Alors que, lundi dernier, José Anigo a été annoncé nouvel entraîneur du MCA, la direction du Doyen, qui a subi une grosse pression des fans qui sont contre la venue de l’ex-Marseillais, a décidé d’abandonner cette piste. Donc, pas d’Anigo au MCA.
Lundi dernier, Anigo a signé par email un contrat de 18 mois, pour un salaire de 15.000 euros, avec le MCA. Son manager a même négocié le salaire de soetten staff. L’ex-Marseillais a même déclaré qu’il allait récupérer son visa, avant de venir à Alger pour prendre les rênes de la barre technique. Mais, dans la matinée d’hier, le président Almas a décidé d’abandonner cette piste. Il faut dire qu’une fois le nom d’Anigo a été lié au MCA, les réseaux sociaux ont explosé. Les Chnaoua ont manifesté leur colère contre c décision qui n’a pas été appréciée. Le président Almas a avoué à ses proches, dans la matinée d’hier, qu’il n’était pas au courant du CV de José Anigo, donc, il a décidé d’écarter cette piste. Heureusement que les Mouloudéens, de leur côté, n’ont pas signé, ni envoyé le contrat au concerné. Aurement, ils auraient été contraints de payer les indemnités à Anigo sans même venir à Alger. Une fois avoir annoncé l’abandon de cette piste, le nom de Zekri est revenu en force dans la maison du Doyen. Mais avant même que le président ne le confirme, il a été convoqué d’urgence au QG de la Sonatrach. En somme, pour les fans du Doyen, la direction n’est pas à la hauteur de ce grand club qui doit être géré par des gens compétents capables de faire de meilleurs choix pour ce grand club qui sombre dans la tourmente. Tous les amoureux du Doyen doivent s’unir pour l’aider à sortir la tête de l’eau.
- Z.
Amrani à ses joueurs :
«Assurez la qualif, moi, je pars, c’est vous qui allez affronter le public»
Dans la matinée d’hier, l’entraîneur en chef du Mouloudia d’Alger, Abdelkader Amrani, a sensibilisé ses joueurs, en leur rappelant surtout qu’ils sont à un point des quarts.
Sans trop s’étaler dans sa causette avant l’entraînement de la reprise, il a tout de même tenu à faire réagir les camarades de Belkhir. Abdelkader Amrani, qui veut réussir son dernier match, a déclaré à ses joueurs hier : «Il faut préparer la rencontre de samedi avec sérieux et rigueur, car vous n’avez pas droit à l’erreur ce jour-là. Assurez la qualification. Moi, je pars, c’est vous qui allez affronter votre public. Alors, faites ce qu’il faut pour passer au prochain tour !» Les Vert et Rouge savent qu’ils n’ont plus droit à l’erreur, car à un point des quarts, il faut donner pour réussir le pari. Mais vu ce qui se passe actuellement dans la maison du Doyen, rien ne donne envie de croire à des jours meilleurs. Hachoud et consorts doivent laisser tous les problèmes de côté et se concentrer juste sur ce point à arracher sur les terres tunisiennes samedi. Une mission difficile, mais pas impossible. Samedi, c’est le match des joueurs qui doivent montrer à tout le monde que même dans les moments les plus difficiles, le Doyen ne baisse pas les bras ; au contraire, il renaît de ses cendres. Les Mouloudéens doivent s’unir pour surmonter cette grosse crise qui frappe de plein fouet leur club qui veut réussir une belle saison et célébrer son centenaire avec les honneurs.
- Z.