L’actuel entraîneur d’Almeria et ancien sélectionneur des Verts, Lucas Alcaraz, a décidé officiellement de saisir la FIFA, une information qui a étonné plus d’un. En effet, des rumeurs avaient circulé ici, au pays, que la FAF avait payé l’entraîneur jusqu’au dernier centime, ce qui est totalement faux. La fédération, qui au début, a essayé de trouver une solution à l’amiable, a fait face aux exigences un peu exagérées du coach ibérique à travers son manager.
Si l’information du recours du coach à la FIFA pour recouvrer ses droits a étonné les amoureux de l’EN, ces derniers avaient cru aux mensonges lancés par certains medias, la FAF, pour sa part, était restée zen, elle n’était pas du tout inquiète, car elle avait en main certains arguments qu’elle se préparait à faire valoir dès que possible. Et voila qu’Alcaraz décide de recourir à l’instance mondiale, donnant l’occasion à la FAF de jouer la carte du contrat signé entre elle et l’entraîneur pour faire des économies.
Les 2 clauses qui vont déjouer le plan de l’Andalou
En effet, une source proche du dossier nous a affirmé hier que ce scenario était connu par le président de la FAF, Kheireddine Zetchi, et ce, depuis l’arrêt des négociations. La FAF a même tracé ce chemin et savait à quoi s’attendre. En fait, Zetchi voulait que son vis-à-vis aille à la FIFA, ce qui allait constituer une aubaine pour la fédération de lui faire une leçon.
La Fédération algérienne de football table, en effet, sur 2 clauses inscrites noir sur blanc sur le contrat signé par les deux parties. Si la première n’est pas connue et que notre source n’a pas voulu divulguer, la seconde n’est autre que celle des 3 semaines qu’Alcaraz devait passer chaque mois ici, en Algérie.