de ce boycott constaté par tous est le manque de contrôle et de surveillance des supporters à ce que fait la direction. Les dirigeants qui se sont succédé à la tête du club savaient tous que les supporters les surveillaient et suivaient l’équipe et sa gestion de manière permanente. Ils n’avaient pas le droit à l’erreur parce qu’un Kabyle est toujours là pour leur dire : «Attention ! On vous surveille. » Ce n’est plus le cas. Ceci est bien sûr valable pour les joueurs qui viennent d’autres régions d’Algérie porter le maillot Jaune et vert de la JSK.
Ils passent à l’action, enfin !
La prise de conscience des supporters Kabyles a été provoquée par la situation dramatique dans laquelle se trouve la JSK en ce moment. Pour la énième fois, le club le plus titré d’Algérie joue la relégation et se fait accrocher à Tizi Ouzou par des équipes comme l’OM, le DRBT, le RCR, l’USMBA et autres USMH. Des supporters très actifs sur les réseaux sociaux, visiblement sages et conscients, ont décidé de lancer des appels à travers des pages facebook dédiées au club, aux amoureux du club pour venir en masse au stade soutenir cette équipe et sauver le club de la relégation. Ce changement de stratégie ne peut qu’être bénéfique pour le club qui souffre terriblement de l’absence de ses supporters. En plus de la gestion anarchique, catastrophique, mauvaise, archaïque…du président en poste, le boycott des supporters est selon de nombreux observateurs l’une des raisons principales de ce qui se passe actuellement au club. Ce sont les initiateurs qui veulent un stade plein face au CRB, mais avant, ils songent à organiser une marche pacifique à l’extérieur du stade pour exiger du changement. On ne sait pas si leur appel sera entendu, mais ce qu’on sait par contre, c’est que les supporters sont inquiets. Même certains artistes, à l’image de Boudjem aâ Agraw, Aït-Menguelet, Alaoua, Zedek Mouloud, Hassan Ahrez et autres Takfarinas, tous aimés par les fans de la JSK n’aiment pas ce qu’est devenue l’équipe. Ils ont chanté les victoires et la gloire du club. Ils peuvent aujourd’hui sortir de leur mutisme et aider à leur façon le club à redevenir ce qu’il était. Matoub l’aurait fait… Enfin, La JSK n’a jamais été aussi bas, les amoureux de ce club vont réagir c’est sûr, mais comment ? Réponse dans quelques jours.
A. M.
L’échec programmé
Collectionnant les échecs en cette phase aller, la JS Kabylie se retrouve logiquement dans une position de relégable à l’issue de la 14e journée du championnat. Ce parcours chaotique du club le plus titré d’Algérie ne choque pas tout le monde. C’est une suite logique pour un club en pleine déconfiture. La plupart des supporters ne se reconnaissent plus dans cette JSK qui était jadis un exemple de réussite et de professionnalisme avant même l’avènement du professionnalisme. Le «bon» parcours réalisé la saison où l’équipe s’est classée à la troisième place n’a été que de la poudre aux yeux.
Au lieu de renforcer l’effectif avec des joueurs de haut niveau et de libérer les joueurs qui n’avaient pas donné entière satisfaction, le président Hannachi avait fait l’inverse de ce qu’il devait faire. Il avait transféré son meilleur buteur Banou Diawara et son défenseur central Patrick Malo au club égyptien avant de libérer Doukha et Ziti sans oublier Seddiki et Yesli qui avaient quitté le club avant la fin de la phase aller. Cette instabilité à tous les niveaux -effectif, staff technique, direction et conseil d’administration- a été fatale à l’équipe. Cette descente aux enfers a débuté depuis bien longtemps, mais ce qui arrive à la JSK défie tout entendement. Sur les 7 matches qu’elle a disputés chez elle sur son terrain, elle n’a réussi à gagner aucun même face au nouveau promu l’O Médéa. Au moment où tous les autres clubs s’organisent et progressent, la JSK régresse au point de devenir une équipe quelconque. Le président Hannachi qui est à la tête de ce club depuis plus de 23 ans est le premier responsable de cette descente aux enfers. Fidèle à sa politique de fuite en avant, il tente, comme il l’a toujours fait, de chercher un ou des boucs émissaires à ses échecs. Evidemment, les supporters lui rappellent qu’il a tout changé dans le club et qu’il n’y a que lui qui est resté à son poste depuis son accession à la présidence en 1993.
Ils lui suggèrent soit d’ouvrir le capital pour permettre aux industriels dignes de ce nom d’intégrer le conseil d’administration et qui auront leur mot à dire dans la SSPA/JSK, soit de se retirer pour céder sa place à quelqu’un capable de redorer le blason à ce club qui était la fierté de toute l’Algérie.
Mohamed A.
Ziaya, Herbache et Benkablia libérés, Islam-Salah et Sebie les suivront
Un recrutement chaotique
Le recrutement opéré par la direction de la JS Kabylie à l’intersaison est un véritable fiasco. Jamais un club n’a enregistré l’arrivée massive d’autant de joueurs au mois de juin pour les renvoyer avant le mois de janvier. Cela ne se passe qu’à la JSK. Le plus inquiétant et le plus surprenant est que cela est devenu monnaie courante dans ce club ces dernières années. Le président Hannachi affirmait pourtant à chaque marché des transferts qu’il réalisera un recrutement de qualité et que la JSK reviendra en force la saison prochaine. Il n’y a pas si longtemps, à l’intersaison, au moment où les supporters l’interpellaient sur la qualité des recrues, le président Hannachi déclarait avec la ferme conviction que le recrutement était bien étudié et qu’il avait recruté de grands joueurs (Ziaya, Benkablia, Touhami, Herbache, Islam- Salah et Benabou). Il avait même annoncé après la victoire acquise devant le NAHD au 20-Août-1955 qu’il a bâti cette «grande équipe» non seulement pour remporter le championnat, mais pour aller aussi très loin en coupe de la CAF. Ses déclarations avaient surpris plus d’un, mais il n’a pas tardé à redescendre sur terre après la série de mauvais résultats enregistrés par son équipe. Pour justifier l’échec de son recrutement, il a relevé Brahim Zafour de son poste de manager général après la défaite concédée devant l’O Médéa. Zafour et l’entraîneur Kamel Mouassa avaient participé au recrutement, mais aucun joueur ne pouvait signer sans l’aval du président Hannachi. Au contraire, ce dernier disait que les joueurs engagés étaient suivis par la direction et que leur venue permettra à l’équipe d’être conquérante tant au niveau national que continental.
Manque d’argent
Faute de moyens financiers, le président Hannachi n’a pu concurrencer ni le MCA, ni l’USMA et encore moins l’ESS. Même l’USMBA qui a retrouvé l’élite à l’issue de l’exercice écoulé a réussi à lui chiper Tabti avec lequel il était en contact très avancé. Tous les joueurs qu’il avait ciblés à l’intersaison entre autres Aït-Ouamar, Bentiba, Bedrane, Mebarakou et Nadji pour ne citer que ceux-là avaient opté pour d’autres clubs. Mais pour rassurer les fans des Jaune et Vert, le président de la JSK n’arrêtait pas de déclarer que son recrutement est étudié. Il a, certes, enrôle quelques bons joueurs, mais la plupart des recrues ont été décevantes. Pour s’offrir les meilleurs joueurs sur le marché, il faudra mettre le paquet, or le président Hannachi se plaint du manque de moyens financiers tout en refusant de procéder à l’ouverture effective du capital.
Mohamed A.
Thomas Izerghou attendu aujourd’hui à Tizi Ouzou
Selon une source proche de la direction, deux joueurs émigrés devraient rallier la ville de Tizi Ouzou aujourd’hui ou dans les prochaines heures. L’un se prénomme Thomas Izerghou, quant au second on n’a pas pu avoir son identité. Ces deux joueurs seront mis à l’essai, mais d’après une source digne de foi, Izerghou n’est pas fameux et que s’il ne donne pas satisfaction, il ne sera pas retenu dans l’effectif des Jaune et Vert. Ancien de Rennes, il n’a joué que deux matches avec un club amateur belge.