La situation de Saïd Benrahma est vraiment incompréhensible car comment se fait-il qu’un joueur désiré par plusieurs clubs de la Premier League, dont le nom alimente les gazettes des transferts depuis des mois, n’a pas conclu son transfert ?
Certes, d’après le Daily Mirror hier, Benrahma peut trouver un point de chute d’ici la date butoir du 15 octobre, puisqu’il est toujours dans le viseur de clubs anglais, plus particulièrement West Ham qui, pour pallier le départ de l’attaquant brésilien Felipe Anderson à Porto, songe à recruter Said Benrahma. Récemment, pour justifier les difficultés de Brentford de vendre son talentueux attaquant, on a prétendu que ce dernier réclamerait un salaire de 60.000 livres sterling par semaine (l’équivalent de 66.000 euros). Une condition qui dissuaderait tous les prétendants, en plus de l’indemnité de transfert qui pourrait être revue à 20 millions de livres sterling.
Il n’a pas un agent influent
Si les prétentions financières de Brentford et Benrahma font achopper toutes les discussions, d’après les observateurs, le problème de Benrahma est que ses affaires ne sont pas bien gérées. On dit même que son agent n’a pas d’influence dans un milieu du football où le relationnel est souvent déterminant pour conclure des transactions.
M. S.