Les cadres de l’équipe Haithem Loucif, Oussama Chita, Brahim Benzaza et Abderrahmane Meziane ont été invités par la direction pour négocier un nouveau contrat. Mais pour ce premier round, les négociations n’ont pas abouti.
A 10 jours du baisser de rideau sur la saison footballistique 2022/2023, les responsables de l’USMA se sont penchés sur le dossier des fins de contrat. Certes, 12 joueurs sont libres de tout engagement, mais ceux qui font partie des plans de l’entraîneur Abdelhak Benchikha auront droit à un nouveau contrat. Logiquement, les responsables usmistes commencent par les cadres de l’équipe. Alors qu’Aïmen Mahious aurait décidé de quitter l’USMA, les négociations ont été engagées avec Haithem Loucif, Oussama Chita, Brahim Benzaza et Abderrahmane Meziane. Pour ce premier round des négociations, aucun accord n’a été trouvé avec les fins de contrat concernant notamment l’aspect financier.
La direction a plafonné les salaires à 220 millions/mois
Selon notre source, la direction de l’USMA a plafonné les salaires à 220 millions de centimes par mois. C’est d’ailleurs ce salaire qui a été proposé aux cadres pour rempiler, mais qui semble loin de leurs prétentions, notamment ceux qui ont le statut d’international. Notre source a également rapprté que la direction usmiste ne peut pas octroyer un salaire supérieur à 220 millions par mois, cela dépendra du propriétaire du club, le groupe Serport. Toutefois, si la société étatique des services portuaires débloque plus d’argent, les responsables usmistes répondront favorablement aux prétentions salariales des fins de contrat.
Benchikha met la pression sur la direction
Selon toujours notre source, l’entraîneur Abdelhak Benchikha veut à tout prix garder les 4 cadres en fin de contrat parce qu’ils font partie de ses plans, mais aussi, il est important de garder l’ossature de l’équipe en prévision du prochain exercice, dans lequel l’USMA défendra son titre africain. Un deuxième round de négociations est prévu entre la direction et les fins de contrat dans les jours à venir, en espérant aboutir à un accord. Affaire à suivre.
- S.