Après 2 semaines aux Emirats, l’équipe nationales des locaux termine aujourd’hui son stage, et ce, en affrontant la formation du Koweït dans un match amical de préparation qui aura lieu au Dubaï Police Stadium à 16h00.
Après 2 semaines aux Emirats, l’équipe nationales des locaux termine aujourd’hui son stage, et ce, en affrontant la formation du Koweït dans un match amical de préparation qui aura lieu au Dubaï Police Stadium à 16h00.
Comme on le sait, la FAF croit toujours à un miracle et une qualification de la sélection algérienne U23 au dernier tour qualificatif à la CAN de la catégorie.
Grande star de l’EN dans les années 80, l’ancien mondialiste en 82 et 86, au pied gauche magique, estime que l’EN actuelle a besoin de sérénité et qu’elle regorge de joueurs de talent pour rebondir et reprendre son leadership sur la scène continentale.
L’année 2022 a pris fin pour la sélection nationale, avec elle beaucoup de mauvais souvenirs pour les joueurs, le staff et surtout pour les supporters, qui vivent ces jours-ci des moments difficiles en l’absence de la sélection en Coupe du monde au Qatar.
Poursuivant son cycle de préparation en vue des prochaines échéances, notamment la reprise des éliminatoires de la CAN 2024, la sélection nationale a livré deux rencontres amicales.
L’attaquant, Karim Aribi a rejoint le groupe de l’EN des locaux qui se trouve aux Emirats Arabes Unis pour y effectuer son stage de préparation. Le joueur du CRB a été titularisé lors de la récente sortie amicale des Verts face au Mali, avant de suivre le match face à la Suède depuis le banc des remplaçants : «La délégation algérienne, emmenée par M. Abdelhak KHEBOUZ, membre du bureau fédéral, a pris ses quartiers à l’hôtel Mövenpick Hôtel &ApartmentsBur Dubaï, et a été rejoint dimanche 20 novembre par Karim ARIBI, qui était avec la sélection nationale A depuis Malmö, via Paris.» lit-on sur le site de la FAF. Aribi participera donc au prochain match amical des hommes de Bougherra face au Koweït vendredi prochain.
Après le match en Suède, Djamel Belmadi s’est présenté en conférence de presse, et une des questions qui lui ont été posées concernait les renforts attendus en mars, parmi eux celui du latéral gauche de Wolverhampton Rayan Aït-Nouri. Belmadi n’a pas caché son admiration pour ce joueur, qui a longtemps temporisé avant de dire oui à l’EN et de joindre le geste à la parole. «Ce genre de profils de joueurs peuvent être très intéressants, Aït-Nouri, je le vois un peu comme le profil d’Atal, un latéral très offensif, qui apporte des solutions et du punch, et si on a un à droite et un à gauche… Je ne dis pas que ça sera aux dépens de Rami, qui est un joueur assez complet, mais c’est vrai qu’Aït-Nouri a cette capacité à vite se projeter sur son couloir, et rentrer à l’intérieur, il peut prendre l’extérieur et mettre des centres, oui ce sont des joueurs intéressants, voilà les éléments de progression entre autres. » Les propos de Belmadi sont plus qu’élogieux, et reflètent son satisfecit d’avoir décroché ce gros lot, à savoir le OK définitif de venir en sélection, au point où le coach s’imagine déjà avec Aït-Nouri et Atal sur les deux côtés de la défense de la sélection, de quoi donner des frayeurs à n’importe quel adversaire et n’importe quelle défense à l’avenir.
Les propos de Belmadi visent aussi Bensebaïni. D’ailleurs, durant son speech, le coach national s’est rendu compte un peu en retard qu’il était en train de condamner son latéral gauche actuel sans le savoir, et le hasard des choses (ou pas) c’est que cela a eu lieu le jour de l’expulsion de Bensebaïni pour deux fautes inutiles commises par le joueur du Borussia et qui ont coûté une défaite amère à la sélection. Alors une question se pose : Belmadi peut-il réellement se passer de Bensebaïni pour lancer Aït-Nouri ? Tout est possible, surtout que ces derniers mois, Bensebaïni est devenu un peu trop nerveux sur le terrain, en dépit des avertissements du staff, son attitude samedi à Malmö n’était pas la première, souvenez-vous du match du 25 mars dernier à Japoma, lorsqu’il avait pris un carton qui lui a coûté une absence fatale à Blida, ce cumul d’erreurs pousse le staff à penser à l’avenir, l’arrivée d’Aït-Nouri était au programme, et Belmadi savait que seul cet élément pouvait inquiéter l’enfant de Constantine dans son royaume, les déclarations de samedi soir ne font qu’accroître la pression sur ce dernier, Belmadi qui a d’autres cartes en main dans ce même poste pourrait même penser à un repositionnement de Bensebaïni dans son poste de prédilection, à savoir dans l’axe, dans le cadre du renforcement inévitable de ce poste, attendons pour voir.
Le match de samedi passé contre la Suède a montré les limites de l’EN, notamment sur le plan défensif. Le sélectionneur national Djamel Belmadi, qui dit avoir préparé un plan infaillible pour contrer les Suédois, a vu son plan s’effondrer après l’expulsion de Bensebaïni.
Habitués à des exploits et victoires de leur sélection nationale, qui a dominé le continent africain pendant trois ans, les Algériens n’en finissent pas de déchanter depuis la grande déception de l’élimination en coupe du monde.
Le début de match des Verts a été assez plaisant, un jeu plutôt équilibré et une présence de l’EN dans le jeu, contrairement au dernier match contre le Mali.