Alors que la subvention de l’APC d’Hussein Dey a été validée par l’Assemblée populaire communale au mois de mai dernier, les 6 milliards de centimes accordés par l’APC d’Hussein Dey sont sur le point de renflouer les caisses du CSA/NAHD.
Alors que la subvention de l’APC d’Hussein Dey a été validée par l’Assemblée populaire communale au mois de mai dernier, les 6 milliards de centimes accordés par l’APC d’Hussein Dey sont sur le point de renflouer les caisses du CSA/NAHD.
Comme rapporté par nos soins dans nos précédentes éditions, la direction du club nahdiste a préparé activement la tenue de son assemblée générale ordinaire avant la fin de ce mois de juin, comme l’exige la réglementation qui régit les sociétés sportives par actions.
« On a fait un très bon travail, qu’on le veuille ou non, le résultat et les joueurs sont là. On a laissé un bon groupe, beaucoup de jeunes sont susceptibles de jouer en séniors la saison prochaine. Le NAHD possède aujourd’hui une équipe jeune qui peut durer quasiment une dizaine d’années. Si l’on prend soins d’eux et qu’on les prenne bien en charge, le NAHD possède déjà une ossature d’avenir. Aujourd’hui, le NAHD a besoin de quoi ? Les gardiens, il y a déjà ce qu’il faut. En défense, il y a aussi pas mal de bons joueurs, tout ce dont le club a besoin, c’est quelques renforts de trois à cinq joueurs au maximum, même si l’effectif est majoritairement composé de jeunes, mais ça fait largement l’affaire. Tout cela fait que le club n’aura pas à dépenser beaucoup d’argent pour recruter, la masse salariale est aujourd’hui basse en fonction des moyens du club. Avec une telle politique, le club évitera les grèves et les problèmes avec les joueurs. Ce qui assurera la pérennité du club.»
« Le NAHD traverse une période de transition, il faut le comprendre et l’accepter »
« Il faut que les supporters du club, les bons supporters, puissent comprendre et accepter cette situation. Le NAHD traverse une période délicate, c’est une période de transition qu’il va falloir bien gérer et ne pas avoir la folie des grandeurs. Si l’on veut passer d’une saison à une autre en partant de rien à vouloir jouer l’accession, désolé, mais il faut vraiment un miracle. A moins que le club ne voie arriver de nouveaux investisseurs. Dans ce cas-là, il est permis de rêver. Mais si la situation actuelle persiste et que les problèmes demeurent, j’ai un conseil à donner à tout le monde : tenez bien à vos acquis, unissez-vous et faites en sorte de bonifier ce qui a été fait cette saison ! Il faut se contenter de recruter quelques joueurs de qualité, des jeunes qui ont joué cette saison en sénior, qu’on a d’ailleurs déjà ciblés et listés avec la direction du club. Ce serait déjà pas mal pour entamer le prochain exercice, sachant que le club est aujourd’hui interdit de recrutement.»
« La saison prochaine sera moins compliquée pour le NAHD »
« La saison prochaine va être plus facile pour ces jeunes qui ont acquis une certaine expérience ; ils ont eu du temps de jeu, joué sous forte pression durant toute la saison dans des conditions assez difficiles. Tout cela va les bonifier et leur permettre d’être meilleurs la saison prochaine. De plus, le NAHD possède de bons joueurs U17, de bons joueurs U18, de très bons joueurs U19. L’avenir du club est déjà là, il n’y a pas à avoir peur pour ce club, il suffit juste de bâtir selon les moyens du club et de ne pas voir grand, alors que le club n’a pas les moyens actuellement.»
« La saison la plus enrichissante de ma carrière »
« Je ne vous cache pas que j’ai été agréablement surpris et content par les marques de sympathie de la part des supporters du NAHD. Je fus vraiment très touché par les supporters nahdistes que je croise au quotidien dans la rue. Le NAHD est un grand club, j’y ai travaillé cette saison. Je peux vous dire que ce fut une saison très enrichissante. J’ai gagné beaucoup de titres durant ma carrière d’entraîneur et de joueur, mais l’expérience que j’ai pu acquérir cette saison au NAHD, je ne peux l’avoir dans aucun autre club. Malgré tous les problèmes qu’on a rencontrés, j’ai juré de ne pas abandonner l’équipe quelles que soient les conditions. Je savais d’ailleurs que si je quittais le club, le NAHD risquait de rétrograder. J’avais juré de ne pas laisser le club, et de le laisser là où je l’ai trouvé, car le NAHD ne mérite pas ça. J’aurais pu gagner deux fois mon salaire dans un autre club, mais c’était une question de nif et de principe. Ça m’a fait mal au cœur de voir le NAHD dans cette situation, c’est un club historique. Pour terminer, je veux lancer un message aux supporters et leur dire qu’ils ne doivent pas se diviser. Unissez-vous pour ce club, faites ce qu’il faut pour aider votre club, vous êtes le premier homme et non pas le 12e ! Je fus vraiment honoré et très content d’avoir travaillé dans ce club, c’était un honneur malgré toutes les difficultés.»
« Il ne faut pas diminuer le mérite de tout un chacun dans cette opération maintien. Je le dis et le redis, au vu de la situation dans laquelle j’avais trouvé l’équipe en début de saison, c’était vraiment un miracle de se maintenir. Et si le NAHD a réussi à se maintenir, c’est tout le monde qui y a contribué, chacun à sa façon, à commencer par le garde matériel Mahmoud qui a tout donné, le staff technique, notamment mes deux adjoints, le staff médical qui a réalisé un travail exceptionnel en retapant parfois des joueurs annoncés quasiment forfaits. Il fallait voir aussi les conditions d’hébergement des joueurs, c’était catastrophique. Parfois, quand j’arrivais, un joueur venait me voir pour me dire qu’il n’allait pas jouer en guise de protestation. Je faisais tout pour lui retaper le moral et l’inviter à revenir sur sa décision. Je n’ai d’ailleurs jamais donné raison aux joueurs, je leur disais toujours qu’il fallait honorer le maillot qu’ils portent et qu’avant tout, il faut sauver l’équipe d’abord ; par la suite, tout le monde dira du bien de tous les joueurs. Il est vrai que la direction nous devait de l’argent, mais c’était le cas de tout le monde, il fallait se battre et oublier l’argent et les problèmes rien que pour sauver le NAHD, et on l’a si bien fait.»
«80% des joueurs, qui ont terminé la saison, ne jouaient pas à mon arrivée»
« Je vais aller dans le détail pour tout vous expliquer. Lorsque je suis venu, le gardien Rouag ne jouait pas, il est devenu par la suite un titulaire indiscutable sur notre échiquier. Lorsque je suis venu, Boukerma ne jouait pas du tout, il est devenu lui aussi une pièce maîtresse. Le jeune Mokrane ne jouait pas non plus, il est devenu un joueur très important dans l’équipe. Chennaf, qui ne jouait pas également, a trouvé sa place de titulaire. Le jeune Chenane était en équipe réserve et jouait au poste de latéral gauche, je l’ai reconverti en ailier ; j’ai fait de lui le 2e meilleur buteur de l’équipe. Si l’on fait donc notre bilan, on va trouver que 80% des joueurs qui ont terminé la saison n'ont pas joué pas en début de saison. Il n’y a qu’à voir la magnifique progression de Mokrane et celle de Mendil, même si elle est arrivée tardivement en raison de son comportement et son refus de jouer en équipe réserve. Je l’ai sanctionné maintes fois pour ça, mais à la fin, il a été très bon et très précieux pour l’équipe. La progression de Boukerma, Chennaf, Chenane et même Berkat qui a été précieux à un poste où l’on n’avait pas de doublure. Tout le monde a vraiment progressé, il y a aussi Benyamina, qu’on le veuille ou pas, a été très précieux en nous sauvant lors de certains matchs importants. Il faut reconnaître que tout le monde a aidé l’équipe du mieux qu’il pouvait grâce au travail et la progression.»
« On a donné la chance au maximum de jeunes »
« Un second groupe s’est toutefois mis en évidence en toute fin de saison, lorsqu’on lui a donné la chance, à l’image de Sadaoui, Bensafi et Oucharef que j’ai moi-même repositionné en pointe de l’attaque. J’ai vu qu’il ne pouvait pas jouer sur les couloirs. C’est un joueur avec de grandes qualités, très bon physiquement et techniquement, un joueur qui aime les espaces et qui peut jouer tant en pointe qu’en position de 9,5. Et ma foi, il a donné entière satisfaction. Je n’oublierai pas les deux gardiens Hamidane et Khermouche qui ont montré de grandes qualités. On leur a donné un match chacun, je sais que ce n’est pas suffisant, mais c’était difficile de faire tourner un peu plus lorsqu’on sait qu’on jouait notre survie jusqu’à la fin de la saison pratiquement. En somme, il y a des joueurs qui ont progressé énormément, d’autres sont encore en progression. Ce dernier groupe de jeunes est en train de pointer le bout du nez. Ils auront eux aussi leur mot à dire la saison prochaine pour peu qu’ils travaillent davantage et se donnent à fond aux entraînements.»
« Dans l’état actuel des choses, ce n’est pas raisonnable de parler d’accession »
« Il est important aujourd’hui de ne pas chambouler l’équipe. Les gens qui vont venir et la prendre en main, que ce soit l’actuelle direction ou une autre, doivent impérativement prôner la stabilité. J’ai été surpris de voir les gens parler d’accession, je dis pourquoi pas. Mais soyons raisonnables et logiques, il faut un minimum de moyens. Lorsque tu n’as pas le minimum de moyens, les moindres assises, tu ne peux pas être ambitieux. C’est d’ailleurs la cause de la relégation du NAHD en Ligue 2. Si on parle d’accession, le NAHD n’a pas actuellement les moyens. Pour preuve, le club est interdit de recrutement. Sur le plan financier, le club a beaucoup de dettes ; même avec des rentrées d’argent, il faut d’abord épurer les dettes pour penser à l’avenir. Je ne peux concevoir qu’un club endetté et interdit de recrutement puisse aspirer à jouer l’accession, c’est totalement insensé. Je ne sais pas comment et pourquoi les gens osent parler d’accession, c’est insensé à l’heure actuelle.»
« Le salut du NAHD ne viendra que d’une société nationale»
« Le salut du NAHD aujourd’hui ne viendra que de l’arrivée d’une société nationale, qui le prendra en charge en payant les dettes et en prenant sur elle le passif et l’actif, pour redémarrer la machine sur de très bonnes bases. Bouderouaia a fait beaucoup pour le NAHD avec son propre argent, mais il ne peut pas à lui seul faire face à la situation actuelle, c’est impossible. Si une société nationale est affiliée au NAHD, le club peut rapidement retrouver des ambitions. Mais dans l’état actuel des choses, il faut être fou pour parler d’accession »
A suivre
15 juin 1947 - 15 juin 2023, le Nasria a fêté jeudi dernier son 76e anniversaire. Alors que les années précédentes, l’anniversaire du club s’était passé dans l’indifférence totale, à l’exception de quelques petites actions des Ultras Dey Boys, cette année, une grande fête a été organisée par les Ultras nahdistes.
Après avoir entamé depuis Jeudi dernier le bilan individuel, en commençant d’abord par les gardiens de but puis les défenseurs et enfin les milieux de terrain, aujourd’hui, dans notre dernière partie d’analyse individuelle de la saison, on évoquera le rendement des attaquants. Ils étaient d’ailleurs nombreux à porter le maillot nahdiste, mais très peu nombreux à donner satisfaction. Analyse.
« Ce fut une saison très, très compliquée, des conditions très difficiles par rapport à la relégation de l’équipe la saison dernière en Ligue 2, et les problèmes administratifs rencontrés par la direction. Je pense que depuis sa création, ce grand club n'a jamais eu des problèmes pareils. Dans un autre club, si j’arrive et que je trouve le bus du club saisi, je repars chez moi tranquillement. Dans un autre club, si j’arrive à l’entraînement et je trouve des joueurs d’un niveau très, très bas par rapport à la grandeur d’un club comme le NAHD, je prends mes valises et je rentre chez moi. C’est une réalité qu’il a fallu affronter, mais on y a fait face. Alors que tout le monde a prédit, après quelques journées de championnat, la relégation du Nasria, mais on s’est battu pour sauver le club, notamment lors de la phase retour. Et encore, on n’a pas fait de préparation lors de la trêve hivernale, on a encore vécu des problèmes avec la démission du président, mon propre départ. Je savais que sans Bouderouaia, le NAHD n’avait aucune chance de survivre. C’est grâce à lui que le club est resté debout, et ça fait vraiment plaisir d’avoir travaillé avec lui. Je ne vous cache pas que je n’ai pas trouvé le moindre signe qui dit que je suis dans un si grand club comme le NAHD.»
« Notre phase aller a été catastrophique »
« Disons que la phase aller a été tout simplement catastrophique. Je me suis retrouvé avec 35 joueurs à l’entraînement, mais aucune cohérence au niveau de l’effectif. Au poste d’avant-centre par exemple, je n’avais qu’un seul joueur, pas la moindre doublure. Celui qui jouait était tout juste moyen. Les difficultés, il y en avait à la pelle. Mais petit à petit, on a su recomposer le groupe. J’ai donné la chance à quelques jeunes, certains ont donné satisfaction en progressant énormément, alors que d'autres, qui se sont donnés à fond, ont donné le maximum pour aider l’équipe à se maintenir. Même si, pour certains, ils avaient un niveau tout juste moyen, ils sont à féliciter pour les efforts qu’ils ont fournis.»
« On a retenu les leçons de la phase aller »
« Pour la phase retour, je dirais qu’on a retenu beaucoup de leçons, on a fait notre constat, on a éliminé un certain nombre de joueurs qui n’ont pas donné satisfaction et dont le rendement est faible. On est arrivé jusqu’à libérer 10 joueurs pour nous retrouver avec 4 joueurs séniors seulement. Ça a bien fonctionné, on a réussi de très bons résultats lors de cette phase retour. Cela nous a permis de nous maintenir en Ligue 2 grâce aux efforts de tout le monde.»
« On a bossé mentalement, physiquement et tactiquement »
« On a beaucoup travaillé lors de la phase retour ; pas autant qu’il faut, mais les gars ont vraiment bossé. Le plus gros du travail était sur le plan mental, j’ai eu à bousculer mes joueurs jusqu’au bout. On n’avait pas le choix, l’effectif était très limité, il fallait donc allumer les joueurs, les motiver. Je ne cessais pas de parler à mes poulains, matin et soir, je les pousse à faire le maximum pour le club. Je leur ai inculqué la culture de la gagne, en leur faisant savoir qu’ils sont capables de faire bouger même les meilleurs, qu’ils endossent un maillot lourd comme celui du NAHD. C’est dire qu’on a beaucoup travaillé mentalement. On a aussi bossé sur nos faiblesses de la première phase du championnat, où l’on a encaissé beaucoup de buts sur coups de pied arrêtés à des moments-clés. On a exigé des joueurs d’être plus rigoureux, tactiquement on a également beaucoup bossé. Enfin, physiquement, alors qu’on pouvait à peine terminer une mi-temps lors de la phase aller, on était conquérants lors de la seconde moitié de saison. »
« Notre phase retour a été exemplaire »
« On a travaillé sur tous ces points, les joueurs ont été réceptifs et avaient bien du répondant. Le résultat vous l’avez bien vu. Je pense qu’on a réussi une phase retour exemplaire avec deux défaites seulement, on n’a d’ailleurs fait qu’un seul mauvais match face à Boufarik qu’on a perdu stupidement. On a également connu la défaite à Mostaganem, mais ce jour-là, on avait clairement réalisé un bon match, c’était juste impossible de battre l’ESM pour des raisons extra-sportives. Sinon, nous avons réalisé un parcours exemplaire en tenant la dragée haute aux meilleures formations de la Ligue 2.»
« Khedis s’est trompé dans le choix des joueurs, mais pas de l’entraîneur »
«Si le NAHD a réussi à se maintenir, c’est grâce aux efforts de tout le monde, les membres de mon staff, les joueurs, le président Bouderouaia qui a tout donné et qui nous a mis dans les meilleures conditions. Je n’oublierai pas Cherif Abdeslam qui s’est sacrifié lui aussi et qui a réalisé le miracle en maintenant le club en vie au moment où tout le monde était parti. Enfin, je voudrais aussi parler de Sid Ahmed Khedis, alors que des personnes ont voulu me raconter des choses le concernant. Je n’ai jamais critiqué Khedis, bien au contraire, je lui en suis reconnaissant, c’est lui qui m’a engagé au NAHD. Quoi que l’on dise, Khedis s’est peut-être trompé sur le choix de certains joueurs, mais il a fait le bon choix concernant l’entraîneur. Je n’ai plus de contact avec lui, mais je dois reconnaître que c’est grâce à lui que j’ai atterri au NAHD. Il a recruté beaucoup de joueurs, peut-être que c’est son choix, peut-être que ce sont les choix de l’ancien staff technique, je ne suis pas là pour blâmer personne. Je le dis encore une fois, il a peut-être fait de mauvais calculs concernant le recrutement, mais pour l’entraîneur, disons-le clairement, il a fait le bon choix.»
« Je remercie les autorités locales husseindéennes »
« Je tiens à rendre un hommage à M. Bouderouaia, le seul homme qui était au chevet de l’équipe et qui ne cessait de la motiver avec ses propres moyens financiers ; ce qu’il a fait pour le NAHD est vraiment énorme. Je remercie infiniment les autorités locales husseindéennes, à savoir les deux P/APC, qui étaient toujours à nos côtés. Le maire d’Hussein Dey a été constamment à nos côtés ; à chaque fois, il se réunit avec les joueurs pour les motiver. Il était omniprésent à nos côtés, et ça a vraiment pesé. Je n’oublierai pas les staffs médical et administratif, le garde matériel et tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à ce maintien qui n’a pas été facile à arracher »
A suivre
Alors que la saison 2022/2023 vient tout juste de s’achever, la situation du club n’est toujours pas claire, d’autant plus que le directeur général Sofiane Bouderouaia songe sérieusement à démissionner en raison de la situation de non-conformité de la SSPA/NAHD. Ce qui a poussé certains inconditionnels du Nasria à rencontrer le président Djamel Rekik, qui est la seule personne susceptible de sauver ce qui peut encore l’être.
Après avoir entamé, depuis jeudi dernier, le bilan individuel, en s’attardant sur les gardiens de but puis les défenseurs, aujourd’hui, on se penchera sur les nombreux milieux de terrain qui ont joué cette saison sous les couleurs du Nasria. Certains ont brillé, d’autres beaucoup moins. Analyse.
Alors que la saison 2022/2023 vient tout juste de s’achever, du côté du Nasria, on s’attelle à se conformer à la réglementation régissant les sociétés sportives par actions, et qui impose la tenue des assemblées générales ordinaires avant la date butoir du 30 juin.