Le président Chérif Mellal a une grande responsabilité dans la piteuse prestation de son équipe face à l’USMH. Attendu comme le sauveur providentiel après la destitution de l’ancien directoire composé de Madjène, Zouaoui et Aït-Djoudi, celui-ci, au lieu de profiter de la mobilisation qu’a suscitée sa venue, s’est adonné à son jeu préféré, celui des déclarations aussi saugrenues les unes que les autres.