Suite aux graves incidents qui se sont produits au coup de sifflet final, le président Chérif Mellal n’y est pas allé de main morte pour dénoncer les agissements et le comportement du président de l’ES Sétif Hassan Hamar.
«Je suis quelqu’un qui mesure ses propos, car on doit tous contribuer à l’endiguement du phénomène de la violence, mais je ne peux me taire devant la gravité de ce qui s’est passé à Sétif. Hamar est le mal du football national et il donne une mauvaise image que ce soit au niveau national ou international», s’insurge le président Mellal qui n’oubliera pas de sitôt le cauchemar vécu par les fans des Jaune et Vert à Sétif.
«Il a usé de tous les moyens extrasportifs pour nous battre avant d’accuser l’arbitre»
Le président Chérif Mellal a évité de commenter la décision de la non-retransmission de la rencontre et son décalage jusqu’à 20h au lieu de 17h 45 comme prévu initialement et cela pour ne pas envenimer les choses, mais avec les graves dépassements qui ont eu lieu pendant et après le match, il a vidé son cœur pour que les amoureux de la balle ronde sachent dans quelles conditions la JSK a arraché sa victoire. «Il a usé de tous les moyens extrasportifs pour nous battre et comme il n’a pas pu, il n’a pas trouvé mieux pour se justifier que d’accuser l’arbitre d’avoir lésé son équipe», regrette-t-il.
«C’est à cause de lui que les supporters de l’ESS se sont pris violemment aux nôtres»
Si le président de la JSK a tenu à dénoncer ce qui s’est passé à Sétif, c’est à cause de l’enfer vécu par les fans notamment au coup de sifflet final. «Il y a eu des dépassements graves et Hamar est le responsable de ce qui s’est passé. C’est à cause de lui que les supporters locaux se sont pris violemment aux nôtres. Au lieu d’appeler au calme comme tout président digne de son nom, il n’a fait que verser l’huile sur le feu. C’est honteux tout ça», affirme le président Mellal.
«Il a fermé la porte de la tribune officielle et il a pris la clé avec lui»
En plus des dépassements qui ont eu lieu à la fin de la rencontre, le président Mellal dénonce la décision de Hamar de fermer la porte de la tribune officielle et d’emmener avec lui la clé. «C’est honteux, ce qu’il a fait. Il a fermé la porte de la tribune officielle et il a emmené avec lui la clé. Je n’ai jamais vu ça», a-t-il avoué.
«Anikine et Duvernet étaient bloqués à la tribune et moi j’étais obligé d’escalader le grillage pour aller aux vestiaires»
A la fin de la première mi-temps, l’entraîneur des gardiens Anikine, le préparateur physique Duvernet et le président Mellal qui ont suivi la rencontre à partir de la tribune officielle, ont voulu rejoindre les vestiaires, malheureusement il n’y avait personne pour leur ouvrir la porte. Cela a irrité au plus haut point le président Mellal. «Notre entraîneur des gardiens Anikine et le préparateur physique Duvernet n’ont pas pu rejoindre les vestiaires. Moi, j’étais obligé d’escalader le grillage pour aller parler aux joueurs. Il a fermé la porte et il a emmené avec lui la clé. C’est honteux de sa part.»
«Un président qui n’accepte pas la défaite doit partir»
Venu à la JSK pour faire changer les choses dans notre football pris en otage par des personnes qui usent de tous les moyens pour arriver à leurs fins, le président Mellal annonce : «Un président qui n’accepte pas la défaite, il doit partir. En football, il y a un vaincu et un vainqueur et il faut toujours accepter le résultat final avec sportivité.»
«Lorsqu’on est corrupteur, on parle de corruption»
Le président Mellal a répondu avec beaucoup de tact aux accusations du président de l’ESS qui a accusé l’arbitre Abid Charef d’avoir avantagé l’équipe de la JSK. «Vous savez, lorsqu’on est corrupteur, on parle de corruption. Nous, on gagne nos matches sur le terrain», souligne-t-il.
«Que faisait Hamar sur la main courante ?»
Le président de la JSK s’interroge sur le fait que le président Hamar ait suivi la deuxième mi-temps à partir de la main courante. «Que faisait-il sur la main courante ? Moi, je n’ai jamais suivi un match à partir de la main courante. Ce n’est pas normal qu’un président de club reste sur la main courante», s’étonne-t-il.
«Je salue le courage d’Abid Charef»
L’arbitre de la rencontre Abid Charef a subi des pressions énormes, mais il n’a pas cédé. A cet effet, le président Mellal a tenu à lui rendre hommage. «Je salue le courage de l’arbitre qui a officié cette rencontre avec son âme et conscience.»
«4 de nos supporters ont eu des doigts coupés»
Hors de lui à cause des graves dépassements qui ont lieu, le président de la JSK a eu très peur pour la vie des supporters qui ont fait le déplacement. «Nos supporters ont vécu l’enfer. 4 d’entre eux ont eu des doigts coupés. C’est grave qu’un supporter se déplace au stade pour soutenir son équipe et il revient sans ses doigts. Je suis scandalisé, car cela ne devait pas se produire, malheureusement quand vous avez un président qui ne fait qu’attiser le feu, il faudra s’attendre à tout», dénonce-t-il.
«Il n’y a que les voyous qui se comportent de la sorte»
Depuis l’entame de la saison, le président Mellal ne cesse d’appeler au fair-play et à la sportivité, malheureusement des présidents qui se croient au-dessus de la loi font régner la terreur dans nos stades. Le président Mellal qui accueille ses adversaires à Tizi Ouzou avec des fleurs a du mal à comprendre comment un président de club peut se comporter de la sorte. «Il n’y a que les voyous qui se comportent de la sorte. Je crois que pour endiguer le phénomène de la violence de nos stades, il faut virer ces présidents voyous», tonne-t-il.
«Je me demande comment le stade du 8-Mai a été homologué, alors qu’il ne dispose pas de sortie de secours»
Si le stade du 8-Mai-45 répondait aux normes de sécurité, il n’y aurait pas de graves blessés dans les rangs des supporters de la JSK. Ils étaient contraints d’escalader le grillage qui sépare les gradins du terrain et cela pour éviter la pluie de projectiles qui s’abattait sur eux. Le président Mellal a tenu à dénoncer l’absence de sortie de secours dans la tribune réservée aux fans des Jaune et Vert. «En toute sincérité, je me demande comment le stade a été homologué, alors qu’il n’y avait pas de sortie de secours», s’interroge-t-il.
«On ne va pas se taire et on adressera un rapport sur tout ça à la FAF»
Scandalisé et énervé par l’enfer vecu par les supporters au stade de 8-Mai-45, le président Mellal est déterminé à faire le nécessaire pour que les instances sportives prennent les décisions qui s’imposent et cela pour que ces graves dépassements ne se reproduisent plus à l’avenir. «On ne va pas se taire, car ce qui s’est passé est très grave. On adressera un rapport à la FAF et on exigera pour que toute la lumière soit faite sur l’homologation de ce stade qui ne dispose même pas de sortie de secours.»
«On a réservé un accueil chaleureux à tous nos adversaires et on a gagné nos matches sur le terrain»
Voulant que la JSK soit un exemple dans le fair-play et la sportivité, le président Mellal a réservé un accueil chaleureux à toutes les équipes adverses y compris la JS Saoura qui a imposé le partage des points à son équipe lors de la première journée du championnat. «On a réservé un accueil chaleureux à tous nos adversaires et on a gagné nos matches sur le terrain», rappelle-t-il.
«Le football est un spectacle et non pas la violence»
Ne comprenant pas comment des présidents de club usent de moyens machiavéliques pour gagner leurs matches, le président Mellal avoue que ce n’est pas avec des comportements pareils que notre football va évoluer. «Le football est un spectacle et non pas la violence. C’est malheureux ce qui s’est passé à Sétif et il faut que les instances de notre football prennent les décisions qui s’imposent», espère t-il.
«On a de très bons jeunes et ils l’ont prouvé à Sétif»
Ayant cru en les jeunes du club, le président Mellal avait entièrement raison de ne pas avoir jeté son argent à l’intersaison en recrutant des joueurs à coup de centaines de millions de centimes. Face à l’ESS, l’entraîneur Franck Dumas, 5 jeunes de cru ont joué et leur rendement a été plus que satisfaisant. «On a de très bons jeunes et ils l’ont prouvé à Sétif. J’ai toujours dit qu’il n’y a pas de stars dans notre championnat et le temps m’a donné raison. On est premiers avec 18 points, mais on gardera les pieds sur terre, car il n’y a que le travail qui paye. On a un public en or et on fera tout pour le satisfaire», a-t-il confié.
«Boukhanchouche, c’est Franck Dumas qui tranchera !»
Le cas du milieu Salim Boukhanchouche n’est toujours pas réglé. Et pour cause, son retour en équipe première est tributaire de l’entraîneur Franck Dumas. C’est le président Chérif Mellal qui nous l’a dit hier. «Boukhanchouche, c’est l’entraîneur Franck Dumas qui tranchera sur son cas. Il est mis depuis quelques jours de cela à la disposition de l’équipe réserve et pour le reste, c’est l’entraîneur qui décidera», a révélé le président Mellal.
- B.
Une conférence de presse pour dénoncer ce qui s’est passé à Sétif
Les dirigeants animeront aujourd’hui une conférence de presse à partir de 11h afin de dénoncer l’enfer vecu à Sétif. Ils comptent même ramener les 4 supporters qui ont perdu leurs doigts pour apporter leurs témoignages sur les graves dépassements qui ont eu lieu à la fin de la rencontre.
L’enfer des Kabyles à Sétif
Alors que rien ne laissait présager une telle issue, les inconditionnels de la JSK ont été victimes d’un guet-apens et le pire a failli se produire. Il faut dire que ce n’est pas tous les supporters de l’ESS qui ont été auteur de ces graves incidents, puisque beaucoup d’entre eux ont condamné les agissements de certains énergumènes inconscients et mauvais perdants. Beaucoup de Sétifiens ont même aidé les Kabyles à rentrer chez eux, néanmoins, ce qui est arrivé est arrivé.
Le match se jouait dans d’excellentes conditions, faut-il le dire. Cependant, au fur et à mesure que la JSK prenait de la confiance et surtout après le but de Benyoucef, tout a basculé. En effet, des jets de bouteilles et autres projectiles sur la pelouse et vers la galerie adverse, des insultes, ça chauffait… la fin de match s’est déroulée sous haute tension.
17 blessés recensés
Cependant, ce sont une fois de plus les supporters kabyles qui allaient vivre l’enfer. Certains fans de l’ESS qui n’ont pas accepté la défaite ont tendu un vrai guet-apens aux inconditionnels de la JSK et les ont bombardés de projectiles de toutes sortes. D’ailleurs, il y a eu des dizaines de blessés dont trois graves comme on le faisait savoir dans notre dernière livraison. Officiellement, 17 Kabyles ont été recensés, on parle là que de ceux qui ont été aux urgences de l’hôpital de Sétif, parce que beaucoup ont quitté la ville traînant des blessures diverses. On ne comprend pas pourquoi de tels agissements du moment que les fans n’ont fait qu’exprimer leur joie après cette éclatante victoire. Même si comme le soutiennent les supporters Sétifiens, une partie des fans Kabyles aurait glorifié Al-Ahly du Caire, cela ne justifie en aucun cas une telle violence. Les Kabyles ont vécu l’enfer à Sétif.
Voitures et bus saccagés, le pire évité de justesse
Aussi, plusieurs véhicules immatriculés 15, 06, 10 et 16 ont été saccagés. Des bus transportant les fans kabyles ont été caillassés, les vitres cassées, postes radio volés. C’était un vrai carnage. Hier à 3h du matin, tous les Kabyles avaient quitté la ville de Sétif indemnes, un seul supporter est resté en observation au dispensaire de la ville.
Iboud a refusé de quitter Sétif laissant derrière lui des supporters
Miloud Iboud, porte-parole de la JSK, a refusé de quitter Sétif et laisser derrière lui des supporters de la JSK. Il est resté jusqu’à ce que tous soient partis. Tard dans la nuit, vers 2h du matin, il était toujours aux urgences de l’hôpital attendre des nouvelles des blessés à qui le docteur Djadjoua a donné les premiers soins. Mellal voulait rester aussi, mais sur conseil d’Iboud, il a quitté les lieux, vu qu’il était la cible principale des fans sétifiens.
Les joueurs s’inclinent devant leurs fans
Les joueurs n’ont pas manqué de s’incliner devant leurs supporters pour le déplacement massif effectué à Sétif car en plus des 2000 voire plus qui sont rentrés, des milliers sont restés dehors. Ils ont parfaitement joué leur rôle en étant le soutien indéfectible même dans les moments compliqués du match. Eux aussi sont partie prenante dans cette victoire. Il est clair maintenant que pour la réception de Médéa, ce sera encore bien plus important et une fois de plus, la rencontre se jouera à guichets fermés. Le retour de l’ambition au club a fait revenir tout le monde au stade et franchement, ça change des dernières années où le club jouait ses matchs à «huis clos» sans être suspendu.
- Z.
Il a sauvé son équipe à la 92e minute
Salhi, un arrêt qui vaut 3 points
Que ce soit Lakroum, Banouh ou encore Bakir, tous se sont trouvés devant une muraille nommée Abdelkader Salhi. La partie n’a pas vraiment été mouvementée pour lui du moment que mis à part quelques opportunités, il n’a pas eu grand-chose à faire. Cependant, garder sa concentration au maximum pendant 90 minutes en est une autre. L’international de la JSK a parfaitement réussi à le faire car à la 92e minute de jeu, Djabou aurait pu égaliser d’une frappe surpuissante mais c’était sans compter sur l’ancien du CRB qui met une main ferme et sort un arrêt extraordinaire sauvant son équipe de l’égalisation. Finalement, ce fut un arrêt qui a coûté trois points et qui a permis à la JSK de quitter Sétif avec trois points de plus dans son escarcelle.
4e clean-sheet de suite pour la JSK
Pour confirmer les excellentes statistiques de Salhi en ce début de saison, il n’y a qu’à voir qu’il n’est allé chercher le cuir dans ses filets qu’à deux reprises seulement en 8 matchs face au MOB et Bel-Abbès. Pour le reste, ce ne sont que des clean-sheet à savoir des matchs sans prendre de buts. Au total, Salhi n’a pas pris de buts durant 6 matches et avant-hier, c’était le 4e match de suite sans prendre de buts, ce qui fait 360 minutes d’invincibilité, série en cours. C’est dire que le portier kabyle est le meilleur actuellement dans son poste et clairement, il mériterait un coup d’œil de la part du sélectionneur national, Djamel Belmadi pour tout ce qu’il est en train de faire car si la JSK est en tête du classement, lui aussi est partie prenante dans la chose.
- Z.
Personne ne s’attendait aux 4 changements
Dumas les a rendus fous
Que dire de ce qu’est en train de faire le technicien français à la tête de la JSK ? Miracle ? Non, on peut appeller ça, du génie, de l’abnégation et excellente gestion du groupe. Il l’a encore prouvé avant-hier à Sétif.
Depuis son arrivée à la tête du club, le coach français a inculqué une nouvelle ère, celle où seul le travail finit par payer. Demandez à Tizi-Bouali, Tafni, Aït-Abdeslam et Oukaci, ils sont les mieux placés pour parler de cela actuellement, eux qui ne jouaient quasiment pas la saison passée.
Personne n’est indispensable, le groupe avant tout
Encore une fois, Franck Dumas a surpris tout son monde en faisant plusieurs changements face à un ogre du championnat. 4 au total avec des têtes qu’on n’attendait peut-être pas. L’exemple le plus édifiant est celui du jeune Belkacemi qui a débuté en tant que titulaire. Des changements auxquels personne ne s’attendait faut-il le souligner car mis à part Tafni, il n’y avait que peu d’informations sur les plans du Français. Résultat, une excellente gestion mais aussi et surtout, la victoire en plus. Aujourd’hui, tout le monde s’incline devant le coach qui ne connaît pas les stars et qui s’en passe volontiers si ça peut faire progresser l’équipe.
Avec des gamins et une masse salariale des plus faibles du championnat…
Mieux, Franck Dumas a prouvé encore une fois qu’il était un très bon coach, peut-être le meilleur du championnat. Meilleur, parce que l’effectif de la JSK est pauvre et la masse salariale est l’une des plus faibles du championnat. Avec des gamins, pour reprendre ses mots, il caracole seule en tête du championnat. Qui aurait parié un 12/12 face au PAC, MCA, CRB et l’ESS ? Personne ! Mais la JSK l’a fait, sans son sa star Boukhanchouche SVP. Que dire de Benaldjia qui a totalement changé avec Dumas, à présent il défend, il est chaque jour à l’heure et ne fais pas de vague…
Salhi, Saâdou, Tizi Bouali, Chetti, et Benkhelifa, ses indiscutables
Généralement, dans chaque équipe, on retrouve des titulaires indiscutables ou ce qu’on appelle l’ossature. Toutefois, à la JSK et pour le moment, seuls 4 joueurs ont joué tous les matchs à savoir Salhi, Saâdou, Chetti, Tizi-Bouali et Benkhelifa. Actuellement, ce sont les hommes de base du coach et ces derniers le lui rendent très bien. Meilleure défense et meilleure attaque et leader du championnat. Autant dire que ça marche à la perfection et le résultat ramené de Sétif n’est qu’une preuve de plus de ce qu’est en train d’apporter l’ancien sélectionneur de la Guinée équatoriale.
Tactiquement, Taoussi n’a pas fait le poids
Autre élément de taille, c’est le fait que le coach n’a fait qu’une bouchée de Rachid Taoussi sur le plan tactique. A aucun moment de la rencontre, on n’a senti que Sétif avait pris l’avantage dans le jeu ou dans n’importe quel domaine. Taoussi a été pris de vitesse et clairement, il n’a pas fait le poids face à son homologue en dépit d’un banc de touche riche comparé à la JSK. D’ailleurs, les changements de Dumas ont asséné le coup de grâce au Marocain puisque ce sont les deux entrants, Oukaci et Benyoucef qui allaient changer le match. Le premier étant au départ de l’action et le second à la conclusion. C’est ce qui rend fou les supporters actuellement, c’est qu’au sein de leur club, personne n’est titulaire et mis à part les 4 cités ci-dessus, personne ne peut se targuer d’avoir un statut d’élément majeur dans le onze et pour le moment ça marche avec ce fauteuil de leader.
- Z.
Le coach part en France
L’entraîneur en chef de l’équipe kabyle, Franck Dumas et ses deux compatriotes, Anikine et Rudolph ont quitté Alger hier matin à destination de la France. Non pas qu’ils soient partis pour passer quelques jours en famille mais plutôt pour une raison professionnelle. Les trois hommes devaient refaire une demande de visa et surtout pour l’obtention d’un permis de travail. Les formalités ont été accomplies le plus normalement du monde.
Il reviendra mercredi matin
Le temps pour que le dossier des trois hommes soit traité, le coach passera quelques jours en France en attendant de recevoir l’appel qu’il attend. D’ailleurs, d’après certaines indiscrétions, il sera de retour à Tizi mercredi au plus tard. En faisant ses démarches, le coach pourra ensuite se concentrer uniquement sur son boulot.
Karouf et Raho dirigeront la reprise
En l’absence de Franck Dumas, c’est Mourad Karouf et Slimane Raho, qui vont prendre les choses en main et dirigent les entraînements jusqu’à ce que le coach revienne de France. Les deux adjoints connaissent très bien la maison et auront pour principale mission de préparer leur groupe pour la réception de Médéa vendredi prochain au stade du 1er-Novembre de Tizi Ouzou.
Les joueurs ont eu 2 jours de repos
Après l’éclatante victoire enregistrée face à la formation de l’Entente, les joueurs ont vu le coach leur accorder deux jours de repos pour les récompenser de leurs efforts consentis au cours de cette rencontre. la reprise quant à elle est prévue demain dimanche au stade du 1er-Novembre avec en ligne de mire une 9e rencontre sans défaite pour les Canaris plus que jamais leaders du championnat et qui ne veulent pas lâcher cette position.
- Z.