Le match Algérie-Nigeria restera certainement gravé à jamais dans la mémoire du défenseur latéral gauche de l’ESS, Chemseddine Nessakh.
Le match Algérie-Nigeria restera certainement gravé à jamais dans la mémoire du défenseur latéral gauche de l’ESS, Chemseddine Nessakh.
Le sélectionneur national s’est présenté devant la presse après la fin de la rencontre et a répondu aux différentes questions. Il n’a pas raté l’occasion de remercier les joueurs pour leur rendement et insiste sur le grand travail qui l’attend. Cependant, il se veut optimiste pour la suite, à commencer par le match de mardi face à la Centrafrique.
Le milieu international algérien, Yacine Brahimi, s’est exprimé hier après la rencontre face au Nigeria sur la prestation de l’équipe nationale et surtout sur les prochaines échéances qui attendent le groupe.
La sélection algérienne s’est contentée du nul hier à Constantine face au Nigeria dans le dernier match des éliminatoires de la Coupe du monde 2018.
Hier, en début de soirée, juste après que l’entraîneur national Rabah Madjer a dirigé une séance d’entraînement au stade Hamlaoui, il a donné un point de presse.
Faouzi Chaouchi fut la grande surprise de Rabah Madjer la semaine dernière au moment où le coach national avait dévoilé sa liste des 23 pour les deux matchs face au Nigeria ce soir à 20h30 au stade Chahid Hamlaoui de Constantine, et ce mardi contre la République Centrafricaine.
L’équipe nationale a foulé hier une nouvelle fois le gazon du stade Chahid Hamlaoui, une nouvelle fois, mais la dernière dans le cadre d’un entraînement.
Le milieu de terrain international algérien Nabil Bentale est forfait pour les matches face au Nigeria et à la République centrafricaine. Arrivé lundi passé au Centre technique de Sidi-Moussa alors qu’il sortait de deux semaines de convalescence pour soigner des douleurs pubiennes, il a été ménagé durant les deux premiers jours, mais après la séance d’entraînement de mercredi soir, il a ressenti des douleurs vives. Après avoir été examiné par le médecin de la sélection nationale, Dr Ali Yekdah, il a été déclaré inapte pour les deux matches. Le sélectionneur national, M. Rabah Madjer, l’a libéré pour qu’il aille se soigner dans son club, le FC Schalke 04
Carl Medjani était le plus bavard lors de la conférence de presse animée par Bounedjah, Arous et lui. Fidèle à ses habitudes, il a analysé parfaitement la situation actuelle de l’EN, il nous apprend qu’il a décidé de continuer son aventure avec les Verts jusqu’à la prochaine CAN, des réponses franches à des questions qui n’ont pas toujours été faciles, Suivons-le.
Hier, au Centre technique national de Sidi Moussa, Rabah Madjer a animé sa deuxième conférence de presse, et cela depuis qu’il a pris les commandes de la sélection nationale il y a un peu plus de deux semaines maintenant.
Cette conférence de presse coïncide avec le dernier match comptant pour les éliminatoires de la Coupe du monde 2018 qui aura lieu au mois de juin prochain en Russie.
Une rencontre ce vendredi face au Nigeria sans enjeu donc, du moment que l’EN est éliminée de la course pour la Coupe du monde et que le Nigeria a assuré sa qualification face à la Zambie le mois dernier.
La semaine dernière, le coach national avait rendu publique sa première liste des 23 joueurs convoqués, une liste comportant pas mal de surprises dont la mise à l’écart du capitaine Raïs Mbolhi et Sofiane Feghouli.
Cette conférence de presse était donc l’occasion pour les médias de revenir sur cette liste, mais aussi ce match face au nigérians certes sans enjeu sportif, mais qui demeure important notamment sur le plus moral après les trois dernières défaites concédées par les Verts.
«Le cas Mbolhi est toujours contesté, quelle que soit la décision»
Et comme on pouvait l’imaginer, la première interrogation concernait la non-convocation de Mbolhi, gardien numéro de l’EN durant ces dernières années mais surtout le capitaine choisi par ses paires sous l’ère Lucas Alcaraz. «On a tendance à toujours parler des mêmes joueurs. J’aurais souhaité qu’on me parle aussi d’Ounas, de Ghezzal et d’autres éléments qui ne sont pas avec nous. Il faut que vous sachiez que je n’ai pas écarté de façon définitive Raïs Mbolhi. Personnellement j’ai beaucoup de respect pour les joueurs qui ont donné à cette équipe nationale, tous comme ils sont. Ces derniers se sont toujours montrés disponibles pour venir défendre les couleurs de notre pays, et donc on se doit de les respecter. Maintenant et pour ce stage, ils ne sont pas avec nous, il y a un choix qui a été fait par le staff technique national et il faut le respecter. Il y avait aussi urgence, car nous avions ce match face au Nigeria et nous ne nous disposions pas de beaucoup de temps pour établir cette liste», dira Rabah Madjer avant de poursuivre : «Je le dis encore une fois, il n’y a pas d’affaire Mbolhi. Ramener le capitaine de l’équipe nationale et le mettre sur le banc des remplaçants est une insulte à son égard. Donc, afin de lui éviter ce désagrément, j’ai tout simplement préféré ne pas le convoquer, le laissant se consacrer à son travail en club. Ça lui permettra aussi de régler sa situation en club en espérant qu’il retrouvera du temps de jeu. Après et lors des prochains stages, il est tout à fait possible que je lui fasse encore appel, rien n’est exclu. Permettez-moi aussi de rajouter un détail. A un moment donné, beaucoup de médias critiquaient aussi les précédentes convocations de Mbolhi alors qu’il ne jouait pas. Maintenant qu’il n’est pas dans la liste, on nous fait le procès inverse…», a tenu à affirmer Rabah Madjer.
«Le grand chantier, ça sera après la RCA»
Pour Rabah Madjer, cette première liste des 23 a été faite dans l’urgence, car le staff technique national devait envoyer les convocations 3 jours seulement après sa nomination à la tête de l’équipe nationale. Pour le coach des Verts donc, le vrai travail de prospection et le grand chantier prendra véritablement effet après la rencontre amicale de ce mardi face à la République centrafricaine. «Comme je l’ai dit et je le répète encore aujourd’hui (NDLR : conférence de presse animée hier matin), notre grand chantier sera véritablement entamé après ce stage, c’est-à-dire après la rencontre face à la République centrafricaine. J’ai eu une discussion avec mes assistants que je préfère appeler mes amis, à savoir Meziane Ighil et Djamel Menad, et ils vont se déplacer dans les stades afin d’essayer de trouver l’oiseau rare, un travail pas facile, car pas évident de toujours trouver des joueurs qui peuvent répondre au profil qu’on recherche. Notre philosophie n’est pas de convoquer seulement un joueur qui sait jouer au ballon. Même moi avec un peu d’entraînement je pourrai rentrer sur le terrain et jouer au ballon…», ironise Madjer.
«Voilà le profil du joueur que je veux»
Il explique néanmoins le profil du joueur sur lequel il veut bâtir cette équipe nationale. «Vous savez, il n’y a pas beaucoup d’adversaires qui peuvent nous battre chez nous à domicile. La preuve, c’est que depuis 2008, nous n’avions pas perdu la moindre rencontre en Algérie. Et je suis certain que si nous devions rejouer ce match face à la Zambie un million de fois, jamais ils nous battraient, car le problème était dans la tête de nos joueurs et pas ailleurs.
Du moment que chez nous on réussit à dominer nos adversaires, il faut donc trouver des solutions pour les matchs que nous aurons à jouer en Afrique. D’ailleurs, nos amis tunisiens l’ont très bien compris. Le joueur, il faut qu’il ait de la présence, de la personnalité, mais aussi du gabarit. En clair, il faut qu’il impressionne sur le terrain par sa présence. Personnellement, je ne convoquerai jamais un élément juste pour le plaisir de le ramener. C’est bon, le téléphone ne sonne plus…Et même s’il venait à sonner, je ne répondrais pas», dira l’entraîneur national.
«L’EN est entre de bonnes mains»
Depuis lundi dernier, Rabah Madjer découvre donc son groupe, un groupe qu’il a choisi et qu’il suivait déjà très bien par le passé. Voulant savoir dans quel état Rabah Madjer avait trouvé ses joueurs, surtout après les trois dernières défaites de la sélection nationale, le sélectionneur national dira : «Franchement, les joueurs, je les ai trouvés bien. Ils sont là à faire leur boulot et ils ont très bien adhéré à ma façon de travailler, mais aussi à mon discours. Je leur ai tout simplement dit qu’on doit former une famille soudée afin qu’on puisse surmonter ces moment difficiles. Pour ce qui est des absents, ce n’est jamais simple d’enregistrer des défaillances surtout la veille d’un stage, mais bon il faut faire avec. J’ai aussi expliqué aux joueurs que, certes, notre mission est difficile mais pas du tout impossible. Ce match contre le Nigeria, il faudra le jouer pour le gagner, d’ailleurs il faudra le prendre comme étant le premier match des éliminatoires et non le dernier. Je conçois que notre équipe nationale est en crise, mais nous sommes là pour justement tenter de la sortir du coma dans laquelle elle se trouve depuis plusieurs mois maintenant. Soyez-en sûrs, cette équipe nationale est entre de bonnes mains», a précisé Rabah Madjer.
«Convaincu que Chaouchi peut encore rendre service à l’EN»
En plus de la non-convocation de Sofiane Feghouli et de Raïs Mbolhi, la liste des 23 joueurs de Rabah Madjer renfermait une autre grosse surprise : la présence du gardien du MCA Faouzi Chouachi. Interrogé pourquoi avoir fait appel au keeper du MCA alors que ce dernier ne joue pas au sein de son club, et ce depuis les quatre dernières rencontres de son équipe, Rabah Madjer s’est montré plutôt vexé et n’a pas hésité à défendre son choix : «Dans la vie, s’il y a une chose que les gens n’oublient pas, c’est l’ingratitude. Chaouchi, Il y a quelque temps vous disiez qu’il était même le meilleur gardien du monde et, maintenant qu’il ne joue pas au Mouloudia parce qu’il revient d’une blessure, subitement il devient un mauvais gardien, et vous me dite pourquoi il est appelé en équipe nationale ? Chaouchi mérite tout le bien qu’on pense de lui. Ce gardien a rendu d’immenses services à cette équipe nationale. Chouachi que vous aviez tous applaudi à Oumdourman et moi le premier. Donc, ce n’est pas du jour au lendemain que Chaouchi est devenu aussi mauvais qu’on puisse le penser. Il faut respecter ces gens-là. Nous, nous ne sommes pas là pour disperser mais plutôt pour rassembler. Moi, je suis certain et convaincu que Chaouchi peut encore être très utile et rendre service à notre équipe nationale. Pour conclure, Chaouchi mérite tout le respect, ne serai-ce que pour ce qu’il a fait en équipe nationale notamment face à l’Egypte au Soudan», a-t-il fait savoir.
«Voilà ce qui changera dans cette équipe»
Il est clair que sur le plan du résultat sportif, le match de demain soir n’aura pas une grande importance, par contre ce que les supporters et les fans des Verts attendent c’est de voir la touche apportée par l’ancienne gloire des Verts Rabah Madjer à ce groupe qui peine au cours de ces derniers mois. «Ce qui va changer, c’est surtout sur le plan tactique. Cette équipe nationale a été assommée, et on tentera de trouver le remède qu’il faut afin de rendre à ce groupe sa personnalité, notamment celle qu’elle avait en Coupe du monde. Une équipe constituée de joueurs évoluant à l’étranger et d’éléments de notre championnat qui doivent aussi retrouver la confiance. Nous en tant que staff, on est là pour aider ces joueurs en leur fournissant des solutions. J’ai mon idée sur le plan tactique pour ce match face au Nigeria. Désolé, je ne pourrai pas vous la dévoiler maintenant, mais vous verrez tout ça ce vendredi soir, et on se donne rendez-vous avant la rencontre devant la République centrafricaine afin d’en débattre», a fait savoir Madjer.
«J’ai bien étudié le jeu des Nigérians»
Le coach national a fait savoir aussi qu’il a bien étudié le jeu de cette équipe nigériane : ses points forts et ses points faible. «J’ai bien analysé et le jeu et la composante de notre prochain adversaire. Il faut savoir qu’à l’exception d’un élément, tous sont remplaçants au sein de leurs clubs. Mais bon, ce n’est pas pour ça qu’ils vont être mauvais. Avec nos frères africains, ça ne marche pas comme ça. Ils ont une bonne condition physique et ils répondront présents sur le terrain, à ce niveau-là je n’ai aucun doute», a-t-il affirmé.
Madjer évoque à nouveau les absents
«Feghouli n’est pas le seul absent, il y a aussi, Ounas, Boudebouz, Mbolhi, Taïder…»
Le sélectionneur national, qui avait tout dit vendredi passé à la radio en expliquant les raisons de l’absence de certains éléments sauf celle de Feghouli, a été sollicité une nouvelle fois hier concernant cette absence énigmatique, et encore une fois il n’a donné aucune explication : «Je ne l’ai pas éloigné de l’EN, si on doit parler alors de ça on doit aussi parler d’Ounas, de Boudebouz et les autres absents, un choix a été fait, il y avait urgence j’avais pas trop le choix, il faut respecter mes choix, car tous ceux qui donnent un plus vont être appelés, je suis reconnaissant, je ne peux pas être ingrat. Si un joueur est performant, moi aussi si je le suis, je pourrai jouer.»
«Je veux bâtir l’EN sur une base très solide»
«Je veux bâtir l’EN sur une base très solide, l’exemple de la Tunisie est frappant, ils ont tout compris, actuellement, il faut des critères pour être sélectionné, il faut une présence, une personnalité il faut aussi un gabarit, il doit impressionner.»
Tout en manifestant toute sa sympathie pour cette sélection
«Je préfère la Centrafrique à une sélection européenne»
L’entraîneur des Verts a expliqué pourquoi la FAF a fait le choix de jouer la Centrafrique le 14 novembre et non pas une autre équipe plus forte, Madjer a tout le temps critiqué par le passé les matches que l’EN disputait contre les teams d’un niveau moyen ou moins, à l’image d’un certain match contre la Mauritanie, pour lui la fédé n’avait pas trop le choix, il réitère aussi sa préférence pour les équipes africaines aux dépens des adversaires européens.
«La Centrafrique, un choix par défaut»
«Des fois la FAF n’a pas le choix. Personnellement, parfois je préfère jouer contre une équipe modeste qu’une équipe européenne. Je vous rappelle aussi que moi je veux jouer contre les équipes africaines.»
Madjer évoque la finale de 1980 à Lagos
«Je connais l’Afrique et parfois il y a des matches qu’on doit perdre»
Madjer a remonté le temps plus exactement à la finale de la CAN 1980 contre le Nigeria, les Super Eagles avaient triomphé chez eux à Lagos et Madjer prend cet exemple pour témoigner de ses péripéties africaines, et sa connaissance parfaite des conditions dans lesquelles le joueur joue : «Je connais l’Afrique, j’ai joué 6 phases finales de la CAN dont une finale 1980 où on devait perdre en présence du président du Nigeria, le stade était chaud bouillant, et le stade ne pensait qu’à la victoire, il y a beaucoup de paramètres qu’il ne faut pas négliger, si on passe à la CAN, il faut une préparation très spéciale, aller dans un pays limitrophe, on ne fera jamais l’erreur de se préparer dans des conditions différentes.»
Renforcement du staff
«Pas besoin d’un préparateur physique en sélection»
Haniched devrait être le dernier élément à intégrer le staff technique et pour cause, Madjer dit qu’il n’aura pas besoin d’un préparateur physique : «On ne se prépare pas physiquement en sélection sauf pour une phase finale d’une CAN par exemple, pour le reste du temps, les joueurs sont en club et c’est dans leurs clubs que cela se fait, chez nous en stage, on donne l’importance à la touche tactique ou technique, sinon le jour où on aura besoin d’un travail physique on ramènera un coach scientifique.»
Il a aussi dit :
-Si on refait le match de la Zambie 1 million de fois on ne le perdra pas.
-J’ai l’équipe en tête pour le Nigeria mais je ne dirai rien.
-Medjani j’ai encore besoin de lui, je l’ai sollicité pour qu’il reste, à lui de vous dire ce qu’il a décidé.
-Moi je n'ai pas d'avenir, personne ne peut me le garantir, mon avenir c'est le présent.
32 000 billets en vente aujourd’hui à 13h à Hamlaoui
C’est aujourd’hui que commencera l’opération de la vente des billets pour le match de demain contre le Nigeria.
32 000 billets sont concernés par l’opération à raison de 300 dinars le billet, le directeur du stade à savoir Boubakr Zertal nous a déclaré que l’opération commencera à 13h et pourrait se poursuivre demain matin si les billets sont encore disponibles.
La sélection de la Centrafrique assistera au match à Hamlaoui
Actuellement à Sétif où elle effectue un stage depuis le 6 novembre sur invitation de la FAF, la sélection centrafricaine qui croisera le fer avec les Verts le 14 de ce mois au 5-Juillet a été convié à assister demain au match que jouera l’EN contre le Nigeria.
Les hommes de Savoy vont donc avoir l’opportunité de décortiquer le jeu des Verts des gradins du stade Hamlaoui.
A noter que la sélection de la RCA ralliera Alger dimanche prochain en prévision du match de mardi au 5-Juillet.
Le directeur du stade Hamlaoui vit mal le « déménagement » au 5-Juillet
Même si le match du Nigeria n’a pas encore été joué, le directeur du stade Hamlaoui, à savoir Boubaker Zertal regrette déjà le départ prévu des Verts au 5-Juillet, un déménagement qu’il n’aurait pas souhaité : «C’était un honneur d’accueillir les Verts chez nous, les matches de la Zambie et le dernier match de la Supercoupe d’Algérie auront été de bons examens pour nous, on a désormais une bonne expérience on peut organiser n’importe quel match, on espère que l’EN reviendra un jour », a-t-il souhaité.
Les Super Eagles aujourd’hui à Constantine
150 supporters du Nigeria arriveront avec leur équipe
Le Nigeria jouera demain au stade Hamlaoui en présence de 150 de ses supporters, c’est du moins c’est ce que nous a appris le directeur du stade Hamlaoui qui a pris le soin de leur dégager un espace où ils pourront donner de la voix et encourager les équipiers de Musa.
Rappelons que les Nigérians sont attendus aujourd’hui à la mi-journée à Constantine en provenance du Maroc, ils éliront domicile au Novotel.
Ils sont depuis mardi à Alger
Les arbitres du match se sont entraînés hier à Hamlaoui
Les arbitres du match de demain sont déjà à pied d’œuvre à Constantine où ils sont arrivés mardi, les referees désignés par la FIFA ont même eu un galop d’entraînement hier sur la pelouse de Hamlaoui à 15h30. Rappelons que la FIFA a désigné le Gabonais Eric Arnaud Otogo Castane pour diriger le match Algérie - Nigeria, il sera assisté par Aboubacar Doumbouya de la Guinée et Seydou Tiama du Burkina-Faso quant au quatrième arbitre n’est autre que Juste Ephrem ZIO du Burkina-Faso. Le commissaire du match sera Omer Kouamé Dehoulé de Côte d’Ivoire, alors que l’inspecteur des arbitres est M. Aden Robleh Rayaleh de Djibouti.