La situation est très compliquée au sein de l’USM Alger, un club qui fait pourtant miroiter une stabilité qui fait envier tous les clubs algériens.
La situation est très compliquée au sein de l’USM Alger, un club qui fait pourtant miroiter une stabilité qui fait envier tous les clubs algériens.
Il y a un peu plus d’un mois, le Chabab de Belouizdad rendait visite au DRB Tadjenanet pour le compte des 32es de finale de la Coupe d’Algérie. Personne, ce jour-là, ne donnait cher à la bande d’Amrani au stade Smaïn-Lahoua.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la victoire des Sétifiens, mardi, face à l’USMA, en coupe d’Algérie, a fait beaucoup de bien au groupe.
Le MOB, qui a raté sa saison, devra lutter désormais pour sa survie en Ligue 1 Mobilis et cela passe par un bon résultat face au CSC.
Les trois dernières victoires réalisées face à la JSS, le MOB et l’USMBA par Hamroune et ses coéquipiers ont fait beaucoup de bien à l'équipe phare du Djurdjura.
Le directeur général de l’USMA, Abdelhakim Serrar, aura passé une sale soirée dans sa ville après l’élimination des Rouge et Noir face à l’ESS. Il a passé une nuit blanche à réfléchir à ce qui a fait que l’équipe algéroise soit en manque d’inspiration dans les grands rendez-vous.
Après avoir beaucoup travaillé sur les réglages tactiques, Abdelkader Amrani a consacré une partie de la préparation du match de demain au volet psychologique.
L’Entente de Sétif s’est donné une bonne bouffée d’air en s’imposant mardi devant l’USMA au terme d’un match disputé de bout en bout.
La défaite de vendredi dernier a laissé d’énormes séquelles au sein du groupe béjaoui où on sent une grande pression, que ce soit au niveau des dirigeants, du staff technique ou encore des joueurs.
Le président Chérif Mellal avoue que la sanction du huis clos infligée à son équipe par la commission de discipline de la Ligue de football professionnel ne fera que compliquer la tâche de son équipe face à l’ASAM, un adversaire qui joue sa survie en Ligue 1 Mobilis.