Exprimant sa solidarité avec le peuple frère palestinien résistant et par respect aux mémoires des vénérables et glorieux martyrs victimes des agressions sionistes sauvages, barbares, abjectes, criminelles, injustes, animales et inhumaines commises dans la bande de GHAZA contre les populations civiles en Palestine occupée, l’Etat algérien et la Fédération algérienne de football avaient décidé le 18 octobre dernier de suspendre toutes les compétitions et les rencontres de football jusqu’à nouvel ordre.
Une première épreuve pour les gestionnaires des deux championnats en activité, à savoir la Ligue 1 Mobilis et la Ligue 2, notamment le directoire qui gère actuellement la LFP après la suspension de celui de Medouar pour les raisons que tout le monde connaît.
Mohamed-Amine Mesloug, désigné par Sadi pour gérer les affaires de la Ligue1 Mobilis, s’est retrouvé face à son premier dossier chaud, il faut dire que le président de la FAF s’était engagé devant les dirigeants de la Ligue1 Mobilis à finir le championnat le 10 juin prochain, une mouture du calendrier définitif avait même été exposée, mais c’était compter sans ce contretemps, qui a pénalisé l’activité sportive. Le peuple a applaudi le geste, idem pour les clubs solidaires avec leurs frères en Palestine, mais vu que ça dure depuis 2 semaines la pression est montée et l’envie de reprendre s’est faite ressentir, c’est dans ce sens qu’on croit savoir que la FAF réfléchit à relancer le championnat, la date des 10-11 novembre prochain aurait été choisie. Sadi qui continue de réunir les présidents des différentes ligues devrait entériner la décision lors de la prochaine réunion du BF, attendue dans les prochains jours. D’ailleurs, un plan va être discuté pour rattraper le retard accusé, des bruits de couloir ont laissé entendre que le BF proposera la programmation de quelques journées durant les fenêtres FIFA pour rectifier le tir et revenir au programme initialement tracé. A noter que nos clubs inscrits dans les différentes compétitions interclubs de la CAF vont bientôt reprendre du service, après la fin de l’African League, et ces derniers souffrent de cet arrêt qui a brisé leur élan. Les répercussions de ce manque de compétition risquent de se faire ressentir dès la reprise, sans oublier les dépenses de nos clubs déjà en faillite, qui se retrouvent face à l’obligation de payer des salaires parfois faramineux à leurs joueurs et entraîneurs sans compétition, la reprise devient une nécessité.
S.M.A