L’entraîneur, Cherif Hadjar, a été contacté par un actionnaire de l’équipe harrachie afin de lui demander de patienter jusqu’à l’AG. Rien ne va plus du côté de l’USM El Harrach.
Ligue 2
Nous avons évoqué dans notre édition d’hier la rencontre qui devait avoir lieu entre les dirigeants du MO Béjaïa, à leur tête Adrar Akli, président, et l’entraîneur Youcef Bouzidi.
L’entraîneur tunisien de la JSM Béjaia Moez Bououkaz n’a toujours renouvelé son bail avec la formation des Vert et Rouge.
La situation au sein du club harrachi ne prête guère à l’optimisme, au vu de la tournure des événements, et les intentions des uns et des autres au sein même de la direction du club. En effet, et alors que le président Mohamed Laïb a officiellement affirmé vouloir déposer sa démission le 28 juin prochain, lors de l’assemblée générale des actionnaires, aucun dirigeant ne semble vouloir prendre ses responsabilités, afin d’assurer ne serait-ce que l’intérim du président Laïd, en attendant qu’un investisseur, où qu’un repreneur ne puisse présenter sa candidature.
Moins de trois jours après avoir paraphé son contrat avec le MOB, Youssef Bouzidi, le nouvel entraîneur de l’équipe, est rentré à Alger dans tous ses états. L'ancien de l’USMBA n'a pas été du tout satisfait de la façon dont s’est déroulée la signature du contrat, ainsi que la conférence de presse.
Les anciens joueurs de la JSM Béjaia ont décidé de réagir suite à la situation dans laquelle se trouve le club depuis quelque temps déjà.
Alors qu’il a été annoncé tout près de s’engager avec le nouveau promu en Ligue 1 Mobilis, le NC Magra, le coach Cherif Hadjar n’a pas encore signé le moindre document le liant au club de la wilaya de M’sila.
Contre toute attente, le stade de l’Unité maghrébine n’a pas figuré dans la liste des enceintes homologuées par la LFP en prévision de la saison 2019/2020.
Alors que son nom figure dans le viseur de plusieurs clubs évoluant en Ligue 1 Mobilis, l’entraîneur de la JSMB Moez Bououkaz maintient le suspense sur sa prochaine destination. Les Vert et Rouge doivent attendre le week-end pour connaître sa décision.
Alors que la situation du club harrachi ne prête guère à l’optimisme, face au statu quo qui prévaut depuis la fin de la saison, aucune action concrète n’est envisagée pour sauver la demeure de l’effondrement.
