Le président du club d’Esso, à savoir le FC Dreams, s’est entendu avec le MCA sur le rachat des papiers de leur meneur de jeu à 170 000 euros. Le club, après avoir longtemps attendu, a relancé les Mouloudéens, il y a quelques jours. Mais comme il n’a pas eu de réponse, le FC Dreams a saisi la FIFA pour toucher son argent.
Quand le Mouloudia d’Alger s’est offert les services d’Esso, le président Almas s’était entendu avec le président du FC Dreams sur 170 000 euros que touchera le club pour le transfert d’Esso. Les deux parties se sont entendues sur l’envoi de la première tranche, de 100 000 euros au mois d’avril, et la dernière de 70 000 euros avant le 15 août. Seulement, le FC Dreams n’a reçu ni la première tranche ni la seconde. Il y a quatre jours, le président du FC Dreams a saisi par courriel la direction du Mouloudia d’Alger pour lui rappeler la dette à payer. Mais comme il n’a reçu aucune réponse, il a décidé de saisir la FIFA pour faire valoir ses droits. Vu la crise financière qui affecte le Doyen, il est difficile de réunir de l’argent. Les Mouloudéens savent qu’une fois que la FIFA se saisit du dossier, il n’y a pas d’autres alternatives que de payer, car dans le cas contraire, le club risque des sanctions. Dans ce sens, personne n’a envie de voir le Mouloudia d’Alger entamer sa nouvelle saison avec de nouveaux problèmes. Le président Brahmia se doit de trouver les solutions à tous ces soucis, car il ne faut pas oublier l’affaire Bensaha, étant donné que les Tunisiens, eux aussi, n’ont pas touché les 80 000 euros. En somme, Almas qui devait envoyer la première tranche n’a pas pu le faire vu les soucis administratifs. Maintenant que le dossier est au niveau de la FIFA, le problème doit être réglé au plus vite et dans les meilleurs délais.
- Z.
Vers la résiliation du contrat avec Puma
Après le scandale du maillot du centenaire, qui a été la goutte de trop, les Mouloudéens ont pris la décision de mettre fin à leur collaboration avec Puma. Ils ont envoyé une correspondance à la direction de Puma pour la mettre au parfum.
Depuis que l’équipementier Puma s’est engagé avec le Mouloudia d’Alger, la situation va de mal en pis. Pour rappel, Puma a livré l’équipement en retard, la qualité laisse à désirer et le nombre est toujours réduit. A chaque fois, les Mouloudéens contestent auprès de la direction de Puma qui ne réagit pas. Le 7 août dernier, ce fut la goutte qui a fait déborder le vase. Les Mouloudéens, qui s’apprêtaient à fêter le centenaire de leur club, attendaient avec impatience le 7 août pour acheter le maillot du centenaire. Mais Puma n’a fait aucun effort en présentant 2 maillots qui ont déplu au point de faire le buzz ; ce qui a poussé l’équipementier à les retirer de sa page Facebook. Le président Brahmia très remonté voulait même saisir la justice contre Puma. Il avait rencontré ses avocats pour entamer la procédure, mais celle-ci est restée au point mort. Les Mouloudéens ont envoyé, selon notre source, une correspondance à la direction de Puma lui demandant de résilier le contrat. Le rendez-vous est fixé pour la semaine prochaine. Les Mouloudéens ne veulent plus entendre parler de Puma. Il faut dire que les derniers équipementiers, comme JOMA, étaient meilleurs. Celui a assuré dans les temps l’équipement et le nombre toujours a été plus que la demande. JOMA a assuré aussi un stage hivernal aux Mouloudéens en Espagne. Ensuite, le MCA s’est lié avec Umbro ; les choses marchaient aussi dans le bon sens, mais avec Puma, dès le début, les problèmes ont fait surface surtout la qualité du produit très bas de gamme. On verra si le contrat sera résilié la semaine prochaine. Affaire à suivre.
- Z.