Après son accrochage avec Gaya

Bouchar : «Tout est rentré dans l’ordre»

Contacté par nos soins au cours de la journée d’hier, le défenseur central du Chabab assure que son accrochage avec Gaya peut arriver dans n’importe quelle équipe et que ce n’était pas grave. D’ailleurs, il assure que ça a déjà été réglé.

Alors Sofiane, qu’est-ce qui se passe au sein du CRB actuellement ?

Que voulez-vous que je vous dise ? On est certes dans une mauvaise passe mais je pense qu’il nous suffira d’une victoire pour faire retomber toute cette pression autour de l’équipe. Une fois qu’on aura cette victoire, tout rentrera dans l’ordre.

Justement, on n’arrive pas à comprendre. C’est la même équipe qui a remporté trois titres en 3 ans…

Oui, j’en suis conscient. C’est juste un passage à vide, on manque peut-être de confiance mais ça va revenir, j’en suis certain. Il nous suffira d’une victoire pour que tout s’arrange et qu’on puisse lancer notre saison.

On rentre dans le sujet qui fâche. Que s’est-il passé avec Gaya ?

Il n’y a rien de grave. Il y a eu ce qu’il y a eu mais ce sont des choses qui arrivent. Des équipiers qui se prennent la tête pour le jeu, c’est tout à fait normal. D’ailleurs, je peux vous assurer que ça fait d’ores et déjà partie du passé. Cette histoire est réglée.

Vous pourriez passer en conseil de discipline…

Je ne vois pas pourquoi. Je n’ai rien fait de mal à ce que je sache.

Pourquoi à chaque fois vous êtes décrit comme l’instigateur des problèmes ?

Vous savez, avec les années, j’ai appris à prendre sur moi. On s’en prend toujours aux anciens de l’équipe, je suis concentré sur le prochain match et l’importance de l’emporter pour faire revenir le calme au sein de la maison.

1. Z.

Il prévoit quelques changements face à la JSS

Lavagne devrait opter pour le 3-5-2

Disposant de peu de solutions offensives, l’entraîneur Denis Lavagne devrait opter pour le 3-5-2 face à la JS Saoura, quand on sait que ce match se jouera en déplacement face à un adversaire composé de très bons attaquants.

Les joueurs usmistes poursuivent leur préparation en prévision du prochain match de championnat, qui les opposera à la JS Saoura, dans de bonnes conditions, avec un moral gonflé à bloc. Ils seront appelés à confirmer après leur dernière victoire remportée face au RC Arba sur le score de 4 buts à 0. Leur mission s’annonce ardue face à un adversaire de gros calibre dans un périlleux déplacement. Concernant le onze qui livrera l’empoignade de dimanche, l’entraîneur Denis Lavagne prévoit quelques changements. Il pourrait bien changer son schéma tactique en passant du 4-3-3 au 3-5-2. Et pour cause, il ne dispose pas de plusieurs solutions offensives suite à l’absence d’Abderrahmane Meziane et Kwame Opoku et la méforme d’Aymen Mahious, alors que Brahim Chenihi revient d’une blessure. On sait que le match se jouera en déplacement face à un adversaire qui a de très bons attaquants.

Vers le retour de Hamra et Beneddine…

Alors que Mohamed-Lamine Zemmamouche sera, sans surprise, reconduit dans les bois, on pourrait enregistrer le retour d’Abderrahim Hamra en défense. Totalement rétabli et de nouveau opérationnel, il devrait être épaulé par Zinedine Belaid et Brahim Bekakchi pour animer l’arrière-garde usmiste, comme ce fut le cas face au NAHD. On pourrait également enregistrer le retour de Mehdi Beneddine sur le couloir gauche, tandis que Fatah Achour sera, lui également, reconduit sur le couloir droit. Ils auront pour mission d’aider les défenseurs, mais aussi de contribuer au jeu offensif.

… Et de Benhammouda

Alors que Brahim Benzaza et Hamza Koudri seront également reconduits dans l’entrejeu pour assurer la récupération et relancer les attaques, Billel Benhammouda pourrait figurer dans le onze de départ. Malgré sa prestation tout juste moyenne face au RC Arba, le joueur en question devrait avoir une nouvelle chance face à la JS Saoura dans l’animation du jeu.

Zouari et Belkacemi en attaque

Alors que le coach Lavagne devrait opter pour le 3-5-2, il misera donc sur deux attaquants pour animer le compartiment offensif, en l’occurrence Abdelkrim Zouari et Smail Belkacemi. Deux attaquants qui affichent une bonne forme. Tous les espoirs se reposent sur eux en attaque pour désaxer la défense adverse.

1. S.

Les actionnaires, un silence et des questions

Depuis quelques jours, la guerre est déclarée au sein du MC Oran, habitué à vivre chaque été des tiraillements. C’est du moins l’impression qui se dégage de la plupart des intervenants qui choisissent les médias pour s’en démarquer. Aujourd’hui, le club dit phare de l’Ouest algérien vit un épisode qui peut avoir des conséquences néfastes sur l’équipe fanion. Tahar Chérif El-Ouezzani a donné son avis, comme il le fait à chaque fois qu’il se trouve en face avec le Mouloudia d’Oran. Un avis qui, pour Tayeb Mehiaoui, semble dépassé.  «Pourquoi parle-t-il du MCO ? De quoi se mêle-t-il alors qu’il est au Paradou ?» Quelques heures plus tard, deux membres de la famille de ce club ont dézingué le boss mouloudéen au point de lui incomber les pires défaillances. Face à cette guéguerre qui risque de perdurer, les actionnaires de la société représentant le MCO donnent l’impression de ne pas s’en inquiéter. Aucun membre, à l’exception de Hafid Belabbes, poussé par une chaîne de télévision privée, n’a osé réagir pour au moins réguler des points sensibles qui pourraient arranger des choses en attendant des jours meilleurs. Leur silence les condamne à plus d’un titre d’autant que la population mouloudéenne s’est presque détachée de l’équipe au point de la boycotter carrément.

Où sont les sages ?

Il va sans dire qu’au train où vont les choses, le club des Rouge et Blanc risque de s’engouffrer dans un labyrinthe sans issue. L’absence de toute réaction des sages commence à avoir un effet négatif sur la réputation du Mouloudia. Depuis quelques années, aucun membre de la cellule des sages n’a osé intervenir pour tenter de rassembler les belligérants. Et pourtant, les dépassements sont légion au sein de la société composée de moins une vingtaine de personnes dont plus de 90% n’apportent absolument rien au club. Depuis 2010, la SSPA est gérée approximativement par ceux qui n’ont jamais pensé régulariser le capital, voire le bilan financier. Suite à ces dépassements, le club se trouve aujourd’hui sérieusement coincé, dans l’attente d’une aide financière d’une instance étatique ou autre. «Les années se suivent et se ressemblent, qui va sauver notre club ? » Une réflexion qui domine l’esprit de la plupart des supporters, les vrais

1. M. A.

O Médéa 0 - JSK 0

Stade Imam-Lyès

O Médéa

Daâs

Belouchet

(Kaddour)

Sidhoum

(Bechou 75’)

Baâli

(Messaoudane)

Nahari

Benahmed

Laâdjabi

Gaâgaâ

Lakroum

Berbache

Gariche

Ent. : Sellimi

JSK

Doukha

Kerroum

Benzaïd

Doumbia

Benabdi

El-Orfi

(Boumechra 65’)

Mansouri

(Gattal 88’)

Bensayah

Bensaha

(Khalfaoui 80’)

Mouaki

(Kassim 65’)

Ent. : Kaced

Temps froid, affluence nombreuse, arbitrage de MM Touabi, Bouzit et Belaghma.

Averts : Nahari (27’) OM. Bensayah (45’+1), Boumechra (88’) JSK.

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Les Kabyles n’ont pas osé !

Après le dernier semi-échec à domicile face à l’ESS, les Canaris du Djurdjura se sont rendus à Médéa avec l’objectif de réaliser leur première victoire en championnat à l’occasion de la mise à jour de la première journée de la Ligue 1 Mobilis, mais se sont contentés d’un match nul vierge (0-0). Les camarades de Mouaki auront certainement des regrets d’avoir raté deux points lors de cette rencontre jouée au stade Imam-Lyès. Le coach par intérim Karim Kaced a, certes, opté pour le 4-3-3, mais les camarades de Benabdi n’ont pas vraiment osé et ils ne se sont pas créé beaucoup d’occasions devant le but. L’état du terrain aurait paralysé les Jaune et Vert qui n’ont pas pu poser le ballon et pratiquer leur jeu habituel. Le nul est un résultat positif, mais ils auraient pu prétendre aux trois points face à un adversaire prenable sur son jardin.

Une seule occasion en 1^re mi-temps

Pour revenir à la physionomie de la rencontre, les Jaune et Vert de la JSK ont complètement raté leur première mi-temps. Ils ont cédé le jeu durant cette première mi-temps et se sont créé une seule occasion de but par le capitaine Réda Bensayah. À la 16eme minute de jeu, il voit sa reprise de la tête dégagée difficilement par un défenseur adverse. Les locaux étaient les plus dangereux et se sont créé plusieurs occasions de scorer. À la 19ème minute de jeu, le poteau prive Gaâgaâ de l’ouverture du score. À la 27’, le même joueur et d’une frappe des 20 mètres oblige le portier des Canaris à étaler toute sa classe pour mettre le ballon en corner. Les changements opérés par le staff technique en seconde mi-temps et l’incorporation de Mudjib Kassim qui a effectué son baptême du feu n’ont pas apporté leurs fruits. Malgré quelques tentatives, les capés de Kaced ont manqué le dernier geste et les gars de Lotfi Sellimi étaient plus dangereux et ont failli marquer à plusieurs reprises et ont raté pas moins de quatre à cinq occasions nettes en cette deuxième période. Par ailleurs, il faudra noter le manque fragrant d’un fond de jeu à la JSK. Les Canaris du Djurdjura ont manqué de créativité et n’ont pas vraiment inquiété la défense adverse. Certes, un match nul en déplacement reste un bon résultat, mais le staff technique est appelé à trouver des solutions, notamment sur le plan offensif. 

1. H.

Doukha évite la défaite à son équipe

Malgré les belles prestations du gardien Yacine Sidi-Salah lors des deux matchs de la coupe de la CAF face aux FAR de Rabat et le match du championnat face à l’ESS, le staff technique a décidé d’apporter un changement dans la cage. C’est le gardien international Azzeddine Doukha qui a gardé les bois hier face à l’Olympique de Médéa et a réussi à garder sa cage vierge en sauvant son équipe de pas moins de trois buts certains.

1. H.

MCA 2 – CRB 1

Stade du 5-Juillet

Buts :

MCA : Zaidi (12’), Morsli (32’)

CRB : Merzougui (42’ sur sp)

MCA

Chaal

Hamidi

Ezzemani

Hadded

Saadou (Ghezala 71’)

Touki

Esso (Boukembouche 85’)

Tahar (Benyahia 61’)

Morsli (Abdelhafid85’)

Zaidi

Frioui

Ent. : Ben Yahia

CRB

Gaya (Moussaoui 46’)

Nessakh

Bouchar

Ait Abdeslem

Boulekhoua (Belkhiter 63’)

Mrezigue

Draoui

Tabti (Bakir 58’)

Khalfellah (Mesrati 46’)

Selmi (Belkhir 28’)

Merzougui

Ent. : Paqueta

Temps couvert, terrain praticable, huis clos, arbitrage de M. Abid Charef assisté par MM. Boulefelfel et Benamira

Le réalisme mouloudéen

Un Chaal dans son grand jour, des joueurs qui n’ont rien lâché jusqu’au bout et un entraîneur, qui voulait gagner son premier derby, a su acculer Paqueta. Zaidi ouvre le bal, Morsli corse l’addition, Merzougui sur penalty réduit le score. Au bout du compte, une victoire bien méritée pour le doyen des clubs algériens.

Sans round d’observation, les 22 acteurs sont rentrés directement dans le vif du sujet. Le CRB aurait pu ouvrir la marque à maintes reprises par Merzougui, mais c’était sans compter sur le lion qui a pour nom Chaal. Les Belouizdadis tentent de revenir dans le score, mais n’y arriveront pas puisque le Doyen ouvre la marque par Zaidi. Les Vert et Rouge tentent de profiter de l’instabilité du Chabab après l’ouverture du score pour ajouter un second. Pour cela, il faudra attendre deux minutes après la demi-heure de jeu pour que Morsli ajoute le second. Les visiteurs ne décolèrent pas et tentent de revenir. A 5 minutes de la fin du premier round, Nessakh oblige Hadded à commettre la faute ; Abid Charef siffle penalty. Cette fois, Merzougui arrive à buter et réduire la marque. Les dernières minutes du premier round ont connu des occasions de part et d’autre. Mais Abid Charef renvoie les 22 acteurs sur un score de 2-1 en faveur du Mouloudia. Les 4 minutes du temps additionnel n’ont rien changé au tableau d’affichage. Après la pause citron, les deux équipes reviennent sur le terrain avec la même détermination de réussir le pari. Le CRB qui n’avait pas dit son dernier mot voulait revenir dans le score. Sur la première mi-temps, on peut dire que le MCA n’a pas dominé  seulement par le score, mais aussi par l’organisation tactique et la présence sur le terrain ; il a été meilleur que le CRB qui errait sur le carré vert. Le CRB reprend en seconde période avec la volonté d’arriver à remettre les pendules à l’heure. Suite à la baisse de régime des deux camps, le Doyen recule pour préserver son avantage, subit le jeu devant un CRB qui cherchait la solution pour égaliser. Les Vert et Rouge tiennent le coup en comptant sur des contres et les balles arrêtées pour corser l’addition, sans prendre aucun risque. Le 4e arbitre ajoute 3 minutes de temps additionnel. Le CRB tente le tout pour le tout afin d’égaliser, mais les capés de Ben Yahia, bien en place, ont tenu le coup jusqu’au coup de sifflet final.

1. Z.
   

Saadou sort sur blessure

A une demi-heure de la fin du match, Saadou demande le changement, car il a ressenti des douleurs au mollet gauche. Tout le monde souhaite que ce n’est pas la même blessure qui l’a empêché la saison dernière de finir la saison.

Il a été l’homme du match :

Chaal : « Je n’ai fait que mon travail »

Il a fait des arrêts décisifs qui ont permis à ses camarades de gagner en confiance et d’aller chercher cette victoire devant le champion sortant. Une belle affaire pour le Doyen. Chaal, qui a fait taire hier toutes les mauvaises langues en leur répondant sur le carré vert, a déclaré à la fin du match: « On a fait un bon match. Je remercie pour cela tous les camarades qui n’ont rien lâché jusqu’au coup de sifflet final. Ce succès est le fruit du travail et de la volonté de réussir. En ce qui me concerne, je suis content d’avoir participé à cette belle issue de match et je promets de faire encore mieux à l’avenir.»

1. Z.

Une équipe sans âme sur le terrain

La faillite tactique de Paqueta

Alors qu’on attendait une réaction du champion d’Algérie, on a eu droit à une autre horrible prestation du Chabab, mais surtout à la faillite tactique de Paqueta totalement dépassé face à Ben Yahia.

Après la première rencontre disputée face à la formation du CSC, le staff technique du Chabab qui avait parlé de fatigue avait promis de se relancer face au Mouloudia et même de faire  mieux. Donc hier, on attendait une réaction de Selmi et ses camarades. Malheureusement, ça a été pire que face au CSC. En effet, ce n’est pas la défaite qui a fait mal, car elle fait partie du jeu, mais c’est beaucoup plus la faillite du coach sur le plan tactique. Paqueta, malgré tout ce qu’il a pu dire n’a pas trouvé le moyen de mettre en difficulté le Mouloudia. S’entêtant à aligner le même onze à chaque rencontre, sauf en cas de blessure ou de suspension, le coach brésilien, qui parlait de fatigue, a relancé les mêmes joueurs fatigués. Ce n’est pas tout, Paqueta, qui a vu le MCA le presser assez haut sur le terrain, n’a pas jugé utile de donner les consignes qu’il faut pour assurer une meilleure sortie de balle et une bonne construction de jeu.

Ses changements n’ont rien apporté

Que ce soit en première ou en seconde période, l’entraîneur belouizdadi n’est à aucun moment parvenu à faire pencher la balance de son côté. Tandis que Ben Yahia gérait son avance, il a obligé le CRB à user de jeu long faisant le bonheur de Saadou et Haddad. Même s’il a opéré des changements, les joueurs incorporés n’ont rien apporté. Le meilleur exemple, c’est Belkhir qui était totalement perdu sur le terrain, alors que tout le monde sait qu’il est plus rentable sur son côté gauche. El Mosrati aussi n’a rien apporté, se contentant de courir et d’essayer de trouver une place aux côtés de Merzougui.

Du néant pour le contenu

En ce qui concerne le jeu du Chabab, il n’y a rien de positif à en tirer. Tabti confirme encore une fois qu’il n’est pas un meneur de jeu et qu’il ne peut pas prendre le jeu à son compte. Dans le contenu, c’est le néant : aucune identité perceptible, on se fait des passes, on n’avance pas et on balance. C’est vrai que Paqueta vient d’arriver, mais ce qu’il propose depuis sa venue est insignifiant, comparé à ce qu’a fait Manojlovic, par exemple, qui avait une stratégie de jeu bien définie et qu’il assumait du début à la fin.

La pression ne cesse d’augmenter

Après cette défaite et la prestation très faible, la pression va augmenter crescendo au sein de la formation championne d’Algérie, car personne ne s’attendait à voir le Chabab avec ce visage si terne et si pauvre en contenu. Le coach doit faire tout ce qu’il faut pour rapidement relancer la machine et faire en sorte que tout se passe bien pour la prochaine rencontre de championnat. Les joueurs aussi doivent se remettre en question pour remonter la pente, il sera très difficile au CRB de défendre son titre.

1. Z.

Enfin apte pour la compétition

Vers la titularisation de Chenihi face à la JSS

Totalement rétabli de sa blessure à la cuisse, Brahim Chenihi est enfin apte pour la compétition officielle à partir du prochain match de championnat face à la JS Saoura. Son retour offrira d’autres solutions offensives à l’entraîneur Denis Lavagne, qui compte miser sur lui dans le onze de départ pour pallier l’absence d’Abderrahmane Meziane.

Considéré comme l’une des recrues phare de l’USMA lors du dernier mercato, Brahim Chenihi a finalement raté les deux premiers matchs de la nouvelle saison face au NAHD et au RC Arba, en raison d’une blessure à la cuisse, contractée le 29 septembre dernier lors du match amical face à l’ASO Chlef. Après avoir été bien pris en charge par le staff médical, l’attaquant usmiste est totalement rétabli ; il est apte à reprendre la compétition officielle dès le prochain match de championnat face à la JS Saoura pour débuter avec la formation de Soustara.

Une autre solution offensive pour Lavagne

Le retour de Brahim Chenihi va offrir d’autres solutions offensives à l’entraîneur Denis Lavagne. Face à l’absence d’Abderrahmane Meziane, le coach usmiste pourrait miser sur son attaquant face à la JS Saoura en l’alignant sur l’aile gauche de l’attaque. Il sera probablement épaulé par Abdelkrim Zouari et Smail Belkacemi pour animer le compartiment offensif, quand on sait que le technicien français compte jouer l’offensive à Béchar pour espérer réaliser une bonne opération en optant pour le système tactique 4-3-3.

Son expérience, un plus pour l’équipe

Certes, Brahim Chenihi a raté la dernière phase de préparation d’intersaison ainsi que les trois dernières rencontres amicales, mais le coach Lavagne peut compter sur lui sans problème au vu de son expérience. Il a évolué pendant plusieurs saisons en Ligue 1 Mobilis avec le MC El-Eulma, avant d’aller monnayer son talent en championnats tunisien et saoudien. En plus de ses qualités, l’expérience du natif de M’sila serait un plus pour l’équipe lors du périlleux déplacement de dimanche prochain.

1. S.

ESS 1 - HBCL 0

Stade 8-Mai-1945, Sétif

But :

Kendouci (90’).

ESS 

Bouhalfaya

Debari

Brahimi (Derfalou 62’)

Belkaroui

Laribi

Karaoui

Kendouci

Djahnit (Fellahi 85’)

Deghmoum

Motrani (Benayad 77’)

Djabou (Boudebous 77’).

Ent. : El-Kouki.

HBLC 

Alaoui

Ben Amrane

Cherfaoui

Aïb

Haddad

Kamoukh (Belaraibi 63’)

Ghorab (Kibouaa 60’)

Lamri

Khaldi (Hadji 80’)

Abid (Harari 80’).

Ent. : Ighil.

Temps froid. Arbitrage de M. Amar Khoudja assisté par MM. Salaoundji et Hadji M.

Averts :

HBCL : Ghorab, Kamoukh, Khaldi.

ESS : Brahimi.

Kendouci libère les siens !

On jouait la 90’, un bon travail collectif est conclu par Kendouci qui libère les siens. En effet, l’Entente de Sétif a trouvé d’endormes soucis pour venir à bout du HBCL hier au stade du 8-Mai- 1945. Une première victoire de la saison en championnat pour le groupe du coach Nabil El-Kouki qui totalise maintenant quatre point après le nul vierge ramené vendredi de Tizi Ouzou face à la JSK. Sans passer par le round d’observation, les vingt-deux acteurs entrent directement dans le vif du sujet. Ce sont les visiteurs qui vont se mettre les premiers en évidence. Lamri bien placé bute sur le défenseur Laribi qui parvint à écarter le danger. La réplique des partenaires d’Amir Karaoui ne s’est fait pas attendre. Karaoui puis Laribi ont été tous près de trouver le chemin des filets et débloquer la situation. Puis, il n’y a rien à mettre sous les dents puisque les débats se sont concentrés au milieu de terrain avec un léger ascendant pour les Ententistes, mais sans concrétiser. La première mi-temps se termine par le score vierge de zéro à zéro. Au retour des vestiaires, les locaux reviennent à la charge d’emblée ; Brahimi à la 50’ rate un but tout fait alors que tout le monde croyait à l’ouverture du score. À l’heure de jeu, le coach Nabil El-Kouki joue le tout pour le tout en alignant coup sur coup Derfalou, Boudebous, Benayad et Fellahi pour donner un plus au secteur offensif. Toutefois, il a fallu attendre la dernière minute de la partie pour assister à l’ouverture du score par le biais de Kendouci. Et alors qu’on attendait le coup de sifflet final de la rencontre, Kendouci conclut un bon travail collectif d’une frappe sèche qui ne laisse aucune chance au portier Aloui (90’).

F.R

Film du match

6’ A la conclusion d’un contre, Lamri est tout près d’ouvrir la marque n’était Laribi qui parvint à dégager le danger.

9’ Coup franc de Djabou sur la tête de Karaoui qui n’inquiète pas trop le portier Laâlaoui.

13’ Centre de Debari au second poteau. Laribi de la tête a failli de peu trouver les filets. Il bute sur le gardien de but du Hilal qui sort le cuir en corner.

50’ Brahimi rate lamentablement l’ouverture du score.

90’ Un bon travail collectif conclu par un tir à ras de terre de Kendouci qui délivre les siens.

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