Comme un malheur n’arrive jamais seul, le président sortant de la FAF Mohamed Raouraoua est en train de perdre ses postes de responsabilité dans les plus hautes instances du football. Raouraoua, qui était hier en course pour le poste de membre exécutif de la CAF, a reçu une nouvelle raclée.

Après le recours déposé par Kheireddine Zetchi candidat à la présence de la FAF qui a demandé le maintien de la date initiale du 20 mars pour l’assemblée générale élective de la FAF, demandant de ce fait d’annuler le report récemment décidé par la commission électorale, en rappelant la souveraineté de l’AG qui a validé les dates émises par le BF, la commission des recours qui s’est réunie hier mercredi a étudié le requête qu’elle a trouvée recevable, et a décidé de ce fait de valider la date du 20 mars, l’AGE aura donc lieu à cette date-là à partir de 10h 00 à l’amphithéâtre Omar Kezzal du Centre technique national de Sidi Moussa..

 

La commission électorale s’est réunie sans la présence d’Ali Baâmeur qui avait signé en personne le PV de la réunion reportant l’assemblée générale élective le 13 mars dernier. Voulant avoir son sentiment suite à la décision des autres membres confirmant le maintien des élections pour le 20 mars, le président de la Ligue régionale d’Ouargla n’a pas mâché ses mots. Entretien.

Jusqu’au moment où nous mettions sous presse hier, Ali Baâmeur, le président de la commission électorale, campait toujours sur sa position. Pour lui, l’AGE n’aura pas lieu ce 20 mars et ce malgré l’insistance du MJS. En attendant un nouveau revirement de situation, on a décidé de mettre toute la lumière sur la série d’infractions aux règlements commises par les differentes structures depuis le début de cette course à la présidence de la FAF.