Le premier responsable du staff technique de la formation du Djurdjura et membre du directoire aussi a rencontré, hier soir, l’attaquant de l’USMA, Ziri Hammar.
L’intérêt d’Aït- Djoudi pour le jeune joueur de l’USMA ne date pas d’hier, dès son retour à la JSK, l’ancien coach de l’équipe nationale olympique a démontré son grand souhait d’enrôler ce joueur cet hiver. A la recherche d’un bon attaquant, l’entraîneur de la formation du Djurdjura a jeté son dévolu sur le Franco-Algérien, originaire d’Akbou. Pour un rappel, Ziri Hammar jouait à la JSS avant de rejoindre la formation de Soustara. Hier, à la fin de la rencontre amicale qui a opposé son équipe au RCK, Aït-Djoudi a rencontré Hammar à Alger. Les deux hommes sont restés un bon moment, l’entraîneur de la JSK a négocié directement avec son interlocuteur. Au moment où nous mettons sous presse, les deux parties n’avaient pas trouvé encore un terrain d’entente, néanmoins, Aït-Djoudi était très confiant concernant l’accord de principe du joueur. Ce dernier, qui veut changer d’air cet hiver, est très intéressé de jouer à la JSK, surtout qu’Aït-Djoudi, a su comment le convaincre hier, toutefois, les responsables des Canaris du Djurdjura seront appelés à saisir la direction de l’USMA pour négocier soit la lettre de libération du joueur soit un prêt. De son côté, Aït-Djoudi comptait tout faire hier soir pour arracher le OK de Hammar Ziri, par la suite, il chargera Zouaoui et Madjène de contacter Rebouh Haddad pour discuter avec lui les modalités du transfert de ce jeune joueur franco-algérien, d’origine kabyle…
Sa lettre de prêt fixée à 500 millions de centimes
Selon une source proche de la direction, l’attaquant de l’USM Alger
Ziri Hammar est toujours dans les plans de l’entraîneur Azzeddine Aït- Djoudi. Ce dernier n’était pas chaud au départ pour le recruter à cause de sa blessure, mais en l’absence de bons attaquants sur le marché, le coach kabyle réactive sa piste. Il aurait reçu des assurances que sa blessure ne serait pas aussi méchante qu’il le pensait. C’est ce qui explique la réactivation de la piste de cet attaquant qui a montré de très belles choses depuis qu’il a rejoint le championnat algérien, mais pour des raisons qu’on ignore, il n’arrive pas à percer. Dans l’espoir de l’engager, les responsables du club ont pris attache avec le président des Rouge et Noir Rebouh Haddad pour le relancer sur Hammar, mais celui-ci leur aurait dit que sa lettre de prêt est fixée à 500 millions de centimes. Cela risque de faire capoter la transaction, car les caisses du club sont vides. Avec la défaite concédée hier en amical devant la modeste équipe du RCK, les dirigeants sont condamnés à faire un recrutement de qualité pour que leur équipe puisse faire une remontée spectaculaire à la phase retour.
- B.
Mellal-Azlef, le 22 janvier devant le tribunal
Chérif Mellal a attaqué en justice Malik Azlef. L’affaire qui a été enregistrée au niveau de la chambre d’accusation du tribunal de Tizi Ouzou passera le vingt- deux du prochain mois. Mellal et Azlef comparaîtront devant le tribunal dans un mois environ. C’est Chérif Mellal qui a déposé plainte pour diffamation et insultes contre Malik Azlef. « Il m’a accusé de malade mental, je lui donne rendez-vous devant le tribunal», avait déclaré Cherif Mellal à ses proches avant son départ pour l’Allemagne, lui, qui devrait rentrer au pays ce soir ou dans le pire des cas demain matin.
Aouedj : «Je n’ai pas refusé de revenir à la JSK»
Annoncé partant du Mouloudia Club d’Alger, Sid-Ahmed Aouedj n’est pas encore fixé sur son avenir. Il affirme qu’il attend de récupérer sa lettre de libération avant de trancher sur sa prochaine destination.
En ce qui concerne ses négociations avec les responsables des Jaune et Vert du Djurdjura, il déclare que c’est son manager qui s’occupe de ses contacts.
Est-il vrai que vous avez refusé de revenir à la JSK ?
Non, ce n’est pas vrai. Je n’ai pas encore tranché sur mon avenir du moment que je n’ai pas encore récupéré ma lettre de libération.
A quand remonte le dernier contact avec les responsables de la JSK ?
Je ne peux rien vous dire sur ce sujet du moment que c’est mon manager qui s’occupe de mes contacts avec les responsables de la JSK. Tout ce que je peux vous dire, c’est que je suis toujours intéressé à l’idée de porter le maillot de la JSK. Je suis chaud à l’idée de faire mon come-back et tout ce qui a été dit à propos de mon refus de revenir est faux.
Mais on dit que vous avez tout conclu avec le président du MCO…
Non, au risque de me répéter, je n’ai rien décidé pour l’instant. J’attends de récupérer ma lettre de libération avant de décider quoi que ce soit.
Vous allez récupérer votre lettre de libération aujourd’hui, n’est-ce pas ? (Entretien réalisé hier après-midi)
Jusqu’au moment où je vous parle, je n’ai pas encore récupéré ma lettre de libération.
- B.
Lui exige 140 millions, la direction lui a offert 100 millions
Voilà pourquoi Benyoucef n’a pas conclu dimanche soir
Comme nous l’avons rapporté dans notre dernière édition, le meneur de jeu du Paradou AC Lyès Benyoucef a négocié avec les responsables de la
JSK dans la soirée de dimanche dernier. Pensant que ces derniers allaient satisfaire ses exigences financières, le désormais ex-pensionnaire du PAC nous avait annoncé dans la soirée d’hier avant de se rendre au centre d’Aïn Benian où il avait rendez-vous avec les responsables kabyles qu’en principe il signera lundi matin à la JSK.
Malheureusement, les choses ne se sont pas passées comme il le souhaitait. D’après une source digne de foi, Benyoucef avait exigé une mensualité de 140 millions de centimes, alors que les responsables de la JSK ne lui avaient offert que 100 millions. Les deux parties se sont séparées sans trouver un accord, mais chacune d’elles a promis à l’autre de faire un effort pour que la transaction aboutisse. Cependant, les dirigeants de la JSK que nous avons interrogés sur le cas de Benyoucef qui jusqu’à hier après-midi n’a pas signé son contrat, rétorquent que celui-ci a accepté leur proposition financière et que ce qui retarde sa signature est qu’ils veulent carrément racheter son contrat, alors que les responsables du PAC veulent le leur céder à titre de prêt pour 18 mois seulement.
CRB
Convoité également par le CRB, Benyoucef ne cache pas son souhait de porter le maillot des Jaune et Vert, mais il n’est pas prêt à signer pour des miettes. D’après toujours notre source, les dirigeants du CRB lui avaient offert un salaire de 140 millions de centimes par mois et c’est pour cela qu’il n’a pas dit immédiatement oui aux dirigeants de la JSK qui ne lui ont proposé qu’une mensualité de 100 millions de centimes. Les négociations entre les responsables kabyles et l’agent du joueur se poursuivent toujours. Un rendez-vous entre eux était prévu hier soir ou au plus tard aujourd’hui. Dans leurs négociations ils se sont entendus que dans le cas où Benyoucef signerait à la JSK et qu’il décroche un contrat à l’étranger, la JSK aura droit à un pourcentage du montant de son transfert.
- B.
En amical : JSK 1 – RCK 3
Une bonne gifle avant Ben Aknoun
Par Islam Zemam
La formation kabyle disputait hier son match amical de préparation face au RCK. Le moins que l’on puisse dire, c’est que les Canaris ont reçu une bonne piqure de rappel avant la coupe d’Algérie et le match de l’ESBA.
Au travail depuis samedi dernier du côté de l’ESHRA d’Aïn Benian, les Kabyles disputaient donc leur joute amicale face au RCK. Le staff technique voulait voir les joueurs et avoir une bonne idée sur ce qui a été fait comme travail depuis l’entame du stage. Ainsi, Aït-Djoudi a présenté son équipe-type au coup d’envoi de la rencontre et la première période a été grandement dominée par les Kabyles qui se sont procuré plusieurs occasions mais sans parvenir à conclure. Il a fallu la fin de la première demi-heure pour voir Djabout profiter d’une erreur de la défense adverse pour s’en aller tromper Bouguera qui ne pouvait absolument rien faire. Cependant, au lieu de continuer à mettre la pression, les Kabyles ont laissé la balle à leurs adversaires qui en ont profité pour se montrer dangereux en fin de première période, jusqu’à ce qu’ils parviennent à remettre les pendules à l’heure. D’ailleurs, c’est sur ce score que la première mi-temps s’est terminée.
Les remplaçants n’ont pas saisi leur chance
Pour la seconde mi-temps, l’entraîneur kabyle a fait pas mal de changements en décidant d’offrir la chance aux remplaçants de faire leurs preuves. Ainsi, les Renai, Tizi Bouali et autres Si Salem ont fait leur apparition sur le terrain pour essayer de faire valoir leurs qualités. Cependant, ça n’a pas du tout marché puisque le RCK a encore accéléré et suite à une bourde de Tizi Bouali, Betrouni s’en allait marquer le second but pour son équipe. Pour ne rien arranger, le pensionnaire de Ligue 2 Mobilis allait enfoncer le clou par une 3e réalisation. Le score ne bougera plus et le RCK s’offre une belle victoire. Pour les Kabyles, il s’agit d’une bonne gifle avant la rencontre de coupe d’Algérie face à l’ESBA et les joueurs seraient bien inspirés de revoir leur copie car ce qui s’est passé hier à Aïn Benian, pourrait bel et bien se reproduire au cours de la rencontre de jeudi.
- Z.
Equipe première mi-temps :
Asselah, Guemroud, Redouani, Saâdou, Ferhani, Djerrar, Boukhenchouche (Oukaci), Benaldjia, Tafni, Djabout.
Equipe 2e mi-temps :
Boultif, Redouani, Tizi Bouali, Djerrar, Chetti, Raïah, Yettou (Renaï), Tafni, Si Salem, Djabout, Benaldjia
Djerrar testé dans l’axe
Au cours de la seconde période de la rencontre amicale, Aït-Djoudi a décidé de faire sortir Saâdou et Guemroud en défense et pour les remplacer, il a décalé Redouani à droite et mis Tizi Bouali dans l’axe. La surprise, c’était le fait de voir Adel Djerrar reculer pour passer du milieu de terrain à l’axe de la défense. Le joueur bien qu’il ait essayé de faire de son mieux n’a pas eu beaucoup de réussite dans ce poste.
Boukhenchouche souffre de l’adducteur
Le meneur de jeu de la JSK, Salim Boukhenchouche, n’est pas allé au terme de la première période de la rencontre amicale. En effet, le joueur s’est blessé à l’adducteur et par précaution, il a quitté le terrain. Il a été immédiatement pris en charge par le staff médical. Ce dernier lui a demandé s’il s’agissait de son ancienne blessure mais le joueur a répondu par la négative.
«Je n’ai pas pris de risque»
Approché par nos soins, l’ancien de Médéa a fait savoir qu’il avait ressenti des douleurs : «J’ai senti une douleur et une gêne dans la jambe. Je souffre de l’adducteur mais j’ai quitté le terrain par mesure de précaution.» Un cas à surveiller pour le staff médical.
Allik présent
Le fait marquant au cours de cette rencontre amicale, c’est la présence du président du CSA/USMA, Saïd Allik. Ce dernier a suivi le déroulement de la rencontre avec une grande attention. Chacun a eu son interprétation de la présence de l’ancien boss des Rouge et Noir.
- Z.
Ça reparle de Frioui
A la fin de la rencontre face au RCK, le membre du directoire, Saïd Zouaoui était en discussion avec un de ses proches et les deux hommes étaient en train de parler de l’attaquant de l’USMB, Samy Frioui. Ciblé par le club kabyle il y a quelques jours, la piste s’est grandement refroidie dernièrement. Désormais, ça reparle de lui et le joueur intéresse toujours la formation kabyle. Il faudra maintenant faire le nécessaire pour le signer et faire en sorte d’avoir sa libération, ce qui ne sera pas une mince affaire vu son importance à Blida.
- Z.
Il met en garde contre tout relâchement
Aït-Djoudi : «On pourrait revivre la même chose jeudi face à l’ESBA»
L’entraîneur de la JSK prend les choses du bon côté et assure que cette joute lui a permis de tester certaines choses en prévision de la suite du parcours. Cependant, il n’a pas omis de signaler qu’il a déjà mis en garde ses joueurs contre tout relâchement qui pourrait coûter cher pour le match de coupe d’Algérie de jeudi.
Pour le technicien kabyle, cette rencontre lui a permis de jauger la forme de ses joueurs mais aussi de voir certains joueurs dans certains postes et en tirer les conclusions nécessaires. Par rapport au match, il a déclaré : «Au cours de cette rencontre, je voulais avant tout faire tourner l’équipe. Ce ne sont pas des choix qu’on discute. J’ai fait exprès d’aligner certains joueurs dans des postes différents pour les voir à l’œuvre. Je voulais par exemple redonner une chance à Redouani sur le côté droit de la défense car il reste son poste de prédilection. Dans l’ensemble, on travaille avec une charge assez importante. Depuis deux joueurs, on travaille avec une charge qui a augmenté. Ce matin même, on s’est entraînés. C’est un bon signe pour nous sur le plan physique.»
«On prend cette défaite du bon côté»
Lorsque le match s’est terminé, le coach est allé directement voir les joueurs pour les mettre devant leurs responsabilités. Pas question de revoir les déchets dans le jeu jeudi sous peine de se retrouver en difficulté : «Ce qu’il faut savoir, c’est que j’ai eu une discussion avec les joueurs après la fin de la rencontre. Je leur ai dit que s’ils voulaient tout prendre à la légère, on allait revivre la même situation face à une petite équipe, entre guillemets. Une équipe qui joue la coupe, elle se donnera à fond et n’aura rien à perdre. En plus, c’est la coupe qui choisit ses vainqueurs. Cette défaite, on va la prendre du bon côté des choses puisque comme je l’ai dit aux joueurs, ça pourrait nous arriver de revivre le même scénario ce jeudi. S’ils veulent tout prendre à la légère, ce sera comme ça. De toute façon, je préfère que le joueur me montre ses défauts sur ce match amical que dans une rencontre officielle. Lors de notre réunion, on a aplani les différends et on a fait en sorte de tirer dans le même sens.»
«Le recrutement ? Il devrait y avoir du nouveau dans 48 heures»
A l’heure actuelle, la JSK n’a officialisé avec aucune nouvelle recrue et le temps passe vite. Interrogé sur le mercato hivernal du club, Aït Djoudi rassure que les choses vont bientôt avancer et que dans deux jours, il pourrait y avoir du nouveau : «Je pense que les choses sont claires pour nous concernant le recrutement. Comme je l’ai dit durant le point de presse, on est en train de négocier avec certains joueurs et les choses avancent dans le bon sens. Je peux dire que peut-être dans les 48 heures il va y avoir du nouveau dans ce dossier et qu’il pourrait y avoir quelque chose d’officiel. J’espère au moins deux joueurs avec lesquels on a vraiment avancé. Je préfère qu’on donne les noms de manière officielle ou carrément qu’on les présente.»
«Si on a besoin de recruter un 4e joueur, on le fera»
C’était dans l’air du temps et c’est désormais officiel. Le BF a pris la décision d’accorder une licence de plus pour chaque club afin de recruter un 4e joueur en cette période de mercato. Cependant, la JSK va-t-elle utiliser cette 4e licence ? Le coach kabyle reste assez vague sur le sujet : «Pour dire vrai, on était vraiment focalisés sur le recrutement de trois joueurs seulement à savoir le nombre de licences accordées. Maintenant, les choses ont changé et on s’adapte. Après, si on voit qu’on a besoin de recruter un 4e joueur, on le fera. On verra également selon les moyens dont on disposera.»
- Z.
- Ils ont négocié à l’hôtel Ithourar la veille du match contre le MCO
- Il a supervisé l’équipe hier
Madjid Taleb pour succéder à
Aït-Djoudi
Azzedine Aït-Djoudi est le membre influent du directoire, rien ne se fait en son absence, la preuve, lorsqu’il se trouvait au Maroc, les machines étaient à l’arrêt. Le coach des Canaris du Djurdjura qui, faut-il le rappeler, a dirigé six matchs en championnat depuis son retour à la JSK, a bien compris, qu’il ne pourra jamais être entraîneur de l’équipe et membre du directoire, ses multiples absences aux entraînements ont provoqué une grande colère chez les supporters. Aït-Djoudi veut être libre dans ses mouvements, dans ses déplacements, dans ses rendez vous… Pour cette raison, il a jugé utile de ramener un entraîneur en chef et lui, il va se consacrer uniquement au travail de la direction. A la veille de la rencontre JSK-MCO, Aït-Djoudi a invité Madjid Taleb, l’ancien entraîneur du MCEE et de l’OMA avec lesquels il a réalisé d’excellents résultats pour discuter. Madjid Taleb est un résidant du Canada, originaire de la région de Draâ El Mizan, lui et AAD ont dîné ensemble à l’hôtel Ithourrar et le lendemain, Madjid Taleb a suivi la rencontre depuis la tribune officielle. Les deux hommes ont parlé de tout la veille de la rencontre et aussi à la fin du match, ils ont même parlé argent. Aït-Djoudi est parti au Maroc au lendemain de cette rencontre mais les contacts avec Madjid Taleb n’ont pas été rompus. Hier, ce technicien était à Ain Benian pour superviser l’équipe. Même si rien n’a été signé, on dit dans l’entourage du club qu’il va assurer les entraînements, coacher l’équipe, mais avec un droit de regard d’Aït Djoudi, ce qui, il faut le dire ne plait pas beaucoup à celui qui a modelé l’équipe du MCEE qui s’est qualifié à la C1 et failli accéder avec l’OMA si ce n’est le jeu des coulisses, selon ses dires.
AAD ne veut pas perdre sa place au directoire
Aït-Djoudi n’a pas pris la décision de quitter le staff technique au hasard, il sait bien qu’il ne pourra jamais assurer les deux rôles, entraîneur et membre du directoire. Et puis, les règlements lui interdisent de cumuler les rôles, d’ailleurs, les membres du conseil de surveillance devaient aborder ce point avec lui lors de la réunion de samedi passé qui n’a pas eu lieu pour les raisons que tout le monde est au courant. Bref, Aït-Djoudi devrait se retirer dans les prochaines heures du staff technique de la JSK pour céder sa place à Madjid Taleb.
Il vise la présidence du club
Ce n’est un secret pour personne, Aït-Djoudi vise la présidence du club. Depuis son départ au Maroc, il n’a pas cessé de déclarer : « Si je reviens à la JSK c’est pour prendre le poste de président.» Hannachi gênait vraiment Aït-Djoudi, aujourd’hui, Mohand Chérif n’est plus en poste, il n’est plus à la JSK, c’est l’occasion ou jamais pour Aït-Djoudi de réaliser son rêve. Avec cette nouvelle de Madjid Taleb, le futur ancien coach des Canaris du Djurdjura commence à exécuter son plan, lui, qu’on annonce en disgrâce avec les deux autres membres du directoire, la preuve, il s’est présenté le plus normalement du monde à la réunion de samedi passé provoquée par le conseil de surveillance alors que les deux autres membres, on préféré bouder ou boycotter cette réunion…
Madjid Taleb : «Tant que je n’ai rien signé, il n’y a rien d’officiel»
Bien qu’il soit annoncé d’une manière officielle comme le nouvel entraîneur de la JS Kabylie, Madjid Taleb, l’ex-coach du MCEE s’est montré évasif lorsqu’on lui a demandé, s’il est réellement le nouvel entraîneur des Jaune et Vert. «Tant que je n’ai rien signé, pour moi, il n’y a rien d’officiel», a-t-il répondu avant d’ajouter : «J’attends que les choses s’éclaircissent dans les prochaines heures avant que j’annonce quoi que ce soit.»
«J’ai été au stade pour voir le match»
Alors que tout le monde a estimé que sa présence au stade à l’occasion de la rencontre amicale ayant opposé la JSK au RCK est une preuve qu’un accord entre lui et les responsables de la JSK a été déjà trouvé, Taleb précise : «J’ai été au stade pour voir le match. Je connais aussi l’entraîneur Medjahed et quelques joueurs du RCK que j’avais entraînés par le passé.»
«J’ai vu Madjène et Zouaoui »
Même si des proches du club confient que Taleb a trouvé un terrain d’entente avec les responsables de la JSK, celui-ci n’a pas voulu confirmer l’information tant qu’il n’a pas encore signé son contrat. «Oui, j’ai vu Madjène et Zouaoui que je ne connaissais pas avant. Lorsqu’il y aura quelque chose d’officielle, je l’annoncerai moi-même», a conclu Taleb qui entretient de très bons rapports avec Azzedine Aït-Djoudi.
- B.
Félicitations
Le foyer de Sid Ali Asli a été égayé hier par un joli pompon prénommé
Aylane, en cette heureuse occasion la famille Bouali présente ses félicitations à l’heureux papa et souhaite un prompt rétablissement à la maman et une longue vie au nouveau-né.
Raïah demande des explications
Le milieu de terrain et capitaine de la JSK, Malik Raïah, en l’occurrence, est en train de vivre des moments très difficiles ces jours-ci. En effet, l’entraîneur en chef des Canaris du Djurdjura marginalise de plus en plus l’enfant de Draâ Ben Khedda et ce dernier ne supporte plus le comportement de son entraîneur avec lui. Le courant ne passe plus entre les deux hommes depuis le match de la JSK contre l’USMA. Ce jour-là, Aït- Djoudi a mis Raïah sur le banc de touche. Connu pour sa bonne éducation, Raïah n’a rien dit à son entraîneur, ni avant ni après la rencontre, néanmoins, il était très en colère. Depuis, les choses ne tournaient pas rond entre les deux hommes. Hier, le capitaine des Jaune et Vert devait, après le dîner, demander des explications à son entraîneur, surtout que lors de la rencontre amicale d’hier le joueur a été aligné en seconde mi-temps, ce qui n’a pas été de son goût, lui qui a failli d’ailleurs boycotter cette rencontre.
Les propos d’Aït-Djoudi avant le match contre le MCO l’ont blessé
Selon une source crédible, Aït-Djoudi a tenu un langage très dur à Raïah avant le coup d’envoi du match devant le MCO. Au moment où le joueur demandait des explications à son entraîneur sur son placement sur le terrain, le coach a répondu avec une phrase très dure qui a fait très mal au joueur.
Aït-Djoudi : « Il n’y z pas de cas Raïah »
« Pour moi, il n’y a pas de cas Raïah. J’ai fait tourner mon effectif hier, il a joué une mi-temps, il est le capitaine de l’équipe et moi je suis l’entraîneur, je suis là pour gérer un groupe et non pas un ou deux joueurs, je le redis une nouvelle fois, pour moi, il n’y à pas de cas Raïah. »
A.H.
Il menace de saisir la CRL de nouveau
Mebarki : « Je n’ai trouvé qu’un mois de salaire alors qu’ils m’en doivent 6»
L’ancien milieu de terrain de la JSK, Bilel Mebarki, a pris attache avec nous hier en fin de journée pour préciser un détail de taille à ses yeux : « Je ne comprends pas pourquoi ils ont déclaré que les joueurs qui ont saisi la CRL ont été payés alors qu’en réalité, on a touché qu’un salaire. Moi, je dois percevoir six mois de salaire, je n’ai trouvé qu’un salaire et je pense que c’est le même cas pour Rial, Berchiche, Boulaouidet et Medjkane. » Dans ses déclarations, Mebarki menace d’aller très loin dans cette affaire : « J’ai fait au départ confiance à la CRL, j’ai attendu mon dû presque six mois et en fin de compte, je ne trouve qu’un salaire, je vais saisir la CRL de nouveau mais aussi la justice, car, cette fois-ci, je veux en terminer vraiment avec cette histoire. »
A.H.