Bien qu’il ait saisi la Chambre de résolution des litiges, le président Brahmia est sûr de gagner la bataille contre Bourdim. Il a préparé un dossier en béton pour faire valoir les droits du Mouloudia. Le joueur n’a plus donné de signe de vie depuis la fin de la saison. Brahmia lui exige 1,7 milliard pour le libérer.

Comme tout le monde le sait, Bourdim avait décidé de mettre fin à sa collaboration avec le MCA. Après en avoir discuté avec le président Brahmia, celui-ci lui a fait savoir qu’il n’est pas contre son départ, mais il n’ira pas gratuitement. Soit, il ramène un club pour négocier son transfert, soit il paye de sa poche 1,7 milliard, comme c’est écrit noir sur blanc dans le cas où le joueur manifesterait le vœu de partir. Dernièrement, le CRB voulait l’avoir, mais les négociations avec les Belouizdadis n’ont pas abouti, car le Chabab lui a fait comprendre qu’il ne rachètera pas sa lettre de libération. Bourdim a donc saisi la CRL pour récupérer ses papiers. Entre-temps, la direction du MCA a préparé tout un dossier pour se défendre. Le MCA ne veut pas le libérer gratuitement ni le retenir, car Brahmia ne veut plus de lui. Il lui a envoyé une correspondance le sommant de s’entraîner avec les espoirs et chaque retard ou absence constaté sera payé au prix fort. C’est d’ailleurs le même cas que Harrag. Bourdim doit trouver une solution, car Brahmia n’a pas l’intention de le laisser partir gratuitement et ses absences répétées avec les espoirs ne font que compliquer sa situation, car en plus de ne pas être libéré, ni de reprendre avec les seniors, chacune de ses absences est constatée par un huissier de justice. Le mercato tire à sa fin, mais l’affaire Bourdim n’est toujours pas résolue.

1. Z.

Après que le MCA a payé l’ESHRA

Le centre lui a offert des créneaux d’entraînement

Le président Brahmia a dû verser plus de 2,5 milliards à l’ESHRA pour s’acquitter de ses dettes. D’ailleurs, c’est pour cette raison qu’il a décidé de quitte l’ESHRA pour travailler au 5-Juillet, précisément à Hadjout. Cependant, ce terrain en gazon naturel nécessite quelque temps de repos. Les Mouloudéens se sont donc mis à la recherche de terrains d’entraînement. Par ailleurs, le MCA a tenu ses engagements en payant leur ardoise détenue par l’ESHRA. Ce qui a encouragé les responsables de cet établissement à offrir des créneaux gratuits aux Vert et Rouge, dans le cadre de la préparation de la saison prochaine.

1. Z.

Après avoir réglé les dettes de Holiday Inn, il reste Sveltess, l’ISTS et l’OCO

A son arrivée, le président du MCA Amar Brahmia a trouvé beaucoup de dettes qui remontent à 7 ans. Prenant le taureau par les cornes, il s’est attaqué à ce problème en payant d’abord l’ESHRA et l’hôtel Holiday Inn. Il reste à payer à l’hôtel Sveltess, l’ISTS et l’OCO. Le président est conscient que le chemin est long pour régler tout le monde, car des dettes de 7 ans ne peuvent pas s’effacer en un jour, mais il fait tout pour régler tout le monde afin que le MCA ne soit plus endetté.

1. Z.