Faruk Hadzibegic, le nouvel entraîneur du Mouloudia d’Alger a signé avant-hier pour un an renouvelable avec le Doyen avec des objectifs bien précis. Un grand chantier l’attend au Mouloudia pour remettre l’équipe sur les rails et renouer avec les titres.
Lors de son intervention sur la page du club, Benelhadj avait assuré que Merzougui s’est vu proposer une prolongation mais qu’il a préféré partir. Le CRB a relancé le joueur et les négociations sont ouvertes entre les deux parties.
Le propriétaire du club, le groupe Serport, a consacré un budget limité lors de l’intersaison à cause des grandes dépenses enregistrées les deux dernières saisons. Autrement dit, l’actuelle direction a payé la mauvaise gestion des deux ex-directeurs sportifs Anthar Yahia et Hocine Achiou.
La situation de Youssef Djebbari ne prête guère à l’optimisme et risque de le pousser à quitter son poste à défaut d’un autre bail. Ce dirigeant n’arrive pas à trouver une solution au problème financier qui risque de s’éterniser.
Fixé initialement pour le 19 aoùt prochain, le coup d’envoi du championnat de la Ligue 1 Mobilis pour la saison 2022/2023 est reporté officiellement d’une semaine.
Le Mouloudia d’Alger tient le successeur de Ben Yahia. Il s’agit du Français d’origine yougoslave, Faruk Hadzibegic. Un entraîneur qui a roulé sa bosse et qui peut mener le Doyen à bon port. Après avoir signé son contrat par email et reçu l’invitation, il va se présenter au consulat lundi pour avoir son visa. Il sera là mardi ou au plus tard mercredi.
A la recherche de renforts en attaque, les dirigeants du CRB ont relancé le dossier Frioui. Ce dernier a d’ailleurs négocié avec les dirigeants.
L’USMA devrait se contenter de 4 nouvelles recrues seulement lors de ce mercato estival. En plus d’Imad Benchlef, Abdeslam Bouchouareb et Abderrahmane Bacha, la direction est en négociation avec un attaquant. Ce dernier devrait clore le recrutement de cette période des transferts.
La crise financière du MC Oran qui risque de s’éterniser fait craindre le pire. Les dirigeants n’ont pas les moyens pour démarrer la saison avec l’effectif en place.
En dépit de toute la pression à laquelle la JSK est soumise depuis la fin de l'exercice écoulé, le président Yazid Iarichen a réussi à gérer son intersaison et à payer les dettes de la CNRL.
